1 |
Ne te vante pas du jour de demain, car tu ne sais ce qu’un jour enfantera. |
Louis Segond :
Ne te vante pas du lendemain, Car tu ne sais pas ce qu`un jour peut enfanter.
Martin :
Ne te vante point du jour de demain; car tu ne sais pas quelle chose le jour enfantera.
Ostervald :
Ne te vante point du jour du lendemain; car tu ne sais pas ce que ce jour peut enfanter.
Darby :
Ne te glorifie pas du jour de demain, car tu ne sais pas ce qu'un jour enfantera.
Crampon :
Ne te glorifie pas du lendemain, car tu ne sais pas ce qu’enfantera le jour suivant.
2 |
Qu’un autre te vante et non ta propre bouche, un étranger et non tes lèvres. |
Louis Segond :
Qu`un autre te loue, et non ta bouche, Un étranger, et non tes lèvres.
Martin :
Qu'un autre te loue, et non pas ta bouche; que ce soit l'étranger, et non pas tes lèvres.
Ostervald :
Qu'un autre te loue, et non pas ta propre bouche; que ce soit un étranger, et non tes lèvres.
Darby :
autre te loue, et non ta bouche, -un étranger, et non tes lèvres.
Crampon :
Qu’un autre te loue, et non ta bouche ; un étranger, et non tes lèvres.
3 |
La pierre est pesante et le sable est lourd, et l’irritation d’un fou pèse plus que l’une et l’autre. |
Louis Segond :
La pierre est pesante et le sable est lourd, Mais l`humeur de l`insensé pèse plus que l`un et l`autre.
Martin :
La pierre est pesante, et le sablon est accablant; mais le dépit du fou est plus pesant que tous les deux.
Ostervald :
La pierre est pesante, et le sable est lourd; mais la colère d'un insensé est plus pesante que l'un et l'autre.
Darby :
La pierre est pesante et le sable est lourd; mais l'humeur d'un fou est plus pesante que tous les deux.
Crampon :
La pierre est lourde et le sable est pesant : plus que l’un et l’autre pèse la colère de l’insensé.
4 |
Si la fureur est cruelle et si la colère est un débordement, qui subsistera devant la jalousie ? |
Louis Segond :
La fureur est cruelle et la colère impétueuse, Mais qui résistera devant la jalousie?
Martin :
Il y a de la cruauté dans la fureur, et du débordement dans la colère; mais qui pourra subsister devant la jalousie?
Ostervald :
La colère est cruelle; et la fureur est comme une inondation; mais qui pourra subsister devant la jalousie?
Darby :
La fureur est cruelle et la colère déborde, mais qui subsistera devant la jalousie?
Crampon :
La fureur est cruelle et la colère impétueuse ; mais qui pourra tenir devant la jalousie ?
5 |
Mieux vaut répréhension ouverte qu’amitié cachée. |
Louis Segond :
Mieux vaut une réprimande ouverte Qu`une amitié cachée.
Martin :
La correction ouverte vaut mieux qu'un amour secret.
Ostervald :
Une réprimande ouverte vaut mieux qu'une amitié cachée.
Darby :
Mieux vaut une réprimande ouverte qu'un amour caché.
Crampon :
Mieux vaut une réprimande ouverte qu’une amitié cachée.
6 |
Les blessures faites par celui qui aime viennent de fidélité, et les baisers de celui qui hait sont fréquents. |
Louis Segond :
Les blessures d`un ami prouvent sa fidélité, Mais les baisers d`un ennemi sont trompeurs.
Martin :
Les plaies faites par celui qui aime, sont fidèles, et les baisers de celui qui hait, sont à craindre.
Ostervald :
Les blessures faites par celui qui aime, sont fidèles; mais les baisers de celui qui hait sont trompeurs.
Darby :
Les blessures faites par un ami sont fidèles, mais les baisers de celui qui hait sont fréquents.
Crampon :
Les blessures d’un ami sont inspirées par la fidélité, mais les baisers d’un ennemi sont trompeurs.
7 |
L’âme rassasiée foule aux pieds le rayon de miel, et pour l’âme affamée toute chose amère est douce. |
Louis Segond :
Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, Mais celui qui a faim trouve doux tout ce qui est amer.
Martin :
L'âme rassasiée foule les rayons de miel; mais à l'âme qui a faim, toute chose amère est douce.
Ostervald :
Celui qui est rassasié, foule aux pieds les rayons de miel; mais celui qui a faim trouve doux même ce qui est amer.
Darby :
L'âme rassasiée foule aux pieds les rayons de miel, mais pour l'âme qui a faim tout ce qui est amer est doux.
Crampon :
Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, mais à celui qui a faim tout ce qui est amer paraît doux.
8 |
Tel que le petit oiseau errant çà et là loin de son nid, tel est l’homme errant çà et là loin de son lieu. |
Louis Segond :
Comme l`oiseau qui erre loin de son nid, Ainsi est l`homme qui erre loin de son lieu.
Martin :
Tel qu'est un oiseau s'écartant de son nid, tel est l'homme qui s'écarte de son lieu.
Ostervald :
Tel qu'est un oiseau qui erre loin de son nid, tel est l'homme qui s'éloigne de sa demeure.
Darby :
Comme un oiseau erre çà et là loin de son nid, ainsi est l'homme qui erre loin de son lieu.
Crampon :
Comme l’oiseau qui erre loin de son nid, ainsi l’homme qui erre loin de son lieu.
9 |
L’huile et le parfum réjouissent le cœur ; telle est la douceur d’un ami dont le conseil est cordial{Héb. [vient] de l’âme.} |
Louis Segond :
L`huile et les parfums réjouissent le coeur, Et les conseils affectueux d`un ami sont doux.
Martin :
L'huile et le parfum réjouissent le coeur, et il en est ainsi de la douceur d'un ami, laquelle vient d'un conseil cordial.
Ostervald :
L'huile et le parfum réjouissent le cœur; telle est la douceur d'un ami dont le conseil vient du cœur.
Darby :
L'huile et le parfum réjouissent le coeur, et la douceur d'un ami est le fruit d'un conseil qui vient du coeur.
Crampon :
L’huile et les parfums réjouissent le cœur ; telle la douceur d’un ami dont le conseil vient du cœur.
10 |
N’abandonne point ton ami ni l’ami de ton père, et n’entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta calamité. Mieux vaut le voisin proche que le frère éloigné. |
Louis Segond :
N`abandonne pas ton ami et l`ami de ton père, Et n`entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta détresse; Mieux vaut un voisin proche qu`un frère éloigné.
Martin :
Ne quitte point ton ami, ni l'ami de ton père, et n'entre point en la maison de ton frère au temps de ta calamité; car le voisin qui est proche, vaut mieux que le frère qui est loin.
Ostervald :
Ne quitte point ton ami, ni l'ami de ton père, et ne va point dans la maison de ton frère au jour de ta détresse; car un bon voisin qui est près, vaut mieux qu'un frère qui est loin.
Darby :
N'abandonne point ton ami, ni l'ami de ton père, et n'entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta calamité. Mieux vaut un voisin proche qu'un frère éloigné.
Crampon :
N’abandonne pas ton ami et l’ami de ton père, et n’entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta détresse ; mieux vaut un voisin proche qu’un frère éloigné.
11 |
Mon fils, sois sage et réjouis mon cœur, et j’aurai une parole à répondre à celui qui m’outrage. |
Louis Segond :
Mon fils, sois sage, et réjouis mon coeur, Et je pourrai répondre à celui qui m`outrage.
Martin :
Mon fils sois sage, et réjouis mon coeur, afin que j'aie de quoi répondre à celui qui me fait des reproches.
Ostervald :
Mon fils, sois sage, et réjouis mon cœur, et je pourrai répondre à celui qui me fera des reproches.
Darby :
Mon fils, sois sage et réjouis mon coeur, afin que j'aie de quoi répondre à celui qui m'outrage.
Crampon :
Mon fils, deviens sage et réjouis mon cœur, afin que je puisse répondre à celui qui m’outrage.
12 |
L’homme habile voit le mal et se cache ; les sots passent outre et payent l’amende. |
Louis Segond :
L`homme prudent voit le mal et se cache; Les simples avancent et sont punis.
Martin :
L'homme bien avisé prévoit le mal, et se tient caché; mais les niais passent outre, et ils en payent l'amende.
Ostervald :
L'homme bien avisé prévoit le mal, et se met à l'abri; mais les simples passent outre et en portent la peine.
Darby :
L'homme avisé voit le mal et se cache; les simples passent outre et en portent la peine.
Crampon :
L’homme prudent voit le mal et se cache ; les simples passent et en portent la peine.
13 |
Prends son vêtement, car il a cautionné autrui, et exige de lui un gage à cause de l’étrangère. |
Louis Segond :
Prends son vêtement, car il a cautionné autrui; Exige de lui des gages, à cause des étrangers.
Martin :
Quand quelqu'un aura cautionné pour l'étranger, prends son vêtement, et prends gage de lui pour l'étrangère.
Ostervald :
Quand quelqu'un aura cautionné un étranger, prends son vêtement; exige de lui un gage, à cause des étrangers.
Darby :
Prends son vêtement, car il a cautionné autrui; et prends de lui un gage, à cause de l'étrangère.
Crampon :
Prends son vêtement, car il a répondu pour autrui ; demande des gages à cause des étrangers.
14 |
À qui bénit son ami à grande voix en se levant de bonne heure le matin, on le lui comptera comme malédiction. |
Louis Segond :
Si l`on bénit son prochain à haute voix et de grand matin, Cela est envisagé comme une malédiction.
Martin :
Celui qui bénit son ami à haute voix, se levant de grand matin, sera tenu comme s'il le maudissait.
Ostervald :
Celui qui bénit son ami à haute voix, de bon matin, sera considéré comme s'il le maudissait.
Darby :
A celui qui bénit son ami à haute voix, se levant le matin de bonne heure, on le lui comptera comme une malédiction.
Crampon :
Bénir son prochain à haute voix et de grand matin est réputé comme une malédiction.
15 |
Une gouttière continue en un jour de forte pluie et une femme querelleuse sont choses pareilles. |
Louis Segond :
Une gouttière continue dans un jour de pluie Et une femme querelleuse sont choses semblables.
Martin :
Une gouttière continuelle au temps de la grosse pluie, et une femme querelleuse, c'est tout un.
Ostervald :
Une gouttière continuelle au temps d'une grosse pluie, et une femme querelleuse, c'est tout un.
Darby :
Une gouttière continuelle en un jour de pluie, et un femme querelleuse, cela se ressemble.
Crampon :
Une gouttière continue dans un jour de pluie et une femme querelleuse se ressemblent.
16 |
Qui la retient, retient le vent, et dans sa droite l’huile{Héb. l’huile de sa droite.} crie. |
Louis Segond :
Celui qui la retient retient le vent, Et sa main saisit de l`huile.
Martin :
Celui qui la veut retenir, retient le vent; et elle se fera connaître comme un parfum qu'il aurait dans sa main droite.
Ostervald :
Qui veut la retenir essaie d'arrêter le vent et de saisir de l'huile de sa main.
Darby :
Qui l'arrête, arrête le vent, et sa droite trouve de l'huile.
Crampon :
Celui qui la retient, retient le vent, et sa main saisit de l’huile.
17 |
Le fer s’aiguise par le fer, et un homme excite la colère de{Héb. aiguise la face de.} son compagnon. |
Louis Segond :
Comme le fer aiguise le fer, Ainsi un homme excite la colère d`un homme.
Martin :
Comme le fer aiguise le fer, ainsi l'homme aiguise la face de son ami.
Ostervald :
Comme le fer aiguise le fer, ainsi un homme en aiguise un autre.
Darby :
Le fer s'aiguise par le fer, et un homme ranime le visage de son ami.
Crampon :
Le fer aiguise le fer ; ainsi un homme aiguise un autre homme.
18 |
Qui veille sur le figuier en mangera le fruit, et qui garde son seigneur sera honoré. |
Louis Segond :
Celui qui soigne un figuier en mangera le fruit, Et celui qui garde son maître sera honoré.
Martin :
Comme celui qui garde le figuier, mangera de son fruit; ainsi celui qui garde son maître sera honoré.
Ostervald :
Celui qui garde le figuier, mangera de son fruit; ainsi celui qui garde son maître sera honoré.
Darby :
Celui qui soigne le figuier mange de son fruit, et celui qui veille sur son maître sera honoré.
Crampon :
Celui qui garde son figuier en mangera les fruits, et celui qui garde son maître sera honoré.
19 |
Comme dans l’eau le visage [répond] au visage, ainsi le cœur de l’homme à l’homme. |
Louis Segond :
Comme dans l`eau le visage répond au visage, Ainsi le coeur de l`homme répond au coeur de l`homme.
Martin :
Comme dans l'eau le visage répond au visage, ainsi le coeur de l'homme répond à l'homme.
Ostervald :
Comme dans l'eau le visage répond au visage, ainsi le cœur d'un homme répond à celui d'un autre homme.
Darby :
Comme dans l'eau le visage répond au visage, ainsi le coeur de l'homme répond à l'homme.
Crampon :
Comme dans l’eau le visage répond au visage, ainsi le cœur de l’homme répond à l’homme.
20 |
Le séjour des morts et le gouffre sont insatiables, et les yeux de l’homme sont insatiables. |
Louis Segond :
Le séjour des morts et l`abîme sont insatiables; De même les yeux de l`homme sont insatiables.
Martin :
Le sépulcre et le gouffre ne sont jamais rassasiés; aussi les yeux des hommes ne sont jamais satisfaits.
Ostervald :
Le Sépulcre et le gouffre ne sont jamais rassasiés; de même, les yeux de l'homme sont insatiables.
Darby :
Le shéol et l'abîme sont insatiables, et les yeux de l'homme sont insatiables.
Crampon :
Le schéol et l’abîme ne sont jamais rassasiés, de même les yeux de l’homme ne sont jamais rassasiés.
21 |
Le creuset est pour l’argent et le fourneau pour l’or ; que tel soit l’homme pour la bouche qui le loue. |
Louis Segond :
Le creuset est pour l`argent, et le fourneau pour l`or; Mais un homme est jugé d`après sa renommée.
Martin :
Comme le fourneau est pour éprouver l'argent, et le creuset l'or; ainsi est à l'homme la bouche qui le loue.
Ostervald :
L'argent est éprouvé par le fourneau, l'or par le creuset; et l'homme est jugé d'après sa renommée.
Darby :
Le creuset est pour l'argent, et le fourneau pour l'or, ainsi l'homme, pour la bouche qui le loue.
Crampon :
Le creuset est pour l’argent, et le fourneau pour l’or ; que l’homme éprouve de même la louange qu’il reçoit !
22 |
Quand tu broierais le fou dans un mortier avec le pilon au milieu du grain qu’on pile, sa folie ne s’écarterait pas de lui. |
Louis Segond :
Quand tu pilerais l`insensé dans un mortier, Au milieu des grains avec le pilon, Sa folie ne se séparerait pas de lui.
Martin :
Quand tu pilerais le fou au mortier parmi du grain qu'on pile avec un pilon, sa folie ne se départira point de lui.
Ostervald :
Quand tu pilerais un insensé dans un mortier, parmi du grain, avec un pilon, sa folie ne se détacherait pas de lui.
Darby :
Quand tu broierais le fou dans un mortier, au milieu du grain, avec un pilon, sa folie ne se retirerait pas de lui.
Crampon :
Quand tu pilerais l’insensé dans un mortier, comme on broie le grain, avec le pilon, sa folie ne se séparerait pas de lui.— Prévoyance. —
23 |
Connais bien l’aspect de ton menu bétail, mets ton cœur aux troupeaux ; |
Louis Segond :
Connais bien chacune de tes brebis, Donne tes soins à tes troupeaux;
Martin :
Sois soigneux à reconnaître l'état de tes brebis, et mets ton coeur aux parcs.
Ostervald :
Applique-toi à connaître l'état de tes brebis et donne tes soins à tes troupeaux.
Darby :
Connais bien la face de ton menu bétail, veille sur tes troupeaux;
Crampon :
Connais bien l’état de tes brebis, applique ton attention à ton troupeau ;
24 |
car l’abondance n’est pas éternelle et la couronne ne durera pas d’âge en âge. |
Louis Segond :
Car la richesse ne dure pas toujours, Ni une couronne éternellement.
Martin :
Car le trésor ne dure point à toujours, et la couronne n'est pas d'âge en âge.
Ostervald :
Car les richesses ne durent pas toujours, et la couronne ne demeure pas d'âge en âge.
Darby :
car l'abondance n'est pas pour toujours, et une couronne dure-t-elle de génération en génération?
Crampon :
car la richesse ne dure pas toujours, ni une couronne d’âge en âge.
25 |
Le foin est emporté, la verdure paraît, et les herbes des montagnes sont recueillies ; |
Louis Segond :
Le foin s`enlève, la verdure paraît, Et les herbes des montagnes sont recueillies.
Martin :
Le foin se montre, et l'herbe paraît, et on amasse les herbes des montagnes.
Ostervald :
Le foin se récolte, et la verdure paraît, et les herbes des montagnes sont recueillies.
Darby :
Le foin disparaît, et l'herbe tendre se montre, et on ramasse les herbes des montagnes.
Crampon :
Mais quand l’herbe a paru, que la verdure s’est montrée, que le foin des montagnes est recueilli,
26 |
les agneaux sont pour ton vêtement, et les boucs pour le prix d’un champ, |
Louis Segond :
Les agneaux sont pour te vêtir, Et les boucs pour payer le champ;
Martin :
Les agneaux sont pour te vêtir, et les boucs sont le prix d'un champ;
Ostervald :
Les agneaux seront pour te vêtir, et les boucs pour payer le champ.
Darby :
Les agneaux sont pour ton vêtement, et les boucs pour le prix d'un champ,
Crampon :
tu as des agneaux pour te vêtir, des boucs pour payer un champ ;
27 |
et le lait des chèvres suffit à ta nourriture et à la nourriture de ta maison, et pour la vie de tes servantes. |
Louis Segond :
Le lait des chèvres suffit à ta nourriture, à celle de ta maison, Et à l`entretien de tes servantes.
Martin :
Et l'abondance du lait des chèvres sera pour ton manger, pour le manger de ta maison, et pour la vie de tes servantes.
Ostervald :
Et l'abondance du lait des chèvres sera pour ta nourriture, pour la nourriture de ta maison, et pour la vie de tes servantes.
Darby :
et l'abondance du lait de tes chèvres pour ta nourriture, pour la nourriture de ta maison, et pour la vie de tes servantes.
Crampon :
tu as en abondance le lait des chèvres, pour ta nourriture et celle de ta maison, et pour l’entretien de tes servantes.