Katargeo:
Katargeo:
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Alors il dit au vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n’en trouve point. Coupe-le : pourquoi occupe (Katargeo)-t-il la terre inutilement (Katargeo) ?
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Eh quoi ! si quelques-uns n’ont pas cru, leur incrédulité anéantira (Katargeo)-t-elle la fidélité de Dieu ?
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Anéantissons-nous (Katargeo) donc la loi par la foi ? Loin de là ! Au contraire, nous confirmons la loi.
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Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie (Katargeo),
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sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit (Katargeo), pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ;
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Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée (Katargeo) de la loi qui la liait à son mari.
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Mais maintenant, nous avons été dégagés (Katargeo) de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli.
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et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant (Katargeo) celles qui sont,
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Cependant, c’est une sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n’est pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle, qui vont être anéantis (Katargeo) ;
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Les aliments sont pour le ventre, et le ventre pour les aliments ; et Dieu détruira (Katargeo) l’un comme les autres. Mais le corps n’est pas pour l’impudicité. Il est pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps.
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La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin (Katargeo), les langues cesseront, la connaissance disparaîra (Katargeo).
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mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîra (Katargeo).
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Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaîre (Katargeo) ce qui était de l’enfant.
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Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit (Katargeo) toute domination, toute autorité et toute puissance.
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Le dernier ennemi qui sera détruit (Katargeo), c’est la mort.
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Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère (Katargeo),
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En effet, si ce qui était passager (Katargeo) a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux.
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et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d’Israël ne fixassentpas les regards sur la fin de ce qui était passager (Katargeo).
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Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaî (Katargeo).
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Voici ce que j’entends : une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine (Katargeo), par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard.
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