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Si donc je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue; c'était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu.
Martin :
Quoi que je vous aie donc écrit, ce n'a point été à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a été commise, mais pour faire voir parmi vous le soin que j'ai de vous devant Dieu.
Ostervald :
Ainsi, lorsque je vous ai écrit, ce n'a pas été à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui à qui elle a été faite, mais pour vous faire connaître notre zèle pour vous devant Dieu.
Darby :
Ainsi, si même je vous ai écrit, ce n'a point été à cause de celui qui a fait le tort ni à cause de celui à qui on a fait tort, mais afin que le zèle que nous avons pour vous, vous fût manifesté devant Dieu.
Crampon :
Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n’est ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue, mais pour que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous devant Dieu.
Lausanne :
Si donc je vous ai écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui a fait tort, ni à cause de celui à qui le tort a été fait ; mais afin que notre empressement pour vous, vous fût manifesté devant Dieu.
Bible de Genève (N.T.) [Ancien Français] :
Encore donc que je vous aye escrit, ce n’a point esté à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a esté commise; mais pour manifester entre vous le soin que j’ai de vous devant Dieu.