| 3 | La pierre est lourde et le sable est pesant : plus que l’un et l’autre pèse la colère de l’insensé. |
| 6 | Les blessures d’un ami sont inspirées par la fidélité, mais les baisers d’un ennemi sont trompeurs. |
| 7 | Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, mais à celui qui a faim tout ce qui est amer paraît doux. |
| 9 | L’huile et les parfums réjouissent le cœur ; telle la douceur d’un ami dont le conseil vient du cœur. |
| 10 | N’abandonne pas ton ami et l’ami de ton père, et n’entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta détresse ; mieux vaut un voisin proche qu’un frère éloigné. |
| 20 | Le schéol et l’abîme ne sont jamais rassasiés, de même les yeux de l’homme ne sont jamais rassasiés. |
| 21 | Le creuset est pour l’argent, et le fourneau pour l’or ; que l’homme éprouve de même la louange qu’il reçoit ! |
| 22 | Quand tu pilerais l’insensé dans un mortier, comme on broie le grain, avec le pilon, sa folie ne se séparerait pas de lui. — Prévoyance. — |
| 25 | Mais quand l’herbe a paru, que la verdure s’est montrée, que le foin des montagnes est recueilli, |
| 27 | tu as en abondance le lait des chèvres, pour ta nourriture et celle de ta maison, et pour l’entretien de tes servantes. |