1 |
Psaume d’Asaph. Certainement Dieu est bon envers Israël, envers ceux qui ont le cœur net. |
Louis Segond :
Psaume d`Asaph. Oui, Dieu est bon pour Israël, Pour ceux qui ont le coeur pur.
Martin :
Psaume d'Asaph. Quoi qu'il en soit, Dieu est bon à Israël, savoir, à ceux qui sont nets de coeurs.
Ostervald :
Psaume d'Asaph. Oui, Dieu est bon pour Israël, pour ceux qui ont le cœur pur.
Darby :
Certainement Dieu est bon envers Israël, envers ceux qui sont purs de coeur.
Crampon :
Psaume d’Asaph. Oui, Dieu est bon pour Israël, pour ceux qui ont le cœur pur !
2 |
Pour moi, il s’en est fallu de peu que mes pieds n’aient manqué, d’un rien que mes pas n’aient glissé. |
Louis Segond :
Toutefois, mon pied allait fléchir, Mes pas étaient sur le point de glisser;
Martin :
Or quant à moi, mes pieds m'ont presque manqué, et il s'en est peu fallu que mes pas n'aient glissé.
Ostervald :
Pour moi, le pied m'a presque manqué, et peu s'en est fallu que mes pas n'aient glissé;
Darby :
Et pour moi, il s'en est fallu de peu que mes pieds ne m'aient manqué, -d'un rien que mes pas n'aient glissé;
Crampon :
Toutefois j’étais sur le point de fléchir, mon pied a presque glissé.
3 |
Car j’ai porté envie à ceux qui se glorifient, quand j’ai vu la paix des méchants. |
Louis Segond :
Car je portais envie aux insensés, En voyant le bonheur des méchants.
Martin :
Car j'ai porté envie aux insensés, en voyant la prospérité des méchants.
Ostervald :
Car j'ai porté envie aux insensés, voyant la prospérité des méchants.
Darby :
Car j'ai porté envie aux arrogants, en voyant la prospérité des méchants.
Crampon :
Car je m’indignais contre les impies, en voyant le bonheur des méchants.
4 |
Car ils sont sans tourments jusqu’à leur mort, et leur force est en son entier ; |
Louis Segond :
Rien ne les tourmente jusqu`à leur mort, Et leur corps est chargé d`embonpoint;
Martin :
Parce qu'il n'y a point d'angoisses en leur mort, mais leur force est en son entier.
Ostervald :
Car ils ne sont point liés jusqu'à leur mort, et leur force est en son entier.
Darby :
Car il n'y a pas de tourments dans leur mort, et leur corps est gras;
Crampon :
Pour eux, point de douleurs jusqu’à la mort ; leur corps est plein de vigueur.
5 |
ils sont en dehors du travail des mortels, et ils ne sont point frappés avec les humains. |
Louis Segond :
Ils n`ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.
Martin :
Ils ne sont point en travail avec les autres hommes, et ils ne sont point battus avec les autres hommes.
Ostervald :
Quand les mortels sont en peine, ils n'y sont point; ils ne sont point frappés avec les humains.
Darby :
Ils n'ont point de part aux peines des humains, et ils ne sont pas frappés avec les hommes.
Crampon :
Ils n’ont point de part au labeur des mortels, ils ne sont point frappés avec le reste des hommes.
6 |
C’est pourquoi l’orgueil les entoure comme un collier, la violence les enveloppe comme une parure, |
Louis Segond :
Aussi l`orgueil leur sert de collier, La violence est le vêtement qui les enveloppe;
Martin :
C'est pourquoi l'orgueil les environne comme un collier, et un vêtement de violence les couvre.
Ostervald :
C'est pourquoi l'orgueil les entoure comme un collier, la violence les couvre comme un vêtement.
Darby :
C'est pourquoi l'orgueil les entoure comme un collier, la violence les couvre comme un vêtement;
Crampon :
Aussi l’orgueil est la parure de leur cou, et la violence, la robe précieuse qui les couvre.
7 |
les yeux leur sortent de graisse, les imaginations de leur cœur se trahissent. |
Louis Segond :
L`iniquité sort de leurs entrailles, Les pensées de leur coeur se font jour.
Martin :
Les yeux leur sortent dehors à force de graisse; ils surpassent les desseins de leur coeur.
Ostervald :
Leurs yeux sont enflés à force d'embonpoint; les désirs de leur cœur se font jour.
Darby :
Les yeux leur sortent de graisse; ils dépassent les imaginations de leur coeur.
Crampon :
L’iniquité sort de leurs entrailles, les pensées de leur cœur se font jour.
8 |
Ils sont insolents et parlent méchamment d’opprimer ; ils parlent avec hauteur, |
Louis Segond :
Ils raillent, et parlent méchamment d`opprimer; Ils profèrent des discours hautains,
Martin :
Ils sont pernicieux, et parlent malicieusement d'opprimer; ils parlent comme placés sur un lieu élevé.
Ostervald :
Ils sont moqueurs et parlent méchamment d'opprimer; ils parlent avec hauteur.
Darby :
Ils sont railleurs et parlent méchamment d'opprimer; ils parlent avec hauteur;
Crampon :
Ils raillent, ils parlent iniquité et violence, ils profèrent des discours hautains.
9 |
ils portent leur bouche aux cieux et leur langue se promène sur la terre. |
Louis Segond :
Ils élèvent leur bouche jusqu`aux cieux, Et leur langue se promène sur la terre.
Martin :
Ils mettent leur bouche aux cieux, et leur langue parcourt la terre.
Ostervald :
Ils portent leur bouche jusqu'au ciel, et leur langue parcourt la terre.
Darby :
Ils placent leur bouche dans les cieux, et leur langue se promène sur la terre.
Crampon :
Ils dirigent leur bouche contre le ciel même, et leur langue s’exerce sur la terre.
10 |
Aussi leur peuple est-il détourné de ce côté-ci ; ils avalent de pleines eaux, et disent : |
Louis Segond :
Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, Il avale l`eau abondamment,
Martin :
C'est pourquoi son peuple en revient là, quand on lui fait sucer l'eau à plein verre.
Ostervald :
Aussi son peuple en revient à ceci, quand on leur fait boire les eaux amères en abondance,
Darby :
C'est pourquoi son peuple se tourne de ce côté-là, et on lui verse l'eau à plein bord,
Crampon :
C’est pourquoi mon peuple se tourne de leur côté, il avale l’eau à grands traits.
11 |
Comment Dieu connaîtrait-il ? Y aurait-il de la connaissance chez le Très[Haut ? |
Louis Segond :
Et il dit: Comment Dieu saurait-il, Comment le Très haut connaîtrait-il?
Martin :
Et ils disent: comment le Dieu Fort connaîtrait-il, et y aurait-il de la connaissance au Souverain?
Ostervald :
Et ils disent: Comment Dieu connaîtrait-il? Et comment y aurait-il de la connaissance chez le Très-Haut?
Darby :
Et ils disent: Comment *Dieu connaîtrait-il, et y aurait-il de la connaissance chez le Très-haut?
Crampon :
Ils disent : " Comment Dieu saurait-il ? Comment le Très-Haut connaîtrait-il ? "
12 |
Les voilà, ces méchants : éternellement tranquilles, ils atteignent à la richesse. |
Louis Segond :
Ainsi sont les méchants: Toujours heureux, ils accroissent leurs richesses.
Martin :
Voilà, ceux-ci sont méchants, et étant à leur aise en ce monde, ils acquièrent de plus en plus des richesses.
Ostervald :
Voici, ceux-là sont des méchants, et, toujours heureux, ils amassent des richesses.
Darby :
Voici, ceux-ci sont des méchants, et ils prospèrent dans le monde, ils augmentent leurs richesses.
Crampon :
Tels sont les méchants : toujours heureux, ils accroissent leurs richesses.
13 |
Certainement c’est en vain que j’ai purifié mon cœur et que j’ai lavé mes mains dans l’innocence ; |
Louis Segond :
C`est donc en vain que j`ai purifié mon coeur, Et que j`ai lavé mes mains dans l`innocence:
Martin :
Quoi qu'il en soit, c'est en vain que j'ai purifié mon coeur, et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence.
Ostervald :
Certainement c'est en vain que j'ai purifié mon cœur, et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence.
Darby :
Certainement c'est en vain que j'ai purifié mon coeur et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence:
Crampon :
C’est donc en vain que j’ai gardé mon cœur pur, que j’ai lavé mes mains dans l’innocence ;
14 |
je suis frappé tous les jours, et mon châtiment revient chaque matin. |
Louis Segond :
Chaque jour je suis frappé, Tous les matins mon châtiment est là.
Martin :
Car j'ai été battu tous les jours, et mon châtiment revenait tous les matins.
Ostervald :
Car je suis frappé tous les jours, et mon châtiment revient chaque matin.
Darby :
J'ai été battu tout le jour, et mon châtiment revenait chaque matin.
Crampon :
tout le jour je suis frappé, chaque matin mon châtiment est là. "
15 |
Si j’avais dit : Je veux parler ainsi, voici, j’aurais été infidèle à la race de tes fils. |
Louis Segond :
Si je disais: Je veux parler comme eux, Voici, je trahirais la race de tes enfants.
Martin :
Mais quand j'ai dit: j'en parlerai ainsi; voilà, j'ai été infidèle à la génération de tes enfants.
Ostervald :
Si j'ai dit: Je parlerai ainsi; voici, j'étais infidèle à la race de tes enfants.
Darby :
Si j'avais dit: Je parlerai ainsi, voici, j'aurais été infidèle à la génération de tes fils.
Crampon :
Si j’avais dit : " Je veux parler comme eux ", j’aurai trahi la race de tes enfants.
16 |
Je me mis donc à réfléchir pour connaître cela ; ce fut à mes yeux un travail, |
Louis Segond :
Quand j`ai réfléchi là-dessus pour m`éclairer, La difficulté fut grande à mes yeux,
Martin :
Toutefois j'ai tâché à connaître cela; mais cela m'a paru fort difficile.
Ostervald :
J'ai donc réfléchi pour comprendre ces choses, et cela m'a semblé fort difficile;
Darby :
Quand j'ai médité pour connaître cela, ce fut un travail pénible à mes yeux,
Crampon :
J’ai réfléchi pour comprendre ces choses, la difficulté a été grande à mes yeux,
17 |
jusqu’à ce que, étant entré dans les sanctuaires de Dieu, je compris quelle est leur fin. |
Louis Segond :
Jusqu`à ce que j`eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j`eusse pris garde au sort final des méchants.
Martin :
Jusques à ce que je sois entré au sanctuaire du Dieu Fort, et que j'aie considéré la fin de telles gens.
Ostervald :
Jusqu'à ce qu'entré dans les sanctuaires de Dieu, j'aie pris garde à la fin de ces gens-là.
Darby :
ce que je fusse entré dans les sanctuaires de Dieu... j'ai compris leur fin.
Crampon :
jusqu’à ce que j’aie pénétré dans le sanctuaire de Dieu, et pris garde à leur sort final.
18 |
Tu ne les mets qu’en des lieux glissants ; tu les fais tomber en ruines. |
Louis Segond :
Oui, tu les places sur des voies glissantes, Tu les fais tomber et les mets en ruines.
Martin :
Quoi qu'il en soit, tu les as mis en des lieux glissants, tu les fais tomber dans des précipices.
Ostervald :
Car tu les mets en des lieux glissants; tu les fais tomber dans des précipices.
Darby :
Certainement tu les places en des lieux glissants, tu les fais tomber en ruines.
Crampon :
Oui, tu les places sur des voies glissantes ; tu les fais tomber, et ils ne sont plus que ruines.
19 |
Comme ils sont désolés en un moment ! Ils périssent, ils sont consumés par de soudaines terreurs. |
Louis Segond :
Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!
Martin :
Comment ont-ils été ainsi détruits en un moment? sont-ils défaillis? ont-ils été consumés d'épouvantements?
Ostervald :
Comme ils sont détruits en un moment! enlevés et consumés par une destruction soudaine!
Darby :
Comme ils sont détruits en un moment! Ils sont péris, consumés par la frayeur.
Crampon :
Eh quoi ! En un instant les voilà détruits ! Ils sont anéantis, ils disparaissent dans des catastrophes !
20 |
Seigneur, en [les] éveillant{Ou en [te] réveillant.} tu mets en mépris leur [vaine] apparence comme un songe au réveil. |
Louis Segond :
Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton réveil, tu repousses leur image.
Martin :
Ils sont comme un songe lorsqu'on s'est réveillé. Seigneur tu mettras en mépris leur ressemblance quand tu te réveilleras.
Ostervald :
Tel un songe quand on s'éveille, ainsi, Seigneur, à ton réveil tu mets en mépris leur vaine apparence.
Darby :
Comme un songe, quand on s'éveille, tu mépriseras, Seigneur, leur image, lorsque tu t'éveilleras.
Crampon :
Comme on fait d’un songe au réveil, Seigneur, à ton réveil, tu repousses leur image.
21 |
Quand mon cœur s’aigrissait, et que, dans mes reins, je sentais l’aiguillon, |
Louis Segond :
Lorsque mon coeur s`aigrissait, Et que je me sentais percé dans les entrailles,
Martin :
Or quand mon coeur s'aigrissait, et que je me tourmentais en mes reins;
Ostervald :
Quand mon cœur s'aigrissait ainsi, et que je me tourmentais en moi-même,
Darby :
Quand mon coeur s'aigrissait, et que je me tourmentais dans mes reins,
Crampon :
Lorsque mon cœur s’aigrissait, et que je me sentais profondément ému,
22 |
j’étais stupide et je ne connaissais rien ; j’étais avec toi comme une brute. |
Louis Segond :
J`étais stupide et sans intelligence, J`étais à ton égard comme les bêtes.
Martin :
J'étais alors stupide, et je n'avais aucune connaissance; j'étais comme une brute en ta présence.
Ostervald :
Alors j'étais abruti et sans connaissance; j'étais devant toi comme les bêtes.
Darby :
J'étais alors stupide et je n'avais pas de connaissance; j'étais avec toi comme une brute.
Crampon :
j’étais stupide et sans intelligence, j’étais comme une brute devant toi.
23 |
Cependant je suis continuellement avec toi : tu me tiens par la main droite ; |
Louis Segond :
Cependant je suis toujours avec toi, Tu m`as saisi la main droite;
Martin :
Je serai donc toujours avec toi; tu m'as pris par la main droite,
Ostervald :
Mais moi, je serai toujours avec toi; tu m'as pris par la main droite.
Darby :
Mais je suis toujours avec toi: tu m'as tenu par la main droite;
Crampon :
Mais je serai à jamais avec toi : tu m’as saisi la main droite,
24 |
tu me conduiras par ton conseil, et ensuite, tu me recueilleras dans la gloire. |
Louis Segond :
Tu me conduiras par ton conseil, Puis tu me recevras dans la gloire.
Martin :
Tu me conduiras par ton conseil, et puis tu me recevras dans la gloire.
Ostervald :
Tu me conduiras par ton conseil, puis tu me recevras dans la gloire.
Darby :
Tu me conduiras par ton conseil, et, après la gloire, tu me recevras.
Crampon :
par ton conseil tu me conduiras, et tu me recevras ensuite dans la gloire.
25 |
Qui ai-je dans les cieux ? Et, auprès de toi, je ne prends plaisir en rien sur la terre. |
Louis Segond :
Quel autre ai-je au ciel que toi! Et sur la terre je ne prends plaisir qu`en toi.
Martin :
Quel autre ai-je au Ciel? Or je n'ai pris plaisir sur la terre en rien qu'en toi seul.
Ostervald :
Quel autre que toi ai-je au ciel? Je ne prends plaisir sur la terre qu'en toi.
Darby :
Qui ai-je dans les cieux? Et je n'ai eu de plaisir sur la terre qu'en toi.
Crampon :
Quel autre que toi ai-je au ciel ? Avec toi, je ne désire rien sur la terre.
26 |
Ma chair et mon cœur se consument ; le rocher de mon cœur, ma part, c’est Dieu, éternellement. |
Louis Segond :
Ma chair et mon coeur peuvent se consumer: Dieu sera toujours le rocher de mon coeur et mon partage.
Martin :
Ma chair et mon coeur étaient consumés; mais Dieu est le rocher de mon coeur, et mon partage à toujours.
Ostervald :
Ma chair et mon cœur défaillaient; mais Dieu est le rocher de mon cœur et mon partage à toujours.
Darby :
Ma chair et mon coeur sont consumés; Dieu est le rocher de mon coeur, et mon partage pour toujours.
Crampon :
Ma chair et mon cœur se consument : le rocher de mon cœur et mon partage, c’est Dieu à jamais.
27 |
Car, voici, ceux qui s’éloignent de toi périront ; tu anéantis quiconque se prostitue loin de toi. |
Louis Segond :
Car voici, ceux qui s`éloignent de toi périssent; Tu anéantis tous ceux qui te sont infidèles.
Martin :
Car voilà, ceux qui s'éloignent de toi, périront; tu retrancheras tous ceux qui se détournent de toi.
Ostervald :
Car voici: ceux qui s'éloignent de toi périront. Tu retranches tous ceux qui se détournent de toi.
Darby :
Car voici, ceux qui sont loin de toi périront; tu détruiras tous ceux qui se prostituent en se détournant de toi.
Crampon :
Voici que ceux qui s’éloignent de toi périssent ; tu extermines tous ceux qui te sont infidèles.
28 |
Pour moi, m’approcher de Dieu c’est mon bien : je place mon refuge dans le Seigneur l’Éternel, afin que je raconte toutes tes œuvres. |
Louis Segond :
Pour moi, m`approcher de Dieu, c`est mon bien: Je place mon refuge dans le Seigneur, l`Éternel, Afin de raconter toutes tes oeuvres.
Martin :
Mais pour moi, approcher de Dieu est mon bien; j'ai mis toute mon espérance au Seigneur Eternel, afin que je raconte tous tes ouvrages.
Ostervald :
Mais pour moi, m'approcher de Dieu, c'est mon bien; j'ai placé mon refuge dans le Seigneur, l'Éternel, afin de raconter toutes tes œuvres.
Darby :
Mais, pour moi, m'approcher de Dieu est mon bien; j'ai mis ma confiance dans le Seigneur, l'Éternel, pour raconter tous tes faits.
Crampon :
Pour moi, être uni à Dieu, c’est mon bonheur ; dans le Seigneur Yahweh je mets ma confiance, afin de raconter toutes tes œuvres.