2 Rois 7 Traduction Crampon


1 Elisée dit : « Écoutez la parole de Yahweh : Ainsi dit Yahweh : Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle, et deux mesures d’orge pour un sicle, à la porte de Samarie. »


Louis Segond :

Élisée dit: Écoutez la parole de l`Éternel! Ainsi parle l`Éternel: Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d`orge pour un sicle, à la porte de Samarie.

Martin :

Alors Elisée dit: Ecoutez la parole de l'Eternel. Ainsi a dit l'Eternel: Demain à cette heure-ci on donnera le sat de fine farine pour un sicle, et les deux sats d'orge pour un sicle, à la porte de Samarie.

Ostervald :

Alors Élisée dit: Écoutez la parole de l'Éternel. Ainsi a dit l'Éternel: Demain, à cette heure, la mesure de fine farine sera à un sicle, et la double mesure d'orge à un sicle, à la porte de Samarie.

Darby :

Et Élisée dit: Écoutez la parole de l'Éternel. Ainsi dit l'Éternel: Demain à cette heure-ci, la mesure de fleur de farine sera à un sicle, et les deux mesures d'orge à un sicle, à la porte de Samarie.

Lausanne :

Et Elisée dit : Écoutez la parole de l’Éternel : Ainsi dit l’Éternel : Demain, à cette heure-ci, à la porte de Samarie, la mesure{Héb. le sea.} de fleur de farine sera à un sicle, et les deux mesures{Héb. les deux seas.} d’orge à un sicle.

2 L’officier sur la main duquel s’appuyait le roi répondit à l’homme de Dieu et dit : « Quand Yahweh ferait des fenêtres au ciel, cela pourrait-il arriver ? » Elisée dit : « Voici que tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras point. »


Louis Segond :

L`officier sur la main duquel s`appuyait le roi répondit à l`homme de Dieu: Quand l`Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n`en mangeras point.

Martin :

Mais un capitaine, sur la main duquel le Roi s'appuyait, répondit à l'homme de Dieu, et dit: Quand l'Eternel ferait maintenant des ouvertures au ciel, cela arriverait-il? Et Elisée dit: Voilà, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.

Ostervald :

Mais l'officier, sur la main duquel le roi s'appuyait, répondit à l'homme de Dieu, et dit: Quand l'Éternel ferait maintenant des fenêtres au ciel, cela arriverait-il? Et Élisée dit: Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.

Darby :

Et le capitaine, sur la main duquel le roi s'appuyait, répondit à l'homme de Dieu, et dit: Voici, quand l'Éternel ferait des fenêtres aux cieux, cela arriverait-il? Et Élisée dit: Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras pas.

Lausanne :

Et le guerrier{Héb. le schalisch.} du roi, sur la main duquel il s’appuyait, répondit à l’homme de Dieu, et dit : L’Éternel va faire des fenêtres au ciel ! Arriverait-il chose pareille ? Et il dit : Tu vas le voir de tes yeux ; mais tu n’en mangeras pas.

3 Il y avait à l’entrée de la porte quatre lépreux, qui se dirent l’un à l’autre : « Pourquoi resterions-nous ici jusqu’à ce que nous mourrions ?


Louis Segond :

Il y avait à l`entrée de la porte quatre lépreux, qui se dirent l`un à l`autre: Quoi! resterons-nous ici jusqu`à ce que nous mourions?

Martin :

Or il y avait à l'entrée de la porte quatre hommes lépreux, et ils dirent l'un à l'autre: Pourquoi demeurons-nous ici, jusqu'à ce que nous mourions?

Ostervald :

Or, il y avait à l'entrée de la porte quatre lépreux; et ils se dirent l'un à l'autre: Pourquoi demeurons-nous ici jusqu'à ce que nous mourions?

Darby :

Et il y avait à l'entrée de la porte quatre hommes lépreux, et ils se dirent l'un à l'autre: Pourquoi sommes-nous assis ici jusqu'à ce que nous mourions?

Lausanne :

Et il y avait à l’entrée de la porte quatre hommes lépreux ; et ils se dirent l’un à l’autre : Pourquoi resterions-nous ici jusqu’à ce que nous mourions ?

4 Si nous prenons le parti d’entrer dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons ; si nous restons ici, nous mourrons également. Venez donc et jetons-nous dans le camp des Syriens ; s’ils nous laissent la vie, nous vivrons, et s’ils nous font mourir, nous mourrons. »


Louis Segond :

Si nous songeons à entrer dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons; et si nous restons ici, nous mourrons également. Allons nous jeter dans le camp des Syriens; s`ils nous laissent vivre, nous vivrons et s`ils nous font mourir, nous mourrons.

Martin :

Si nous parlons d'entrer dans la ville, la famine y est, et nous mourrons là; et si nous demeurons ici, nous mourrons aussi. Maintenant donc venez, et glissons-nous au camp des Syriens; s'ils nous laissent vivre, nous vivrons, et s'ils nous font mourir, nous mourrons.

Ostervald :

Si nous parlons d'entrer dans la ville, la famine y est, et nous y mourrons; et si nous demeurons ici, nous mourrons également. Venez donc, et glissons-nous dans le camp des Syriens. S'ils nous laissent vivre, nous vivrons; et s'ils nous font mourir, nous mourrons.

Darby :

Si nous disons: Entrons dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons; et si nous restons assis ici, nous mourrons. Et maintenant, venez, et passons dans le camps des Syriens: s'ils nous laissent vivre, nous vivrons; et s'ils nous font mourir, nous mourrons.

Lausanne :

Si nous disons : Entrons dans la ville, la famine est dans la ville et nous mourrons là, et si nous restons ici nous [y] mourrons. Et maintenant venez, et descendons{Héb. tombons.} au camp d’Aram : s’ils nous laissent vivre nous vivrons, et s’ils nous font mourir nous mourrons.

5 Ils se levèrent au crépuscule pour se rendre au camp des Syriens, et ils arrivèrent à l’entrée du camp des Syriens, et voici qu’il n’y avait personne.


Louis Segond :

Ils partirent donc au crépuscule, pour se rendre au camp des Syriens; et lorsqu`ils furent arrivés à l`entrée du camp des Syriens, voici, il n`y avait personne.

Martin :

C'est pourquoi ils se levèrent avant le jour pour entrer au camp des Syriens, et ils vinrent jusqu'à l'un des bouts du camp, et voilà il n'y avait personne.

Ostervald :

C'est pourquoi, à l'entrée de la nuit, ils se levèrent pour aller au camp des Syriens, et vinrent jusqu'à l'une des extrémités du camp; et voici, il n'y avait personne.

Darby :

Et ils se levèrent au crépuscule pour entrer dans le camps des Syriens; et ils vinrent jusqu'au bout du camp des Syriens, et voici, il n'y avait personne.

Lausanne :

Et ils se levèrent à [l’heure] du crépuscule pour entre au camp d’Aram ; et ils allèrent jusqu’à l’extrémité du camp d’Aram, et voilà, il n’y avait personne :

6 Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d’une grande armée, et ils s’étaient dit l’un à l’autre : « Voici que le roi d’Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthéens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer ».


Louis Segond :

Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d`une grande armée, et ils s`étaient dit l`un à l`autre: Voici, le roi d`Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer.

Martin :

Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chariots, et un bruit de chevaux, et un bruit d'une grande armée; de sorte qu'ils avaient dit l'un à l'autre: Voilà le Roi d'Israël a payé les Rois des Héthiens, et les Rois des Egyptiens pour venir contre nous.

Ostervald :

Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, de sorte qu'ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a payé les rois des Héthiens et les rois d'Égypte, pour venir contre nous.

Darby :

Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée; et ils se dirent l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens, pour venir sur nous.

Lausanne :

le Seigneur avait fait entendre dans le camp d’Aram un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit de grandes forces, et ils s’étaient dit l’un à l’autre : Voilà, le roi d’Israël a pris à sa solde, contre nous, les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens, pour venir contre nous !

7 Et, se levant, ils avaient pris la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu’il était, et ils s’étaient enfuis pour sauver leur vie.


Louis Segond :

Et ils se levèrent et prirent la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu`il était, et ils s`enfuirent pour sauver leur vie.

Martin :

C'est pourquoi ils s'étaient levés avant le point du jour, et s'étaient enfuis, et ils avaient laissé leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes, et le camp comme il était; et ils s'étaient enfuis pour sauver leur vie.

Ostervald :

Et ils s'étaient levés, et s'étaient enfuis à l'entrée de la nuit; et ils avaient laissé leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes, et le camp comme il était; et ils s'étaient enfuis pour sauver leur vie.

Darby :

Et ils se levèrent au crépuscule, et s'enfuirent; et ils abandonnèrent leurs tentes, et leurs chevaux, et leurs ânes, le camp tel quel; et ils s'enfuirent pour sauver leur vie.

Lausanne :

Et ils s’étaient levés, et s’étaient enfuis à [l’heure] du crépuscule ; et ils avaient laissé leurs tentes, et leurs chevaux, et leurs ânes, le camp tel quel, et s’étaient enfuis pour [sauver] leur vie{Héb. âme.}

8 Les lépreux, arrivés à l’entrée du camp, pénétrèrent dans une tente, et, après avoir bu et mangé, ils en emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente et en emportèrent des objets qu’ils allèrent cacher de la même manière.


Louis Segond :

Les lépreux, étant arrivés à l`entrée du camp, pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent, et en emportèrent de l`argent, de l`or, et des vêtements, qu`ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente, et en emportèrent des objets qu`ils allèrent cacher.

Martin :

Ces lépreux-là donc entrèrent jusqu'à l'un des bouts du camp, puis ils vinrent dans une tente, ils mangèrent, ils burent, ils prirent de de l'argent, de l'or, et des vêtements, et ils s'en allèrent, et les cachèrent. Après quoi ils retournèrent et entrèrent dans une autre tente, et prirent de aussi des mêmes choses, et s'en allèrent, et les cachèrent.

Ostervald :

Ces lépreux pénétrèrent donc jusqu'à l'une des extrémités du camp, entrèrent dans une tente, et mangèrent et burent, y prirent de l'argent, de l'or et des vêtements, puis s'en allèrent et les cachèrent. Après quoi ils revinrent, et entrèrent dans une autre tente, et aussi ils prirent du butin, qu'ils s'en allèrent cacher.

Darby :

Et ces lépreux vinrent jusqu'au bout du camp; et ils entrèrent dans une tente, et mangèrent et burent, et en emportèrent de l'argent, et de l'or, et des vêtements; et ils s'en allèrent et les cachèrent. Et ils retournèrent, et entrèrent dans une autre tente et en emportèrent du butin, et ils s'en allèrent et le cachèrent.

Lausanne :

Et ces lépreux allèrent jusqu’à l’extrémité du camp, et entrèrent dans une tente, et mangèrent et burent, et en emportèrent de l’argent, et de l’or, et des vêtements, et s’en allèrent et les cachèrent. Et ils retournèrent, et entrèrent dans une autre tente, d’où ils en emportèrent [aussi], et s’en allèrent et les cachèrent.

9 Alors ils se dirent l’un à l’autre : « Nous n’agissons pas bien. Ce jour est un jour de bonne nouvelle ; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, nous trouverons le châtiment. Venez donc et allons informer la maison du roi. »


Louis Segond :

Puis ils se dirent l`un à l`autre: Nous n`agissons pas bien! Cette journée est une journée de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu`à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, et allons informer la maison du roi.

Martin :

Alors ils dirent l'un à l'autre: Nous ne faisons pas bien; ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous ne disons mot! si nous attendons jusqu'à ce que le jour soit venu, l'iniquité nous trouvera; maintenant donc venez, allons, et faisons-le savoir à la maison du Roi.

Ostervald :

Alors ils se dirent l'un à l'autre: Nous ne faisons pas bien; ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous gardons le silence! Si nous attendons jusqu'à ce que le jour soit venu, le châtiment nous atteindra. Venez donc, allons l'annoncer à la maison du roi.

Darby :

Et ils se dirent l'un à l'autre: Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous nous taisons. Si nous attendons jusqu'à la lumière du matin, l'iniquité nous trouvera. Et maintenant, venez, allons et rapportons-le à la maison du roi.

Lausanne :

Et il se dirent l’un à l’autre : Nous ne faisons pas bien ! Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous gardons le silence : si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, [notre] iniquité nous trouvera. Et maintenant venez, allons et faisons rapport à la maison du roi.

10 Ils partirent et, ayant appelé les gardes de la porte de la ville, ils leur firent ce rapport : « Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici qu’il n’y a personne, ni aucune voix d’homme ; il n’y a que des chevaux attachés, des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient. »


Louis Segond :

Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n`y a personne, on n`y entend aucune voix d`homme; il n`y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient.

Martin :

Ils vinrent donc, et crièrent aux portiers de la ville, et leur firent entendre, en disant: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voilà, il n'y a personne, et on n'y entend la voix d'aucun homme; mais il y a seulement des chevaux attachés, et des ânes attachés, et les tentes sont comme elles étaient.

Ostervald :

Ils s'en allèrent donc, appelèrent les gardes des portes de la ville, et le leur annoncèrent, en disant: Nous sommes allés au camp des Syriens; et voici, il n'y a personne, et on n'y entend la voix d'aucun homme; mais il n'y a que des chevaux et des ânes attachés, et les tentes telles qu'elles étaient.

Darby :

Et ils vinrent et crièrent aux portiers de la ville, et leur rapportèrent, disant: Nous sommes venus dans le camp des Syriens; et voici, il n'y avait personne, ni voix d'homme, seulement les chevaux attachés, et les ânes attachés, et les tentes comme elles étaient.

Lausanne :

Et ils allèrent et crièrent aux portiers de la ville, et leur firent rapport, en disant : Nous sommes entrés dans le camp d’Aram, et voilà, il n’y a personne, pas un bruit d’homme ; mais les chevaux attachés, et les ânes attachés, et les tentes telles quelles.

11 Les gardes de la porte poussèrent des cris et portèrent la nouvelle à l’intérieur de la maison du roi.


Louis Segond :

Les gardes de la porte crièrent, et ils transmirent ce rapport à l`intérieur de la maison du roi.

Martin :

Alors les portiers s'écrièrent; et le firent entendre dans la maison du Roi.

Ostervald :

Alors les gardes des portes crièrent, et transmirent ce rapport à la maison du roi.

Darby :

Et les portiers le crièrent et le rapportèrent dans la maison du roi, à l'intérieur.

Lausanne :

[Ainsi] on appela les portiers, et ils en firent rapport dans l’intérieur de la maison du roi.

12 Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs : « Je veux vous apprendre ce que nous font les Syriens. Sachant que nous sommes affamés, ils ont quitté leur camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit : Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville. »


Louis Segond :

Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville.

Martin :

Et le Roi se leva de nuit, et dit à ses serviteurs: Je vous dirai maintenant ce que les Syriens nous auront fait. Ils ont connu que nous sommes affamés, et ils seront sortis du camp pour se cacher aux champs, disant: Quand ils seront sortis hors de la ville, nous les prendrons vifs, et nous entrerons dans la ville.

Ostervald :

Et le roi se leva de nuit et dit à ses serviteurs: Je vais vous dire ce que les Syriens nous ont fait. Ils savent que nous sommes affamés. Ils seront donc sortis du camp pour se cacher dans la campagne, disant: Quand ils seront sortis de la ville, nous les prendrons vifs, et nous entrerons dans la ville.

Darby :

Et le roi se leva de nuit, et dit à ses serviteurs: Je veux vous dire ce que les Syriens nous ont fait: ils savent que nous avons faim, et ils sont sortis du camp pour se cacher dans les champs, disant: Ils sortiront hors de la ville, et nous les prendrons vivants, et nous entrerons dans la ville.

Lausanne :

Et le roi se leva de nuit, et dit à ses esclaves : Laissez-moi vous faire connaître ce que nous ont fait les Araméens. Ils savent que nous sommes affamés, et ils sont sortis du camp pour se cacher dans les champs, en disant : Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville.

13 L’un de ses serviteurs prit la parole et dit : « Que l’on prenne cinq des chevaux survivants qui restent encore dans la ville, — voici qu’ils sont comme toute la multitude d’Israël qui y est restée, voici qu’ils sont comme toute la multitude d’Israël qui se meurt, — et nous enverrons voir. »


Louis Segond :

L`un des serviteurs du roi répondit: Que l`on prenne cinq des chevaux qui restent encore dans la ville, -ils sont comme toute la multitude d`Israël qui y est restée, ils sont comme toute la multitude d`Israël qui dépérit, -et envoyons voir ce qui se passe.

Martin :

Qu'on prenne tout-à-l'heure cinq des chevaux qui sont demeurés de reste dans la ville; car voilà c'est presque tout ce qui est resté du grand nombre des chevaux d'Israël, c'est presque tout ce qui n'a point été consumé de cette multitude de chevaux d'Israël, et envoyons voir ce que c'est.

Ostervald :

Mais l'un de ses serviteurs répliqua: Que l'on prenne cinq des chevaux qui sont demeurés de reste dans la ville; voici, ils sont comme tout ce qui y est resté de la multitude d'Israël; ils sont comme toute la multitude d'Israël, qui est consumée. Envoyons-les, et voyons.

Darby :

Et un de ses serviteurs répondit et dit: Qu'on prenne donc cinq des chevaux restants, qui demeurent de reste dans la ville; voici, ils sont comme toute la multitude d'Israël qui est de reste en elle; voici, ils sont comme toute la multitude d'Israël qui a péri. Envoyons-les, et nous verrons.

Lausanne :

Et l’un de ses esclaves répondit et dit : Qu’on prenne donc cinq des chevaux restants, qui demeurent de reste dans la ville{Héb. en elle.} voilà, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui demeure de reste en elle ; voilà, ils sont comme toute la multitude d’Israël qui est consumée ! Envoyons-les, et nous verrons.

14 On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des hommes sur les traces de l’armée des Syriens, en disant : « Allez et voyez. »


Louis Segond :

On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers sur les traces de l`armée des Syriens, en disant: Allez et voyez.

Martin :

Ils prirent donc deux chevaux de chariot, et ainsi le Roi envoya après le camp des Syriens, en disant: Allez, et voyez.

Ostervald :

Ils prirent donc deux chars avec leurs chevaux; et le roi les envoya après l'armée des Syriens, et leur dit: Allez, et voyez.

Darby :

Et ils prirent deux chars avec leurs chevaux, et le roi envoya après le camp des Syriens, disant: Allez et voyez.

Lausanne :

Et ils prirent deux chars avec leurs chevaux, et le roi envoya après le camp d’Aram, en disant : Allez et voyez.

15 Ils Allèrent après eux jusqu’au Jourdain, et voici que toute la route était couverte de vêtements et d’objets que les Syriens avaient jetés, dans leur précipitation. A leur retour, les messagers rapportèrent tout au roi.


Louis Segond :

Ils allèrent après eux jusqu`au Jourdain; et voici, toute la route était pleine de vêtements et d`objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi.

Martin :

Et ils s'en allèrent après eux jusqu'au Jourdain, et voilà, le chemin était plein de vêtements, et de hardes que les Syriens avaient jetées en se hâtant; puis les messagers retournèrent, et le rapportèrent au Roi.

Ostervald :

Et ils s'en allèrent après eux jusqu'au Jourdain. Et voici, tout le chemin était couvert de hardes et d'armes que les Syriens avaient jetées dans leur précipitation; et les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi.

Darby :

Et ils s'en allèrent après eux jusqu'au Jourdain; et voici, tout le chemin était plein de vêtements et d'objets que les Syriens avaient jetés dans leur fuite précipitée; et les messagers s'en retournèrent et le rapportèrent au roi.

Lausanne :

Et ils allèrent après eux jusqu’au Jourdain, et voilà, tout le chemin était plein de vêtements et d’armes{Ou d’objets.} que les Araméens, dans leur précipitation, avaient jetés ; et les messagers s’en retournèrent et firent rapport au roi.

16 Aussitôt le peuple sortit et pilla le camp des Syriens, et l’on eut une mesure de fleur de farine pour un sicle, et deux mesures d’orge pour un sicle, selon la parole de Yahweh.


Louis Segond :

Le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens. Et l`on eut une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d`orge pour un sicle, selon la parole de l`Éternel.

Martin :

Alors le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens, de sorte qu'on donna le sat de fine farine pour un sicle, et les deux sats d'orge pour un sicle, selon la parole de l'Eternel.

Ostervald :

Alors le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens, de sorte que la mesure de fine farine fut à un sicle, et la double mesure d'orge à un sicle, selon la parole de l'Éternel.

Darby :

Et le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens: et la mesure de fleur de farine fut à un sicle, et les deux mesures d'orge à un sicle, selon la parole de l'Éternel.

Lausanne :

Et le peuple sortit et pilla le camp d’Aram, de sorte que la mesure de fleur de farine fut à un sicle, et les deux mesures d’orge à un sicle, selon la parole de l’Éternel.

17 Le roi avait confié la garde de la porte à l’officier sur la main duquel il s’appuyait ; mais cet officier y fut foulé aux pieds par le peuple, et il mourut, selon la parole qu’avait dite l’homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui.


Louis Segond :

Le roi avait remis la garde de la porte à l`officier sur la main duquel il s`appuyait; mais cet officier fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut, selon la parole qu`avait prononcée l`homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui.

Martin :

Et le Roi donna charge de garder la porte, au capitaine, sur la main duquel il s'appuyait; et le peuple le foula à la porte, tellement qu'il mourut, suivant ce que l'homme de Dieu avait dit, en parlant au Roi lorsqu'il était descendu vers lui.

Ostervald :

Et le roi ayant donné la garde de la porte à l'officier sur la main duquel il s'appuyait, le peuple l'écrasa à la porte, et il en mourut, comme l'avait dit l'homme de Dieu en parlant au roi, quand il était descendu vers lui.

Darby :

Et le roi avait commis à la garde de la porte le capitaine sur la main duquel il s'appuyait; et le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut, selon ce qu'avait dit l'homme de Dieu, ce qu'il avait dit quand le roi était descendu vers lui.

Lausanne :

Et le roi avait commis sur la porte le guerrier{Héb. le schalisch.} sur la main duquel il s’appuyait ; et le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut, comme l’avait dit l’homme de Dieu qui [lui] avait parlé quand le roi descendit chez lui.

18 En effet, quand l’homme de Dieu avait parlé au roi en disant : « On aura deux mesures d’orge pour un sicle et une mesure de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie, »


Louis Segond :

L`homme de Dieu avait dit alors au roi: On aura deux mesures d`orge pour un sicle et une mesure de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie.

Martin :

Car lorsque l'homme de Dieu avait parlé au Roi, en disant: Demain au matin à cette heure-ci, on donnera à la porte de Samarie les deux sats d'orge pour un sicle, et le sat de fine farine pour un sicle;

Ostervald :

Car, lorsque l'homme de Dieu avait dit au roi: Demain matin à cette heure, à la porte de Samarie, la double mesure d'orge sera à un sicle, et la mesure de fine farine à un sicle,

Darby :

Et il arriva selon la parole que l'homme de Dieu avait adressée au roi, disant: Les deux mesures d'orge seront à un sicle, et la mesure de fleur de farine sera à un sicle, demain à cette heure-ci, à la porte de Samarie.

Lausanne :

Car, lorsque l’homme de Dieu parla au roi, en disant : Les deux mesures d’orge seront à un sicle, et la mesure de fleur de farine sera à un sicle, demain, à cette heure-ci, à la porte de Samarie ;

19 l’officier avait répondu à l’homme de Dieu et dit : « Quand Yahweh ferait des fenêtres au ciel, cela pourrait-il arriver ? » Et Elisée avait dit : « Voici que tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras point. »


Louis Segond :

Et l`officier avait répondu à l`homme de Dieu: Quand l`Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée avait dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n`en mangeras point.

Martin :

Ce capitaine-là avait répondu à l'homme de Dieu, et avait dit: Quand maintenant l'Eternel ferait des ouvertures au ciel, ce que tu dis pourrait-il arriver? Et l'homme de Dieu avait dit: Voilà, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.

Ostervald :

L'officier avait répondu à l'homme de Dieu: Quand l'Éternel ferait maintenant des fenêtres au ciel, cela arriverait-il? Et l'homme de Dieu avait dit: Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.

Darby :

Et le capitaine avait répondu à l'homme de Dieu, et avait dit: Voici, quand l'Éternel ferait des fenêtres aux cieux, pareille chose arriverait-elle? Et il dit: Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras pas.

Lausanne :

le guerrier{Héb. le schalisch.} avait répondu à l’homme de Dieu : et avait dit : Oui ! L’Éternel va faire des fenêtres au ciel ! Arriverait-il chose pareille ? Et [Elisée] dit : Tu vas le voir de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas.

20 Et c’est ce qui lui arriva : le peuple le foula aux pieds à la porte, et il mourut.


Louis Segond :

C`est en effet ce qui lui arriva: il fut écrasé à la porte par le peuple, et il mourut.

Martin :

Il lui en arriva donc ainsi; car le peuple le foula à la porte, de sorte qu'il mourut.

Ostervald :

Il lui en arriva donc ainsi; car le peuple l'écrasa à la porte, et il en mourut.

Darby :

Et il lui en arriva ainsi: le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut.

Lausanne :

Et il lui en arriva ainsi : le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut.


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