1 |
Au maître de chant. Psaume de David. Yahweh, tu me sondes et tu me connais,
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Louis Segond :
Au chef des chantres. De David. Psaume. Éternel! tu me sondes et tu me connais,
Martin :
Psaume de David, donné au maître chantre. Eternel, tu m'as sondé, et tu m'as connu.
Ostervald :
Au maître-chantre. Psaume de David. Éternel, tu m'as sondé, et tu m'as connu.
Darby :
Éternel! tu m'as sondé, et tu m'as connu.
Lausanne :
Au chef de musique. De David. Psaume.Éternel ! tu me sondes et tu me connais :
2 |
tu sais quand je suis assis ou levé, tu découvres ma pensée de loin.
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Louis Segond :
Tu sais quand je m`assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;
Martin :
Tu connais quand je m'assieds et quand je me lève; tu aperçois de loin ma pensée.
Ostervald :
Tu sais quand je m'assieds et quand je me lève; tu découvres de loin ma pensée.
Darby :
Tu connais quand je m'assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée;
Lausanne :
tu connais quand je m’assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée ;
3 |
Tu m’observes quand je suis en marche ou couché, et toutes mes voies te sont familières.
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Louis Segond :
Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.
Martin :
Tu m'enceins, soit que je marche, soit que je m'arrête; et tu as accoutumé toutes mes voies.
Ostervald :
Tu vois quand je marche et quand je me couche; tu connais parfaitement toutes mes voies.
Darby :
Tu connais mon sentier et mon coucher, et tu es au fait de toutes mes voies.
Lausanne :
tu me passes par le crible, soit que je marche ou que je me couche, et tu connais parfaitement toutes mes voies.
4 |
La parole n’est pas encore sur ma langue, que déjà, Yahweh, tu la connais entièrement.
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Louis Segond :
Car la parole n`est pas sur ma langue, Que déjà, ô Éternel! tu la connais entièrement.
Martin :
Même avant que la parole soit sur ma langue, voici, ô Eternel! tu connais déjà le tout.
Ostervald :
Même avant que la parole soit sur ma langue, voici, ô Éternel, tu la connais tout entière.
Darby :
Car la parole n'est pas encore sur ma langue, que voilà, ô Éternel! tu la connais tout entière.
Lausanne :
Car la parole n’est pas encore sur ma langue, que voilà, ô Éternel ! tu la connais tout entière.
5 |
En avant et en arrière tu m’entoures, et tu mets ta main sur moi :
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Louis Segond :
Tu m`entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.
Martin :
Tu me tiens serré par derrière et par devant, et tu as mis sur moi ta main.
Ostervald :
Tu me tiens serré par-derrière et par-devant, et tu as mis ta main sur moi.
Darby :
Tu me tiens serré par derrière et par devant, et tu as mis ta main sur moi,...
Lausanne :
Tu me presses par-derrière et par-devant. et tu mets ta main sur moi :
6 |
Science trop merveilleuse pour moi, elle est trop élevée pour que j’y puisse atteindre !
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Louis Segond :
Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.
Martin :
Ta science est trop merveilleuse pour moi, et elle est si haut élevée, que je n'y saurais atteindre.
Ostervald :
Science trop merveilleuse pour moi, si élevée que je n'y puis atteindre!
Darby :
Connaissance trop merveilleuse pour moi, si élevée que je n'y puis atteindre!
Lausanne :
science trop merveilleuse pour moi, si élevée que je n’y puis atteindre !
7 |
Où aller loin de ton esprit, où fuir loin de ta face ?
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Louis Segond :
Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?
Martin :
Où irai-je loin de ton Esprit; et où fuirai-je loin de ta face?
Ostervald :
Où irais-je loin de ton Esprit, et où fuirais-je loin de ta face?
Darby :
Où irai-je loin de ton Esprit? et où fuirai-je loin de ta face?
Lausanne :
Où irais-je loin de ton Esprit et où fuirais-je loin de ta face ?
8 |
Si je monte aux cieux, tu y es ; si je me couche dans le schéol, te voilà !
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Louis Segond :
Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t`y voilà.
Martin :
Si je monte aux cieux, tu y es; si je me couche au sépulcre, t'y voilà.
Ostervald :
Si je monte aux cieux, tu y es; si je me couche au Sépulcre, t'y voilà.
Darby :
Si je monte aux cieux, tu y es; si je me couche au shéol, t'y voilà.
Lausanne :
Si je monte aux cieux, tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.
9 |
Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille habiter aux confins de la mer,
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Louis Segond :
Si je prends les ailes de l`aurore, Et que j`aille habiter à l`extrémité de la mer,
Martin :
Si je prends les ailes de l'aube du jour, et que je me loge au bout de la mer;
Ostervald :
Si je prends les ailes de l'aube du jour, et que j'aille habiter au bout de la mer,
Darby :
Si je prends les ailes de l'aube du jour, si je fais ma demeure au bout de la mer,
Lausanne :
Si je m’élève sur les ailes de l’aurore, et que je fasse ma demeure au bout de la mer,
10 |
là encore ta main me conduira, et ta droite me saisira.
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Louis Segond :
Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.
Martin :
Là même ta main me conduira, et ta droite m'y saisira.
Ostervald :
Là même, ta main me conduira, et ta droite me saisira.
Darby :
Là aussi ta main me conduira et ta droite me saisira.
Lausanne :
là même ta main me conduira et ta droite me saisira.
11 |
Et je dis : Au moins les ténèbres me couvriront, et la nuit sera la seule lumière qui m’entoure !...
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Louis Segond :
Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;
Martin :
Si je dis: au moins les ténèbres me couvriront; la nuit même sera une lumière tout autour de moi.
Ostervald :
Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront; la nuit devient lumière autour de moi;
Darby :
Et si je dis: Au moins les ténèbres m'envelopperont, -alors la nuit est lumière autour de moi.
Lausanne :
Et si je dis : Au moins les ténèbres me cacheront,... la nuit est lumière autour de moi ;
12 |
Les ténèbres mêmes n’ont pas pour toi d’obscurité ; pour toi la nuit brille comme le jour, et les ténèbres comme la lumière.
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Louis Segond :
Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.
Martin :
Même les ténèbres ne me cacheront point à toi, et la nuit resplendira comme le jour, et les ténèbres comme la lumière.
Ostervald :
Les ténèbres mêmes ne sont pas obscures pour toi, et la nuit resplendit comme le jour; les ténèbres sont comme la lumière.
Darby :
Les ténèbres même ne sont pas obscures pour me cacher à toi, et la nuit resplendit comme le jour, l'obscurité est comme la lumière.
Lausanne :
devant toi les ténèbres même ne sont pas obscures, et la nuit reluira comme le jour, l’obscurité sera comme la lumière.
13 |
C’est toi qui as formé mes reins, et qui m’as tissé dans le sein de ma mère. |
Louis Segond :
C`est toi qui as formé mes reins, Qui m`as tissé dans le sein de ma mère.
Martin :
Or tu as possédé mes reins dès-lors que tu m'as enveloppé au ventre de ma mère.
Ostervald :
Car c'est toi qui as formé mes reins, qui m'as façonné dans le sein de ma mère.
Darby :
Car tu as possédé mes reins, tu m'as tissé dans le ventre de ma mère.
Lausanne :
Car c’est toi qui as formé mes reins, tu m’as recouvert{Ou entrelacé.} dans le sein de ma mère.
14 |
Je te loue d’avoir fait de moi une créature si merveilleuse ; tes œuvres sont admirables, et mon âme se plaît à le reconnaître.
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Louis Segond :
Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.
Martin :
Je te célébrerai de ce que j'ai été fait d'une si étrange et si admirable manière; tes oeuvres sont merveilleuses, et mon âme le connaît très-bien.
Ostervald :
Je te loue de ce que j'ai été fait d'une étrange et merveilleuse manière; tes œuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très bien.
Darby :
Je te célébrerai de ce que j'ai été fait d'une étrange et admirable manière. Tes oeuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très-bien.
Lausanne :
Je te loue de ce que j’ai été formé si admirablement, si merveilleusement. Tes ouvrages sont merveilleux, et mon âme le sait très bien.
15 |
Ma substance n’était pas cachée devant toi, lorsque j’étais formé dans le secret, tissé avec art dans les profondeurs de la terre.
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Louis Segond :
Mon corps n`était point caché devant toi, Lorsque j`ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.
Martin :
L'agencement de mes os ne t'a point été caché, lorsque j'ai été fait en un lieu secret, et façonné comme de broderie dans les bas lieux de la terre.
Ostervald :
Mes os ne t'étaient point cachés, lorsque j'étais formé dans le secret, ouvré comme un tissu dans les lieux bas de la terre.
Darby :
Mes os ne t'ont point été cachés lorsque j'ai été fait dans le secret, façonné comme une broderie dans les lieux bas de la terre.
Lausanne :
Ma substance{Ou mes os.} ne t’était point cachée quand j’ai été fait dans le secret, tissé comme de broderie dans les lieux bas de la terre.
16 |
Je n’étais qu’un germe informe, et tes yeux me voyaient, et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m’étaient destinés, avant qu’aucun d’eux fût encore.
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Louis Segond :
Quand je n`étais qu`une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m`étaient destinés, Avant qu`aucun d`eux existât.
Martin :
Tes yeux m'ont vu quand j'étais comme un peloton, et toutes ces choses s'écrivaient dans ton livre aux jours qu'elles se formaient, même lorsqu'il n'y en avait encore aucune.
Ostervald :
Tes yeux m'ont vu, lorsque j'étais comme une masse informe, et sur ton livre étaient inscrits tous les jours qui m'étaient réservés, quand aucun d'eux n'existait.
Darby :
Tes yeux ont vu ma substance informe, et dans ton livre mes membres étaient tous écrits; de jour en jour ils se formaient, lorsqu'il n'y en avait encore aucun.
Lausanne :
Quand je n’étais qu’un peloton, tes yeux m’ont vu ; et dans ton livre étaient marqués tous [mes] jours, [déjà] déterminés, avant qu’aucun d’eux existât.
17 |
O Dieu, que tes pensées me semblent ravissantes ! Que le nombre en est grand !
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Louis Segond :
Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!
Martin :
C'est pourquoi, ô Dieu Fort! combien me sont précieuses les considérations que j'ai de tes faits, et combien en est grand le nombre!
Ostervald :
Que tes pensées me sont précieuses, ô Dieu, et combien le nombre en est grand!
Darby :
Combien me sont précieuses tes pensées, ô *Dieu! combien en est grande la somme!
Lausanne :
Que tes pensées, ô Dieu, me sont précieuses ! Que la somme en est immense !
18 |
Si je compte, elles surpassent en nombre les grains de sable : je m’éveille, et je suis encore avec toi !
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Louis Segond :
Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m`éveille, et je suis encore avec toi.
Martin :
Les veux-je nombrer? elles sont en plus grand nombre que le sablon. Suis-je réveillé? je suis encore avec toi.
Ostervald :
Les veux-je compter? Elles sont plus nombreuses que le sable. Suis-je réveillé? Je suis encore avec toi.
Darby :
Si je veux les compter, elles sont plus nombreuses que le sable. Si je me réveille, je suis encore avec toi.
Lausanne :
Veux-je les compter, elles sont plus nombreuses que [les grains de] sable. Quand je m’éveille je suis encore avec toi.
19 |
O Dieu, ne feras-tu pas périr le méchant ? Hommes de sang, éloignez-vous de moi !
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Louis Segond :
O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!
Martin :
Ô Dieu! ne tueras-tu pas le méchant? c'est pourquoi, hommes sanguinaires, retirez-vous loin de moi.
Ostervald :
O Dieu, ne feras-tu pas mourir le méchant? Hommes de sang, éloignez-vous de moi!
Darby :
O Dieu! si tu voulais tuer le méchant! Et vous, hommes de sang, retirez-vous de moi;...
Lausanne :
Ô Dieu ! puisses-tu faire mourir le méchant ! Vous, hommes de sang, éloignez-vous de moi :
20 |
Ils parlent de toi d’une manière criminelle, ils prennent ton nom en vain, eux, tes ennemis !
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Louis Segond :
Ils parlent de toi d`une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!
Martin :
Car ils ont parlé de toi, en pensant à quelque méchanceté; ils ont élevé tes ennemis en mentant.
Ostervald :
Ils parlent de toi pour mal faire; tes ennemis jurent faussement par ton nom.
Darby :
Eux qui parlent contre toi astucieusement, qui prennent ton nom en vain, tes ennemis!
Lausanne :
eux qui parlent contre toi criminellement, qui prennent [ton nom] en vain, tes ennemis !
21 |
Ne dois-je pas, Yahweh, haïr ceux qui te haïssent, avoir en horreur ceux qui s’élèvent contre toi ?
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Louis Segond :
Éternel, n`aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s`élèvent contre toi?
Martin :
Eternel, n'aurais-je point en haine ceux qui te haïssent; et ne serais-je point irrité contre ceux qui s'élèvent contre toi?
Ostervald :
Éternel, ne haïrais-je pas ceux qui te haïssent? N'aurais-je pas horreur de ceux qui s'élèvent contre toi?
Darby :
N'ai-je pas en haine, ô Éternel, ceux qui te haïssent? et n'ai-je pas en horreur ceux qui s'élèvent contre toi?
Lausanne :
N’ai-je pas en haine, ô Éternel ! ceux qui te haïssent, et n’ai-je pas en horreur ceux qui s’élèvent contre toi ?
22 |
Oui, je les hais d’une haine complète, ils sont pour moi des ennemis.
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Louis Segond :
Je les hais d`une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.
Martin :
Je les ai haïs d'une parfaite haine; ils m'ont été pour ennemis.
Ostervald :
Je les hais d'une parfaite haine; je les tiens pour mes ennemis.
Darby :
Je les hais d'une parfaite haine; ils sont pour moi des ennemis.
Lausanne :
Je les hais d’une parfaite haine, ce sont pour moi des ennemis.
23 |
Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur ; éprouve-moi, et connais mes pensées.
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Louis Segond :
Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Éprouve-moi, et connais mes pensées!
Martin :
Ô Dieu Fort! sonde-moi, et considère mon coeur; éprouve-moi, et considère mes discours.
Ostervald :
Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur; éprouve-moi, et connais mes pensées.
Darby :
Sonde-moi, ô *Dieu! et connais mon coeur; éprouve-moi, et connais mes pensées.
Lausanne :
Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi et connais mes pensées ;
24 |
Regarde si je suis sur une voie funeste, et conduis-moi dans la voie éternelle. |
Louis Segond :
Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l`éternité!
Martin :
Et regarde s'il y a en moi aucun dessein de chagriner autrui; et conduis-moi par la voie du monde.
Ostervald :
Vois si je suis dans une voie d'injustice, et conduis-moi dans la voie de l'éternité!
Darby :
Et regarde s'il y a en moi quelque voie de chagrin, et conduis-moi dans la voie éternelle.
Lausanne :
regarde s’il y a en moi quelque voie funeste, et conduis-moi dans la voie de l’éternité !