Ecclésiaste 5 verset 18
Traduction Martin18
Voilà donc ce que j'ai vu, que c'est une chose bonne et agréable à l'homme, de manger et de boire, et de jouir du bien de tout son travail qu'il aura fait sous le soleil, durant les jours de sa vie, lesquels Dieu lui a donnés; car c'est là sa portion.
Strong
(('Abagtha').('abowy)) Voici ce que j’ai vu (Ra'ah) (Radical - Qal) : c’est pour l’homme une chose bonne (Towb) et belle (Yapheh) de manger ('akal) (Radical - Qal) et de boire (Shathah) (Radical - Qal), et de jouir (Ra'ah) (Radical - Qal) du bien-être (Towb) au milieu de tout le travail (`amal) qu’il fait (`amal) (Radical - Qal) sous le soleil (Shemesh) , pendant le nombre (Micpar) des jours (Yowm) de vie (Chay) que Dieu ('elohiym) lui a donnés (Nathan) (Radical - Qal) ; car c’est là sa part (Cheleq).
1a) (Qal)Comparatif des traductions
18
Voilà donc ce que j'ai vu, que c'est une chose bonne et agréable à l'homme, de manger et de boire, et de jouir du bien de tout son travail qu'il aura fait sous le soleil, durant les jours de sa vie, lesquels Dieu lui a donnés; car c'est là sa portion.
Louis Segond :
Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s`il l`a rendu maître d`en manger, d`en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c`est là un don de Dieu.
Ostervald :
Voici ce que j'ai vu: c'est pour l'homme une chose bonne et agréable que de manger, de boire, et de jouir du bien-être, au milieu de tout le travail auquel il se livre sous le soleil, pendant les jours de vie que Dieu lui a donnés; car c'est là son partage.
Darby :
Voici ce que j'ai vu de bon et de beau: c'est de manger et de boire et de jouir du bien-être dans tout le travail dont l'homme se tourmente sous le soleil tous les jours de sa vie, que Dieu lui a donnés; car c'est là sa part.
Crampon :
De plus, pour tout homme à qui Dieu donne richesses et biens, avec pouvoir d’en manger, d’en prendre sa part et de se réjouir de son travail, c’est là un don de Dieu.
Lausanne :
De plus, quand Dieu a donné à quelque homme richesse et biens, le faisant maître d’en manger, d’en prendre sa part et de se réjouir en son labeur, c’est là un don de Dieu ;