1 | De David. Béni soit l’Éternel, mon rocher, qui enseigne mes mains pour le combat, mes doigts pour la bataille ; |
2 | ma grâce et ma forteresse, ma haute retraite et mon libérateur, mon bouclier, et celui en qui je me réfugie ; lui qui range mon peuple sous moi. |
3 | Éternel ! qu’est-ce que l’homme, pour que tu le connaisses, et le fils du mortel, pour que tu penses à lui ? |
7 | Étends tes mains d’en haut ; affranchis-moi et délivre-moi des grandes eaux, de la main des fils de l’étranger, |
11 | Affranchis-moi et délivre-moi de la main des fils de l’étranger, dont la bouche profère la vanité et dont la droite est une droite trompeuse. |
12 | Nos fils seront ainsi comme des plantes, croissant dans leur jeunesse ; nos filles, comme des angles sculptés selon le modèle de ceux d’un palais. |
13 | Que nos celliers soient remplis, fournissant toute espèce de provisions ; que notre menu bétail se multiplie par milliers, par dix milliers dans nos campagnes ; |
14 | que nos génisses soient fécondes ; qu’il n’y ait ni brèche, ni perte, ni clameur dans nos places. |