1 |
Au chef de musique. Des fils de Coré. Cantique. |
Louis Segond :
Au chef des chantres. Des fils de Koré. Cantique.
Martin :
Maskil des e nfants de Coré, donné au maître chantre. Ô Dieu nous avons ouï de nos oreilles, et nos pères nous ont raconté les exploits que tu as faits en leurs jours, aux jours d'autrefois.
Ostervald :
Au maître-chantre. Cantique des enfants de Coré.
Darby :
O Dieu! nous avons entendu de nos oreilles, nos pères nous ont raconté l'oeuvre que tu as opérée dans leurs jours, aux jours d'autrefois.
Crampon :
Au maître de chant. Des fils de Coré. Cantique.
2 |
Ô Dieu ! nous l’avons entendu de nos oreilles, nos pères nous l’ont raconté : tu as agi puissamment en leurs jours, aux jours d’autrefois. |
Louis Segond :
O Dieu! nous avons entendu de nos oreilles, Nos pères nous ont raconté Les oeuvres que tu as accomplies de leur temps, Aux jours d`autrefois.
Martin :
Tu as de ta main chassé les nations, et tu as affermi nos pères; tu as affligé les peuples, et tu as fait prospérer nos pères.
Ostervald :
O Dieu! nous avons entendu de nos oreilles, nos pères nous ont raconté l'œuvre que tu as faite en leur temps, aux jours d'autrefois.
Darby :
Tu as, par ta main, dépossédé les nations, et tu as planté nos pères; tu as affligé les peuples et tu les as chassés.
Crampon :
O Dieu, nous avons entendu de nos oreilles, nos pères nous ont raconté l’œuvre que tu as accomplie de leur temps, aux jours anciens.
3 |
C’est toi qui, de ta main, les a plantés en dépossédant les nations ; tu les as étendus en brisant les peuples. |
Louis Segond :
De ta main tu as chassé des nations pour les établir, Tu as frappé des peuples pour les étendre.
Martin :
Car ce n'est point par leur épée qu'ils ont conquis le pays, et ce n'a point été leur bras, qui les a délivrés; mais ta droite, et ton bras, et la lumière de ta face; parce que tu les affectionnais.
Ostervald :
Par ta main tu as chassé les nations et tu as établi nos pères; tu as brisé les peuples pour leur faire place.
Darby :
Car ce n'est point par leur épée qu'ils ont possédé le pays, et ce n'est pas leur bras qui les a sauvés; car c'est ta droite et ton bras et la lumière de ta face, parce que tu avais pris ton plaisir en eux.
Crampon :
De ta main tu as chassé des nations pour les établir, tu as frappé des peuples pour les étendre.
4 |
Car ce n’est point par leur épée qu’ils ont possédé la terre, et ce n’est pas leur bras qui les a sauvés ; mais c’est ta droite et ton bras, et la lumière de ta face, parce que tu avais mis en eux ton bon plaisir. |
Louis Segond :
Car ce n`est point par leur épée qu`ils se sont emparés du pays, Ce n`est point leur bras qui les a sauvés; Mais c`est ta droite, c`est ton bras, c`est la lumière de ta face, Parce que tu les aimais.
Martin :
Ô Dieu! c'est toi qui es mon Roi, ordonne les délivrances de Jacob.
Ostervald :
Car ce n'est pas par leur épée qu'ils ont conquis le pays, et ce n'est pas leur bras qui les a sauvés; c'est ta droite, et ton bras, et la lumière de ta face, car tu les aimais.
Darby :
C'est toi qui es mon roi, ô Dieu! Commande le salut pour Jacob.
Crampon :
Car ce n’est point avec leur épée qu’ils ont conquis le pays, ce n’est point leur bras qui leur a donné la victoire ; mais c’est ta droite, c’est ton bras, c’est la lumière de ta face, parce que tu les aimais.
5 |
C’est toi qui es mon roi, ô Dieu ! commande les délivrances{Héb. les saluts.} de Jacob. |
Louis Segond :
O Dieu! tu es mon roi: Ordonne la délivrance de Jacob!
Martin :
Avec toi nous battrons nos adversaires, par ton Nom nous foulerons ceux qui s'élèvent contre nous.
Ostervald :
C'est toi, ô Dieu! qui es mon Roi; ordonne la délivrance de Jacob.
Darby :
Avec toi, nous frapperons nos adversaires; par ton nom, nous foulerons ceux qui s'élèvent contre nous.
Crampon :
C’est toi qui es mon roi, ô Dieu : ordonne le salut de Jacob !
6 |
En toi nous heurtons de la corne nos adversaires ; en ton nom nous foulons ceux qui se lèvent contre nous. |
Louis Segond :
Avec toi nous renversons nos ennemis, Avec ton nom nous écrasons nos adversaires.
Martin :
Car je ne me confie point en mon arc, et ce ne sera pas mon épée qui me délivrera;
Ostervald :
Par toi nous frapperons nos ennemis; par ton nom nous foulerons ceux qui s'élèvent contre nous.
Darby :
Car ce n'est pas en mon arc que je me confie, et mon épée ne me sauvera point;
Crampon :
Par toi nous renverserons nos ennemis, en ton nom nous écraserons nos adversaires.
7 |
Car ce n’est pas en mon arc que je me confie, et mon épée ne peut point me sauver ; |
Louis Segond :
Car ce n`est pas en mon arc que je me confie, Ce n`est pas mon épée qui me sauvera;
Martin :
Mais tu nous délivreras de nos adversaires, et tu rendras confus ceux qui nous haïssent.
Ostervald :
Car je ne me confie pas en mon arc; ce n'est pas mon épée qui me sauvera.
Darby :
Car tu nous as sauvés de nos adversaires, et tu rends confus ceux qui nous haïssent.
Crampon :
Car ce n’est pas en mon arc que j’ai confiance ce n’est pas mon épée qui me sauvera.
8 |
car c’est toi qui nous sauves de nos adversaires, et tu couvres de confusion ceux qui nous haïssent. |
Louis Segond :
Mais c`est toi qui nous délivres de nos ennemis, Et qui confonds ceux qui nous haïssent.
Martin :
Nous nous glorifierons en Dieu tout le jour, et nous célébrerons à toujours ton Nom. Sélah.
Ostervald :
C'est toi qui nous as sauvés de nos ennemis, et qui as rendu confus ceux qui nous haïssent.
Darby :
En Dieu nous nous glorifierons tout le jour, et nous célébrerons ton nom à toujours. Sélah.
Crampon :
Mais c’est toi qui nous délivres de nos ennemis, et qui confonds ceux qui nous haïssent.
9 |
Nous célébrons Dieu chaque jour et nous louerons éternellement ton nom. (Sélah.) |
Louis Segond :
Nous nous glorifions en Dieu chaque jour, Et nous célébrerons à jamais ton nom. — Pause.
Martin :
Mais tu nous as rejetés, et rendus confus, et tu ne sors plus avec nos armées.
Ostervald :
C'est en Dieu que nous nous glorifions chaque jour; nous célébrerons ton nom à jamais. Sélah (pause).
Darby :
Mais tu nous as rejetés et rendus confus, et tu ne sors plus avec nos armées;
Crampon :
En Dieu nous nous glorifions chaque jour, et nous célébrons ton nom à jamais. — Séla.
10 |
Et pourtant, tu nous rejettes et tu nous couvres d’ignominie, et tu ne sors plus avec nos armées ; |
Louis Segond :
Cependant tu nous repousses, tu nous couvres de honte, Tu ne sors plus avec nos armées;
Martin :
Tu nous as fait retourner en arrière de devant l'adversaire, et nos ennemis se sont enrichis de ce qu'ils ont pillé sur nous.
Ostervald :
Cependant tu nous as rejetés et couverts d'opprobre, et tu ne sors plus avec nos armées.
Darby :
Tu nous as fait retourner en arrière devant l'adversaire, et ceux qui nous haïssent ont pillé pour eux-mêmes;
Crampon :
Cependant tu nous repousses et nous couvres de honte ; tu ne sors plus avec nos armées.
11 |
tu nous fais reculer devant notre adversaire, et ceux qui nous haïssent se sont emparés du butin. |
Louis Segond :
Tu nous fais reculer devant l`ennemi, Et ceux qui nous haïssent enlèvent nos dépouilles.
Martin :
Tu nous as livrés comme des brebis destinées à être mangées, et tu nous as dispersés entre les nations.
Ostervald :
Tu nous fais reculer devant l'ennemi, et ceux qui nous haïssent ont pris leur butin.
Darby :
Tu nous as livrés comme des brebis destinées à être mangées, et tu nous as dispersés parmi les nations;
Crampon :
Tu nous fais reculer devant l’ennemi, et ceux qui nous haïssent nous dépouillent.
12 |
Tu nous livres comme le menu bétail qu’on mange, et tu nous disperses parmi les nations ; |
Louis Segond :
Tu nous livres comme des brebis à dévorer, Tu nous disperses parmi les nations.
Martin :
Tu as vendu ton peuple pour rien, et tu n'as point fait hausser leur prix.
Ostervald :
Tu nous livres comme des brebis qu'on mange; tu nous as dispersés parmi les nations.
Darby :
Tu as vendu ton peuple pour rien, et tu ne t'es pas agrandi par leur prix;
Crampon :
Tu nous livres comme des brebis destinées à la boucherie, tu nous disperses parmi les nations ;
13 |
tu vends ton peuple pour ce qui est sans valeur, et tu ne l’estimes pas à un grand prix{Ou tu n’enchéris pas sur leur prix.} |
Louis Segond :
Tu vends ton peuple pour rien, Tu ne l`estimes pas à une grande valeur.
Martin :
Tu nous as mis en opprobre chez nos voisins, en dérision, et en raillerie auprès de ceux qui habitent autour de nous.
Ostervald :
Tu vends ton peuple pour rien, et tu les mets à vil prix.
Darby :
nous as mis en opprobre chez nos voisins, en risée et en raillerie auprès de nos alentours;
Crampon :
tu vends ton peuple à vil prix, tu ne l’estimes pas à une grande valeur.
14 |
Tu fais de nous un objet d’opprobre pour nos voisins, la risée et le jouet de nos alentours ; |
Louis Segond :
Tu fais de nous un objet d`opprobre pour nos voisins, De moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent;
Martin :
Tu nous as mis en dicton parmi les nations, et en hochement de tête parmi les peuples.
Ostervald :
Tu fais de nous l'opprobre de nos voisins, la risée et le jouet de nos alentours.
Darby :
Tu nous as mis comme proverbe parmi les nations, comme hochement de tête parmi les peuples.
Crampon :
Tu fais de nous un objet d’opprobre pour nos voisins, de moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent.
15 |
tu fais de nous un proverbe parmi les nations ; on hoche la tête à notre sujet parmi les peuples. |
Louis Segond :
Tu fais de nous un objet de sarcasme parmi les nations, Et de hochements de tête parmi les peuples.
Martin :
Ma confusion est tout le jour devant moi, et la honte de ma face m'a tout couvert.
Ostervald :
Tu fais de nous la fable des nations; en nous voyant, les peuples hochent la tête.
Darby :
Tout le jour ma confusion est devant moi, et la honte de ma face m'a couvert,
Crampon :
Tu nous rends la fable des nations, et un sujet de hochements de tête parmi les peuples.
16 |
Chaque jour mon ignominie est devant moi, et la honte de mon visage me couvre, |
Louis Segond :
Ma honte est toujours devant moi, Et la confusion couvre mon visage,
Martin :
A cause des discours de celui qui nous fait des reproches, et qui nous injurie, et à cause de l'ennemi et du vindicatif.
Ostervald :
Mon ignominie est toujours devant moi, et la confusion couvre mon visage,
Darby :
cause de la voix de celui qui outrage et qui injurie, à cause de l'ennemi et du vengeur.
Crampon :
Ma honte est toujours devant mes yeux, et la confusion couvre mon visage,
17 |
à la voix de celui qui insulte et qui outrage, à cause de l’ennemi et du vindicatif. |
Louis Segond :
A la voix de celui qui m`insulte et m`outrage, A la vue de l`ennemi et du vindicatif.
Martin :
Tout cela nous est arrivé, et cependant nous ne t'avons point oublié, et nous n'avons point faussé ton alliance.
Ostervald :
A la voix de celui qui insulte et qui outrage, à la vue de l'ennemi et du vindicatif.
Darby :
Tout cela nous est arrivé, et nous ne t'avons pas oublié, et nous n'avons pas été infidèles à ton alliance.
Crampon :
à la voix de celui qui m’insulte et m’outrage,à la vue de l’ennemi et de celui qui respire la vengeance.
18 |
Tout cela nous est arrivé, et nous ne t’avons pas oublié, et nous n’avons pas été infidèles à ton alliance ; |
Louis Segond :
Tout cela nous arrive, sans que nous t`ayons oublié, Sans que nous ayons violé ton alliance:
Martin :
Notre coeur n'a point reculé en arrière, ni nos pas ne se sont point détournés de tes sentiers;
Ostervald :
Tout cela nous est arrivé; et cependant nous ne t'avons pas oublié, nous n'avons pas forfait à ton alliance.
Darby :
Notre coeur ne s'est pas retiré en arrière, et nos pas n'ont point dévié de ton sentier;
Crampon :
Tout cela nous arrive sans que nous t’ayons oublié, sans que nous ayons été infidèles à ton alliance.
19 |
notre cœur ne s’est point retiré en arrière et notre pas ne s’est point détourné de ton sentier, |
Louis Segond :
Notre coeur ne s`est point détourné, Nos pas ne se sont point éloignés de ton sentier,
Martin :
Quoique tu nous aies froissés parmi des dragons, et couverts de l'ombre de la mort.
Ostervald :
Notre cœur ne s'est point retiré en arrière; nos pas ne se sont point écartés de ton sentier,
Darby :
Quoique tu nous aies écrasés dans le lieu des chacals, et que tu nous aies couverts de l'ombre de la mort.
Crampon :
Notre cœur ne s’est point détourné en arrière, nos pas ne se sont pas écartés de ton sentier,
20 |
pour que tu nous aies écrasés dans le lieu des chacals, et que tu nous couvres de l’ombre de la mort. |
Louis Segond :
Pour que tu nous écrases dans la demeure des chacals, Et que tu nous couvres de l`ombre de la mort.
Martin :
Si nous eussions oublié le Nom de notre Dieu, et que nous eussions étendu nos mains vers un dieu étranger,
Ostervald :
Quand tu nous as foulés parmi les chacals et couverts de l'ombre de la mort.
Darby :
Si nous avions oublié le nom de notre Dieu, et étendu nos mains vers un *dieu étranger,
Crampon :
pour que tu nous écrases dans la retraite des chacals, et que tu nous couvres de l’ombre de la mort.
21 |
Si nous avions oublié le nom de notre Dieu et si nous avions étendu nos mains vers un dieu étranger, |
Louis Segond :
Si nous avions oublié le nom de notre Dieu, Et étendu nos mains vers un dieu étranger,
Martin :
Dieu ne s'en enquerrait-il point? vu que c'est lui qui connaît les secrets du coeur.
Ostervald :
Si nous eussions oublié le nom de notre Dieu, si nous eussions étendu nos mains vers un dieu étranger,
Darby :
Dieu ne s'en enquerrait-il pas? car lui connaît les secrets du coeur.
Crampon :
Si nous avions oublié le nom de notre Dieu, et tendu les mains vers un dieu étranger,
22 |
est-ce que Dieu n’en eût pas fait enquête ? Car il connaît ce qui est caché dans le cœur. |
Louis Segond :
Dieu ne le saurait-il pas, Lui qui connaît les secrets du coeur?
Martin :
Mais nous sommes tous les jours mis à mort pour l'amour de toi, et nous sommes regardés comme des brebis de la boucherie.
Ostervald :
Dieu n'en aurait-il pas fait enquête, lui qui connaît les secrets du cœur?
Darby :
Mais, à cause de toi, nous sommes mis à mort tous les jours, nous sommes estimés comme des brebis de tuerie.
Crampon :
Dieu ne l’aurait-il pas aperçu, lui qui connaît les secrets du cœur ?
23 |
Certes, à cause de toi, nous sommes mis à mort chaque jour ; nous sommes estimés comme le menu bétail de boucherie. |
Louis Segond :
Mais c`est à cause de toi qu`on nous égorge tous les jours, Qu`on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie.
Martin :
Lève-toi, pourquoi dors-tu, Seigneur? Réveille-toi, ne nous rejette point à jamais.
Ostervald :
Mais, à cause de toi, nous sommes mis à mort tous les jours, et regardés comme des brebis destinées à la boucherie.
Darby :
Éveille-toi! Pourquoi dors-tu, Seigneur? Réveille-toi; ne nous rejette pas pour toujours.
Crampon :
Mais c’est à cause de toi qu’on nous égorge tous les jours, qu’on nous traite comme des brebis destinées à la boucherie.
24 |
Éveille-toi ! pourquoi t’endors-tu, Seigneur ? Réveille-toi ; ne [nous] rejette pas à perpétuité. |
Louis Segond :
Réveille-toi! Pourquoi dors-tu, Seigneur? Réveille-toi! ne nous repousse pas à jamais!
Martin :
Pourquoi caches-tu ta face, et pourquoi oublies-tu notre affliction et notre oppression?
Ostervald :
Lève-toi! Pourquoi dors-tu, Seigneur? Réveille-toi, ne nous rejette pas à toujours!
Darby :
Pourquoi caches-tu ta face, et oublies-tu notre affliction et notre oppression?
Crampon :
Réveille-toi ! Pourquoi dors-tu, Seigneur ? Réveille-toi, et ne nous repousse pas à jamais !
25 |
Pourquoi caches-tu ta face ? pourquoi oublies-tu notre affliction et notre oppression ? |
Louis Segond :
Pourquoi caches-tu ta face? Pourquoi oublies-tu notre misère et notre oppression?
Martin :
Car notre âme est penchée jusques en la poudre, et notre ventre est attaché contre terre.
Ostervald :
Pourquoi caches-tu ta face? Pourquoi oublies-tu notre misère et notre oppression?
Darby :
Car notre âme est courbée jusque dans la poussière, notre ventre est attaché à la terre.
Crampon :
Pourquoi caches-tu ta face, oublies-tu notre misère et notre oppression ?
26 |
Car notre âme est abattue dans la poussière, notre corps reste attaché à la terre. |
Louis Segond :
Car notre âme est abattue dans la poussière, Notre corps est attaché à la terre.
Martin :
Lève-toi pour nous secourir, et nous délivre pour l'amour de ta gratuité.
Ostervald :
Car notre âme est abattue jusque dans la poussière; notre ventre est attaché à la terre.
Darby :
Lève-toi, aide-nous, et rachète-nous à cause de ta bonté.
Crampon :
Car notre âme est affaissée jusqu’à la poussière, notre corps est attaché à la terre.
27 |
Lève-toi en secours pour nous, et rachète-nous à cause de ta grâce. |
Louis Segond :
Lève-toi, pour nous secourir! Délivre-nous à cause de ta bonté!
Ostervald :
Lève-toi, viens à notre aide, et rachète-nous à cause de ta bonté!
Crampon :
Lève-toi pour nous secourir, délivre-nous à cause de ta bonté !