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Voici ce que j'entends: une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard.
Martin :
Voici donc ce que je dis: c'est que quant à l'alliance qui a été auparavant confirmée par Dieu en Christ, la Loi qui est venue quatre cent-trente ans après, ne peut point l'annuler, pour abolir la promesse.
Ostervald :
Voici donc ce que je dis: Quant au contrat que Dieu a auparavant confirmé en Christ, la loi, qui n'est venue que quatre cent trente ans après, n'a pu l'annuler, pour abolir la promesse.
Darby :
Or je dis ceci: que la loi, qui est survenue quatre cent trente ans après, n'annule point une alliance antérieurement confirmée par Dieu, de manière à rendre la promesse sans effet.
Crampon :
Voici ce que je veux dire : Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi qui est venue quatre cent trente ans après ne la rend pas nulle, de manière à rendre vaine la promesse.
Lausanne :
Voici donc ce que je dis : Un testament ayant été précédemment ratifié de Dieu en vue du Christ, la loi, venue quatre cent trente ans après, ne l’annule pas de manière à rendre impuissante la promesse.
Bible de Genève (N.T.) [Ancien Français] :
Voila donc ce que je dis, quant à l’alliance qui auparavant à esté confirmé de Dieu en Christ, que la Loi qui est venuë quatre cens et trente ans apres, ne la peut enfreindre, pour abolir la promesse.