Ei kai:
Ei kai:
Pierre, prenant la parole, lui dit : Quand (Ei kai) tu serais pour tous une occasion de chute, tu ne le seras jamais pour moi.
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je vous le dis, même (Ei kai) s’il ne se levait pas pour les lui donner parce que c’est son ami, il se lèverait à cause de son importunité et lui donnerait tout ce dont il a besoin.
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Si donc (Ei kai) Satan est divisé contre lui-même, comment son royaume subsistera-t-il, puisque vous dites que je chasse les démons par Béelzébul ?
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Pendant longtemps il refusa. Mais ensuite il dit en lui-même : Quoique (Ei kai) je ne craigne point Dieu et que je n’aie d’égard pour personne,
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Car qui est-ce qui te distingue ? Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si (Ei kai) tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu ?
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As-tu été appelé étant esclave, ne t’en inquiète pas ; mais si (Ei kai) tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
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Si (Ei kai) notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent ;
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C’est pourquoi nous ne perdonspas courage. Et lors même (Ei kai) que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour.
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Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair ; et si (Ei kai) nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière.
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Quoique (Ei kai) je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si (Ei kai) je m’en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que (Ei kai) momentanément, -
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Si (Ei kai) donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue ; c’était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu.
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Si (Ei kai) je suis un ignorant sous le rapport du langage, je ne le suis point sous celui de la connaissance, et nous l’avons montré parmi vous à tous égards et en toutes choses.
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Il n’est donc pas étrange que (Ei kai) ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres.
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J’ai été un insensé : vous m’y avez contraint. C’est par vous que je devais être recommandé, car je n’ai été inférieur en rien aux apôtres par excellence, quoique (Ei kai) je ne sois rien.
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Pour moi, je dépenserai très volontiers, et je me dépenserai moi-même pour vos âmes, dussé-je (Ei kai), en vous aimant davantage, être moins aimé de vous.
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Et même si (Ei kai) je sers de libation pour le sacrifice et pour le service de votre foi, je m’en réjouis, et je me réjouis avec vous tous.
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Ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection ; mais je cours, pour tâcher de le saisir, (Ei kai) puisque moi aussi j’ai été saisi par Jésus-Christ.
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Car, si (Ei kai) je suis absent de corps, je suis avec vous en esprit, voyant avec joie le bon ordre qui règne parmi vous, et la fermeté de votre foi en Christ.
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Quoique (Ei kai) nous parlions ainsi, bien-aimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut.
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D’ailleurs, quand (Ei kai) vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N’ayez d’eux aucune crainte, et ne soyez pas troublés ;
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