1 |
Il arriva, l’an trente, le quatrième [mois], le cinq du mois, comme j’étais parmi les déportés{Héb. la déportation.} sur le le fleuve du Kebar, que les cieux furent ouverts et que je vis des visions de Dieu. |
Louis Segond :
La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j`étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s`ouvrirent, et j`eus des visions divines.
Martin :
Or il arriva en la trentième année, au cinquième jour du quatrième mois, comme j'étais parmi ceux qui avaient été transportés sur le fleuve de Kébar, que les cieux furent ouverts, et je vis des visions de Dieu.
Ostervald :
La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, alors que je me trouvais parmi ceux qui avaient été transportés près du fleuve du Kébar, les cieux s'ouvrirent et je vis des visions divines.
Darby :
Et il arriva en la trentième année, au quatrième mois, le cinquième jour du mois, comme j'étais au milieu des captifs, près du fleuve Kebar, que les cieux furent ouverts, et je vis des visions de Dieu.
Crampon :
Et la trentième année, au quatrième mois, le cinquième jour du mois, comme j’étais parmi les captifs, près du fleuve Chobar, les cieux s’ouvrirent et je vis des visions de Dieu.
2 |
Le cinq du mois (cette année était la cinquième depuis la déportation du roi Joïakin), |
Louis Segond :
Le cinquième jour du mois, c`était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin, -
Martin :
Au cinquième jour du mois de cette année, qui fut la cinquième après que le Roi Jéhojachin eut été mené en captivité,
Ostervald :
Le cinquième jour du mois, c'était la cinquième année de la captivité du roi Jéhojakim,
Darby :
Le cinquième jour du mois (c'était la cinquième année de la transportation du roi Jehoïakin),
Crampon :
Le cinquième jour du mois, — c’était la cinquième année de la captivité du roi Joachin, —
3 |
la parole de l’Éternel fut en effet adressée à Ézéchiel, fils de Bouzi, le sacrificateur, dans la terre des Caldéens, près du fleuve du Kebar, et la main de l’Éternel y fut sur lui. |
Louis Segond :
la parole de l`Éternel fut adressée à Ézéchiel, fils de Buzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar; et c`est là que la main de l`Éternel fut sur lui.
Martin :
La parole de l'Eternel fut adressée expressément à Ezéchiel Sacrificateur, fils de Buzi, au pays des Caldéens, sur le fleuve de Kébar, et la main de l'Eternel fut là sur lui.
Ostervald :
La parole de l'Éternel fut adressée à Ézéchiel, le sacrificateur, fils de Buzi, dans le pays des Caldéens, près du fleuve du Kébar. C'est là que la main de l'Éternel fut sur lui.
Darby :
la parole de l'Éternel vint expressément à Ézéchiel, le sacrificateur, fils de Buzi, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve Kebar; et la main de l'Éternel fut là sur lui.
Crampon :
la parole de Yahweh fut adressée à Ezéchiel, fils de Buzi, prêtre, dans le pays des Chaldéens, prés du fleuve Chobar, et là, la main de Yahweh fut sur lui.
4 |
Je vis donc, et voici un vent de tempête venant du nord, une grande nuée et du feu entremêlé, avec un éclat tout autour d’elle ; et du milieu [sortait] comme l’apparence de l’airain ardent{Ou du bronze d’or.} du milieu du feu ; |
Louis Segond :
Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l`airain poli, sortant du milieu du feu.
Martin :
Je vis donc, et voici un vent de tempête qui venait de l'Aquilon, et une grosse nuée, et un feu s'entortillant; et il y avait autour de la nuée une splendeur, et au milieu de la nuée paraissait comme la couleur du Hasmal, lorsqu'il sort du feu.
Ostervald :
Et voici, je vis un tourbillon de vent qui venait du Nord, une grosse nuée, une gerbe de feu qui répandait tout autour son éclat. Au centre brillait comme de l'airain poli sortant du feu.
Darby :
Et je vis, et voici, un vent de tempête venait du nord, une grosse nuée, et un feu qui s'entortillait; et il y avait une splendeur tout autour, et de son milieu, du milieu du feu, brillait comme l'apparence de l'airain luisant;
Crampon :
Je vis, et voici qu’un vent de tempête venait du septentrion, et une grande nuée, et une masse de feu qui resplendissait alentour ; et au milieu d’elle on voyait comme l’aspect d’un métal plongé dans le feu.
5 |
et, du milieu, une ressemblance de quatre êtres vivants ; et tel était leur aspect : ils avaient ressemblance d’homme. |
Louis Segond :
Au centre encore, apparaissaient quatre animaux, dont l`aspect avait une ressemblance humaine.
Martin :
Et du milieu de cette couleur de Hasmal paraissait une ressemblance de quatre animaux, et c'était ici leur forme; ils avaient la ressemblance d'un homme;
Ostervald :
Au centre encore on voyait quatre animaux dont voici la figure: ils avaient une ressemblance humaine;
Darby :
et, du milieu, la ressemblance de quatre animaux; et voici leur aspect: ils avaient la ressemblance d'un homme;
Crampon :
Et au milieu, je vis la ressemblance de quatre êtres vivants, et voici quel était leur aspect : ils avaient une ressemblance humaine.
6 |
Chacun d’eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes. |
Louis Segond :
Chacun d`eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes.
Martin :
Et chacun d'eux avait quatre faces, et chacun quatre ailes.
Ostervald :
Chacun d'eux avait quatre faces et chacun quatre ailes.
Darby :
et chacun d'eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes;
Crampon :
Chacun avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes.
7 |
Leurs pieds étaient des pieds tout droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante des pieds d’un veau, et brillants comme l’apparence de l’airain poli. |
Louis Segond :
Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d`un veau, ils étincelaient comme de l`airain poli.
Martin :
Et leurs pieds étaient des pieds droits; et la plante de leurs pieds était comme la plante d'un pied de veau, et ils étincelaient comme la couleur d'un airain poli.
Ostervald :
Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds comme la plante du pied d'un veau; ils étincelaient comme de l'airain poli.
Darby :
et leurs pieds étaient des pieds droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d'un veau; et ils étincelaient comme l'apparence de l'airain poli;
Crampon :
Leurs pieds étaient des pieds droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d’un veau ; ils étincelaient comme l’aspect de l’airain poli.
8 |
Des mains d’hommes [paraissaient] de dessous leurs ailes sur leurs quatre côtés, et ils avaient tous les quatre leurs faces et leurs ailes. |
Louis Segond :
Ils avaient des mains d`homme sous les ailes à leurs quatre côtés; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
Martin :
Et il y avait des mains d'homme sous leurs ailes à leurs quatre côtés; et tous quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
Ostervald :
Des mains d'homme sortaient de dessous leurs ailes sur leurs quatre côtés, et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
Darby :
et il y avait des mains d'hommes sous leurs ailes sur leurs quatre côtés; et ils avaient, les quatre, leurs faces et leurs ailes;
Crampon :
Des mains d’hommes sortaient de dessous leurs ailes, sur leurs quatre côtés ; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes.
9 |
Leurs ailes se joignaient l’une l’autre ; ils ne se tournaient point dans leur marche ; ils allaient chacun dans la direction de leurs faces. |
Louis Segond :
Leurs ailes étaient jointes l`une à l`autre; ils ne se tournaient point en marchant, mais chacun marchait droit devant soi.
Martin :
Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; ils ne se tournaient point quand ils marchaient, mais chacun marchait vis-à-vis de soi.
Ostervald :
Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; quand ils marchaient, ils ne se tournaient point, mais allaient chacun droit devant soi.
Darby :
leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; ils ne se tournaient pas quand ils allaient: ils allaient chacun droit devant soi.
Crampon :
Leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne tournaient point en marchant ; chacun allait devant soi.
10 |
Et quant à la ressemblance de leurs faces, c’était une face d’homme ; et une face de lion, à droite, pour eux quatre ; et une face de bœuf, de gauche, pour eux quatre, et une face d’aigle pour eux quatre. |
Louis Segond :
Quant à la figure de leurs faces, ils avaient tous une face d`homme, tous quatre une face de lion à droite, tous quatre une face de boeuf à gauche, et tous quatre une face d`aigle.
Martin :
Et la ressemblance de leurs faces était la face d'un homme, et la face d'un lion, à la main droite des quatre; et la face d'un boeuf à la gauche des quatre; et la face d'un aigle, à tous les quatre.
Ostervald :
Quant à la forme de leurs faces, ils avaient tous quatre une face d'homme, une face de lion du côté droit, tous quatre une face de bœuf du côté gauche, et tous quatre une face d'aigle.
Darby :
Et la ressemblance de leurs faces était la face d'un homme; et, les quatre, ils avaient la face d'un lion, à droite; et, les quatre, ils avaient la face d'un boeuf, à gauche; et, les quatre, ils avaient la face d'un aigle;
Crampon :
Et voici quelle était la ressemblance de leurs faces : une face d’homme par devant, une face de lion à droite à tous les quatre, une face de taureau à gauche à tous les quatre, et une face d’aigle à tous les quatre.
11 |
[Voilà] leurs faces ; et leurs ailes étaient déployées vers le haut. Chacun en avait deux qui joignaient [celles de] l’autre, et deux qui couvraient leurs corps. |
Louis Segond :
Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut; deux de leurs ailes étaient jointes l`une à l`autre, et deux couvraient leurs corps.
Martin :
Et leurs faces et leurs ailes étaient divisées par le haut; chacun avait des ailes, qui se joignaient l'une à l'autre, et deux couvraient leurs corps.
Ostervald :
Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut; chacun avait deux ailes jointes l'une à l'autre, et deux qui couvraient leurs corps.
Darby :
et leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut: chacun avait deux ailes jointes l'une à l'autre, et deux qui couvraient leur corps.
Crampon :
Et telles étaient leurs faces. Leurs ailes se déployaient au-dessus d’eux ; chacun avait deux ailes qui rejoignaient celles de l’autre, et deux ailes qui couvraient son corps.
12 |
Et ils allaient chacun dans la direction de leurs faces ; où l’Esprit voulait aller, ils allaient ; ils ne se tournaient point dans leur marche. |
Louis Segond :
Chacun marchait droit devant soi; ils allaient où l`esprit les poussait à aller, et ils ne se tournaient point dans leur marche.
Martin :
Et chacun d'eux marchait vis-à-vis de soi; vers quelque part que l'esprit les poussât ils y allaient; et ils ne se tournaient point lorsqu'ils marchaient.
Ostervald :
Et chacun d'eux marchait droit devant soi; ils allaient partout où l'esprit les poussait à aller, et ne se détournaient point dans leur marche.
Darby :
Et ils allaient chacun droit devant soi: là où l'Esprit devait aller, ils allaient; ils ne se tournaient point lorsqu'ils allaient.
Crampon :
Chacun allait devant soi ; là où l’esprit les faisait aller, ils allaient ; ils ne tournaient pas en allant.
13 |
Et quant à la ressemblance des êtres vivants, leur aspect était comme des charbons de feu brûlants, comme l’aspect des torches. Ce même [feu] se promenait entre les êtres vivants, et ce feu était éclatant, et du feu sortait l’éclair. |
Louis Segond :
L`aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c`était comme l`aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs.
Martin :
Et quant à la ressemblance des animaux, leur regard était comme des charbons de feu ardent, et comme qui verrait des lampes; le feu courait parmi les animaux; et le feu avait une splendeur, et de ce feu sortait un éclair.
Ostervald :
L'aspect de ces animaux était semblable à celui de charbons de feu ardents et de torches enflammées; et ce feu flamboyait entre les animaux avec une éclatante splendeur, et il en sortait des éclairs.
Darby :
Et quant à la ressemblance des animaux, leur aspect était comme des charbons de feu brûlants, comme l'aspect de torches; le feu courait entre les animaux; et le feu avait de l'éclat, et du feu sortaient des éclairs.
Crampon :
L’aspect de ces êtres vivants ressemblait à des charbons ardents ; c’était comme l’aspect des lampes ; le feu circulait entre les êtres, le feu était éblouissant, et du feu sortaient des éclairs.
14 |
Et les êtres vivants [allaient] courant et revenant, pareils à l’aspect de la foudre. |
Louis Segond :
Et les animaux couraient et revenaient comme la foudre.
Martin :
Et les animaux couraient et retournaient, selon que l'éclair paraissait.
Ostervald :
Et ces animaux allaient et venaient avec l'aspect de la foudre.
Darby :
Et les animaux couraient et retournaient, comme l'aspect du sillon de l'éclair.
Crampon :
Et les êtres vivants couraient en tous sens, comme l’aspect de la foudre.
15 |
Et je regardais les êtres vivants, et voici une roue, à terre, à côté des êtres vivants, vers leurs quatre faces. |
Louis Segond :
Je regardais ces animaux; et voici, il y avait une roue sur la terre, près des animaux, devant leurs quatre faces.
Martin :
Et comme j'eus vu les animaux, voici, une roue apparut sur la terre auprès des animaux pour ses quatre faces.
Ostervald :
Or, comme je contemplais ces animaux, voici je vis une roue sur la terre, auprès de ces animaux, devant leurs quatre faces.
Darby :
Et je regardais les animaux, et voici, une roue sur la terre, à côté des animaux, vers leurs quatre faces.
Crampon :
Et je regardai les êtres vivants, et voici une roue à terre auprès d’eux, devant leurs quatre faces.
16 |
L’aspect des roues et leur façon étaient comme l’apparence de la chrysolite, et il y avait une même ressemblance pour les quatre, et leur aspect et leur façon étaient comme si une roue était au travers{Héb. dans le milieu.} d’une roue. |
Louis Segond :
A leur aspect et à leur structure, ces roues semblaient être en chrysolithe, et toutes les quatre avaient la même forme; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d`une autre roue.
Martin :
Et la ressemblance et la façon des roues était comme la couleur d'un chrysolithe, et toutes les quatre avaient une même ressemblance; leur ressemblance et leur façon était comme si une roue eût été au dedans d'une autre roue.
Ostervald :
Quant à l'aspect de ces roues et à leur structure, elles ressemblaient à une chrysolithe; toutes les quatre étaient de même forme; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue semblait être au milieu d'une autre roue.
Darby :
L'aspect et la structure des roues étaient comme l'apparence d'un chrysolithe; et il y avait une même ressemblance pour les quatre, et leur aspect et leur structure étaient comme si une roue eût été au milieu d'une roue.
Crampon :
L’aspect des roues et leur forme étaient ceux de la pierre de Tharsis, et toutes quatre étaient semblables ; leur aspect et leur forme étaient comme si une roue était au milieu d’une autre roue.
17 |
Dans leur marche elles allaient sur leurs quatre côtés ; elles ne se tournaient point dans leur marche. |
Louis Segond :
En cheminant, elles allaient de leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point dans leur marche.
Martin :
En marchant elles allaient sur leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point quand elles allaient.
Ostervald :
En cheminant elles allaient sur leurs quatre côtés, et ne se détournaient point dans leur marche.
Darby :
En allant, elles allaient sur leurs quatre côtés; elles ne se tournaient point quand elles allaient.
Crampon :
En avançant, elles allaient sur leurs quatre côtés et ne se retournaient pas dans leur marche.
18 |
Et quant à leurs jantes, elles étaient hautes et formidables ; et leurs jantes, pour les quatre, étaient pleines d’yeux tout autour. |
Louis Segond :
Elles avaient une circonférence et une hauteur effrayantes, et à leur circonférence les quatre roues étaient remplies d`yeux tout autour.
Martin :
Et elles avaient des jantes, et étaient si hautes, qu'elles faisaient peur, et leurs jantes étaient pleines d'yeux tout autour des quatre roues.
Ostervald :
Elles avaient des jantes et une hauteur effrayante, et les jantes des quatre roues étaient toutes garnies d'yeux.
Darby :
Et quant à leurs jantes, elles étaient hautes et terribles, -et leurs jantes, à toutes les quatre, étaient pleines d'yeux tout autour.
Crampon :
Leurs jantes étaient d’une hauteur effrayante, et les jantes des quatre roues étaient remplies d’yeux tout autour.
19 |
Quand les êtres vivants marchaient, les roues marchaient à côté d’eux ; et quand les êtres vivants s’élevaient de dessus la terre, les roues s’élevaient. |
Louis Segond :
Quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côté d`eux; et quand les animaux s`élevaient de terre, les roues s`élevaient aussi.
Martin :
Et quand les animaux marchaient, les roues marchaient auprès d'eux; et quand les animaux s'élevaient de dessus la terre, les roues aussi s'élevaient.
Ostervald :
Et quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côté d'eux; et quand les animaux s'élevaient de terre, les roues s'élevaient aussi.
Darby :
Et quand les animaux allaient, les roues allaient à côté d'eux; et quand les animaux s'élevaient de dessus la terre, les roues s'élevaient.
Crampon :
Quand les êtres allaient, les roues allaient aussi à côté d’eux, et quand les êtres s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi.
20 |
Où l’Esprit voulait aller, ils allaient ; [oui], là où l’Esprit voulait aller ; et les roues s’élevaient tout auprès d’eux, car l’esprit de l’être vivant était dans les roues. |
Louis Segond :
Ils allaient où l`esprit les poussait à aller; et les roues s`élevaient avec eux, car l`esprit des animaux était dans les roues.
Martin :
Vers quelque part que l'Esprit voulût aller ils y allaient; l'Esprit tendait-il là? ils y allaient, et les roues s'élevaient vis-à-vis d'eux; car l'Esprit des animaux était dans les roues.
Ostervald :
Ils allaient partout où l'esprit les poussait à aller; l'esprit tendait-il là, ils y allaient, et les roues s'élevaient avec eux; car l'esprit des animaux était dans les roues.
Darby :
Là où l'Esprit devait aller, là ils allaient, là leur esprit tendait à aller; et les roues s'élevaient auprès d'eux, car l'esprit de l'animal était dans les roues.
Crampon :
Là où l’esprit les poussait à aller, ils y allaient, l’esprit les y poussant, et les roues s’élevaient avec eux ; car l’esprit de l’être vivant était dans les roues.
21 |
Quand ils marchaient, elles marchaient, et quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; et quand ils s’élevaient de dessus la terre, les roues s’élevaient tout auprès d’eux ; car l’esprit de l’être vivant était dans les roues. |
Louis Segond :
Quand ils marchaient, elles marchaient; quand ils s`arrêtaient, elles s`arrêtaient; quand ils s`élevaient de terre, les roues s`élevaient avec eux, car l`esprit des animaux était dans les roues.
Martin :
Quand ils marchaient, elles marchaient; et quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; et quand ils s'élevaient de dessus terre, les roues aussi s'élevaient vis-à-vis d'eux; car l'Esprit des animaux était dans les roues.
Ostervald :
Quand ils marchaient, elles marchaient; quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; et quand ils s'élevaient de terre, les roues s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était dans les roues.
Darby :
Quand ils allaient, elles allaient; et quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; et quand ils s'élevaient de dessus la terre, les roues s'élevaient auprès d'eux, car l'esprit de l'animal était dans les roues.
Crampon :
Quand ils allaient, elles allaient ; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; et quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient avec eux ; car l’esprit de l’être vivant était dans les roues.
22 |
Et au-dessus des têtes des êtres vivants il y avait la ressemblance d’une étendue comme l’apparence du cristal redoutable, étendu au-dessus de leurs têtes vers le haut. |
Louis Segond :
Au-dessus des têtes des animaux, il y avait comme un ciel de cristal resplendissant, qui s`étendait sur leurs têtes dans le haut.
Martin :
Et la ressemblance de ce qui était au-dessus des têtes des animaux, était une étendue semblable à la voir à un cristal dont l'état remplissait de respect, laquelle s'étendait sur leurs têtes par dessus.
Ostervald :
Au-dessus des têtes des animaux on voyait un ciel, pareil au cristal resplendissant, et qui s'étendait en haut par-dessus leurs têtes.
Darby :
Et au-dessus des têtes de l'animal, il y avait la ressemblance d'une étendue, comme l'apparence d'un cristal terrible étendu sur leurs têtes, en haut.
Crampon :
Au-dessus des têtes des êtres vivants, était la ressemblance d’un firmament, pareil à un cristal éblouissant ; il était étendu au-dessus de leurs têtes.
23 |
Et au-dessous de l’étendue, leurs ailes étaient toutes droites, dirigées l’une vers l’autre ; d’un côté chacun en avait deux, et de l’autre chacun en avait deux, qui couvraient leurs corps. |
Louis Segond :
Sous ce ciel, leurs ailes étaient droites l`une contre l`autre, et ils en avaient chacun deux qui les couvraient, chacun deux qui couvraient leurs corps.
Martin :
Et leurs ailes se tenaient droites au dessous de l'étendue, l'une vers l'autre; et ils avaient chacun deux ailes dont ils se couvraient, chacun, dis-je, en avait deux qui couvraient leurs corps.
Ostervald :
Et au-dessous de ce ciel, leurs ailes se tenaient droites l'une contre l'autre. Ils avaient chacun deux ailes dont ils se couvraient, et deux qui couvraient leurs corps.
Darby :
Et au-dessous de l'étendue, leurs ailes se tenaient droites, l'une vers l'autre: chacun en avait deux, qui couvraient leur corps, d'un côté, et chacun en avait deux, qui couvraient leur corps, de l'autre coté.
Crampon :
Et sous le firmament se dressaient leurs ailes, l’une vers l’autre, et chacun en avait deux qui lui couvraient le corps de chaque côté.
24 |
Et j’entendais, quand ils marchaient, le bruit de leurs ailes comme le bruit de grandes eaux, comme la voix du Tout-Puissant, un bruit de grand tumulte comme le bruit d’un camp. Quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes. |
Louis Segond :
J`entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout Puissant; c`était un bruit tumultueux, comme celui d`une armée; quand ils s`arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.
Martin :
Puis j'ouïs le bruit que faisaient leurs ailes quand ils marchaient, qui était comme le bruit des grosses eaux, et comme le bruit du Tout-Puissant, un bruit éclatant comme le bruit d'une armée; et quand ils s'arrêtaient, ils baissaient leurs ailes.
Ostervald :
Quand ils marchaient, j'entendais le bruit de leurs ailes, semblable au bruit des grosses eaux et comme la voix du Tout-Puissant, un bruit tumultueux, le bruit d'une armée; et quand ils s'arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.
Darby :
Et j'entendis le bruit de leurs ailes quand ils volaient, comme le bruit de grandes eaux, comme la voix du Tout-puissant, un bruit tumultueux comme le bruit d'une armée. Quand ils s'arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes;
Crampon :
Et j’entendis le bruit de leurs ailes, quand ils allaient, comme le bruit des grandes eaux, comme la voix du Tout-Puissant, un bruit tumultueux comme celui d’un camp ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.
25 |
Et il y eut une voix{Ou un tonnerre.} du haut de l’étendue qui était sur leurs têtes. Quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes. |
Louis Segond :
Et il se faisait un bruit qui partait du ciel étendu sur leurs têtes, lorsqu`ils s`arrêtaient et laissaient tomber leurs ailes.
Martin :
Et lorsqu'en s'arrêtant ils baissaient leurs ailes, il se faisait un bruit au dessus de l'étendue qui était sur leurs têtes.
Ostervald :
Et lorsqu'ils s'arrêtaient et laissaient retomber leurs ailes, une voix se faisait entendre du ciel étendu sur leurs têtes.
Darby :
et il y avait une voix au-dessus de l'étendue qui était sur leurs têtes: quand ils s'arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes.
Crampon :
Et il se faisait un bruit, partant du firmament étendu sur leurs têtes ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.
26 |
Et par-dessus l’étendue qui était sur leurs têtes, [se voyait], comme l’aspect d’une pierre de saphir, une ressemblance de trône ; et sur la ressemblance de trône, une ressemblance comme l’aspect d’un homme [assis] dessus, vers le haut. |
Louis Segond :
Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d`homme placé dessus en haut.
Martin :
Et au dessus de cette étendue, qui était sur leurs têtes, il y avait la ressemblance d'un trône, qui était, à le voir, comme une pierre de saphir: et sur la ressemblance du trône il y avait une ressemblance, qui, à la voir, était comme un homme assis sur le trône.
Ostervald :
Au-dessus du ciel étendu sur leurs têtes, on voyait une forme de trône, semblable par son aspect à une pierre de saphir; et sur cette forme de trône, on voyait comme une figure d'homme, qui en occupait le plus haut degré.
Darby :
Et au-dessus de l'étendue qui était sur leurs têtes, il y avait comme l'aspect d'une pierre de saphir, la ressemblance d'un trône; et, sur la ressemblance du trône, une ressemblance comme l'aspect d'un homme, dessus, en haut.
Crampon :
Au-dessus du firmament qui était sur leurs têtes, il y avait comme l’aspect d’une pierre de saphir, en forme de trône ; et sur cette ressemblance de trône, il semblait y avoir comme une figure d’homme au-dessus.
27 |
Et je vis comme l’apparence de l’airain ardent, comme l’aspect du feu, lui servant de demeure, tout autour, depuis l’aspect de ses reins en haut ; et depuis l’aspect de ses reins en bas, je vis comme l’aspect du feu avec un éclat tout autour. |
Louis Segond :
Je vis encore comme de l`airain poli, comme du feu, au dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour; depuis la forme de ses reins jusqu`en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu`en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné.
Martin :
Et je vis comme la couleur du Hasmal, ressemblant à un feu, au dedans duquel il était tout à l'entour; depuis la ressemblance de ses reins, et par dessus; et depuis la ressemblance de ses reins jusqu'en bas je vis comme qui verrait du feu, et il y avait une splendeur autour de lui.
Ostervald :
Je vis aussi, tout à l'entour, comme de l'airain poli, comme du feu, au-dedans duquel était cet homme. Depuis ce qui paraissait être ses reins, jusqu'en haut, et depuis ce qui paraissait être ses reins, jusqu'en bas, je vis comme du feu qui répandait autour de lui une splendeur éclatante.
Darby :
Et je vis comme l'apparence de l'airain luisant, comme l'aspect du feu, au dedans, tout autour: depuis l'aspect de ses reins vers le haut et depuis l'aspect de ses reins vers le bas, je vis comme l'aspect du feu; et il y avait une splendeur tout autour.
Crampon :
Au-dedans et alentour, je vis comme une forme de métal, comme un aspect de feu, depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessus ; et depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessous, je vis comme l’aspect du feu, et il y avait de l’éclat tout autour de lui.
28 |
Comme l’aspect de l’arc qui est dans la nue au jour de la pluie, tel était l’aspect de cet éclat tout autour. C’était l’aspect de la ressemblance de la gloire de l’Éternel. Et je vis, et je tombai sur ma face ; et j’entendis la voix de celui qui parlait. |
Louis Segond :
Tel l`aspect de l`arc qui est dans la nue en un jour de pluie, ainsi était l`aspect de cette lumière éclatante, qui l`entourait: c`était une image de la gloire de l`Éternel. A cette vue, je tombai sur ma face, et j`entendis la voix de quelqu`un qui parlait.
Martin :
Et la splendeur qui se voyait autour de lui était comme l'arc qui se fait dans la nuée en un jour de pluie. C'est là la vision de la représentation de la gloire de l'Eternel; laquelle ayant vue, je tombai sur ma face, et j'entendis une voix qui parlait.
Ostervald :
Et la splendeur qui se voyait autour de lui, était pareille à celle de l'arc qui est dans la nuée en un jour de pluie. Cette vision représentait l'image de la gloire de l'Éternel. A sa vue je tombai sur la face, et j'entendis une voix qui parlait.
Darby :
Comme l'aspect de l'arc qui est dans la nuée en un jour de pluie, tel était l'aspect de la splendeur tout autour. C'était là l'aspect de la ressemblance de la gloire de l'Éternel. Et je vis, et je tombai sur ma face et j'entendis une voix qui parlait.
Crampon :
Comme l’aspect de l’arc qui est dans la nuée en un jour de pluie, tel était l’aspect de l’éclat tout autour de lui. Tel était l’aspect de la ressemblance de la gloire de Yahweh.A cette vue, je tombai sur ma face, et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait.