1 |
Voici encore des sentences de Salomon, qu’ont transcrites les gens d’Ezéchias, roi de Juda. |
Louis Segond :
Voici encore des Proverbes de Salomon, recueillis par les gens d`Ézéchias, roi de Juda.
Martin :
Ces choses sont aussi des Proverbes de Salomon, que les gens d'Ezéchias Roi de Juda ont copiés.
Ostervald :
Voici encore des proverbes de Salomon, copiés par les gens d'Ézéchias, roi de Juda.
Darby :
Ce sont ici aussi des proverbes de Salomon, que les gens d'Ézéchias, roi de Juda, ont transcrits:
Crampon :
Voici encore des Proverbes de Salomon, recueillis par les gens d’Ézéchias, roi de Juda.
2 |
C’est la gloire de Dieu de cacher les choses ; et de sonder les choses, c’est la gloire des rois. |
Louis Segond :
La gloire de Dieu, c`est de cacher les choses; La gloire des rois, c`est de sonder les choses.
Martin :
La gloire de Dieu est de celer la chose; et la gloire des Rois est de sonder les affaires.
Ostervald :
La gloire de Dieu est de cacher les choses; mais la gloire des rois est de sonder les affaires.
Darby :
La gloire de Dieu est de cacher une chose, et la gloire des rois est de sonder une chose.
Crampon :
La gloire de Dieu, c’est de cacher les choses ; la gloire des rois, c’est de les examiner.
3 |
Les cieux dans leur élévation, et la terre dans sa profondeur, et le cœur des rois, sont insondables. |
Louis Segond :
Les cieux dans leur hauteur, la terre dans sa profondeur, Et le coeur des rois, sont impénétrables.
Martin :
Il n'y a pas moyen de sonder les cieux à cause de leur hauteur; ni la terre à cause de sa profondeur; ni le coeur des Rois.
Ostervald :
Il n'y a pas moyen de sonder les cieux, à cause de leur hauteur, ni la terre, à cause de sa profondeur, ni le cœur des rois.
Darby :
Les cieux en hauteur, et la terre en profondeur, et le coeur des rois, on ne peut les sonder.
Crampon :
Le ciel dans sa hauteur, la terre dans sa profondeur, et le cœur des rois sont impénétrables.— Dangers causés par le méchant. —
4 |
Ôte les scories de l’argent, et il en sortira un vase pour le fondeur. |
Louis Segond :
Ote de l`argent les scories, Et il en sortira un vase pour le fondeur.
Martin :
Ôte les écumes de l'argent, et il en sortira une bague au fondeur;
Ostervald :
Ote de l'argent les scories, et il en sortira un vase pour le fondeur.
Darby :
Ote de l'argent les scories, et il en sortira un vase pour l'orfèvre;
Crampon :
Ote les scories de l’argent, et il en sortira un vase pour le fondeur.
5 |
Ôte le méchant de devant le roi, et son trône sera affermi par la justice. |
Louis Segond :
Ote le méchant de devant le roi, Et son trône s`affermira par la justice.
Martin :
Ôte le méchant de devant le Roi, et son trône sera affermi par la justice.
Ostervald :
Ote le méchant de devant le roi, et son trône sera affermi par la justice.
Darby :
ôte le méchant de devant le roi, et son trône sera affermi par la justice.
Crampon :
Ote le méchant de devant le roi, et son trône s’affermira dans la justice.— Humilité devant les grands. —
6 |
Ne fais pas le magnifique devant le roi, et ne te tiens pas à la place des grands ; |
Louis Segond :
Ne t`élève pas devant le roi, Et ne prends pas la place des grands;
Martin :
Ne fais point le magnifique devant le Roi, et ne te tiens point dans la place des Grands.
Ostervald :
Ne fais point le magnifique devant le roi, et ne te mets point au rang des grands.
Darby :
Ne fais pas le magnifique devant le roi, et ne te tiens pas à la place des grands;
Crampon :
Ne prends pas des airs superbes devant le roi, et ne te mets pas à la place des grands ;
7 |
car il vaut mieux qu’on te dise : Monte ici, que si l’on t’abaissait devant le prince que tes yeux voient. |
Louis Segond :
Car il vaut mieux qu`on te dise: Monte-ici! Que si l`on t`abaisse devant le prince que tes yeux voient.
Martin :
Car il vaut mieux qu'on te dise; monte ici, que si on t'abaissait devant celui qui est en dignité, lequel tes yeux auront vu.
Ostervald :
Car il vaut mieux qu'on te dise: Monte ici, que si l'on t'abaissait devant le prince que tes yeux auront vu.
Darby :
car il vaut mieux qu'on te dise: Monte ici, que si l'on t'abaissait devant le prince que tes yeux voient.
Crampon :
car il vaut mieux qu’on te dise : « Monte ici », que si l’on t’humilie devant le prince que tes yeux ont vu.— Discrétion. —
8 |
Ne sors pas en hâte pour plaider, de peur que tu [ne saches] que faire à la fin, lorsque ta partie{Héb. ton prochain.} t’aura déshonoré. |
Louis Segond :
Ne te hâte pas d`entrer en contestation, De peur qu`à la fin tu ne saches que faire, Lorsque ton prochain t`aura outragé.
Martin :
Ne te hâte pas de sortir pour quereller, de peur que tu ne saches que faire à la fin, après que ton prochain t'aura rendu confus.
Ostervald :
Ne te hâte pas de sortir pour plaider, de peur qu'à la fin tu ne saches que faire, après que ton prochain t'aura rendu confus.
Darby :
Ne sors pas à la hâte pour contester, de peur que tu ne saches que faire à la fin, lorsque ton prochain t'aura rendu confus.
Crampon :
Ne pars pas trop vite en contestation, de peur qu’à la fin tu ne saches que faire.
9 |
Plaide ton procès contre ta partie{Héb. ton prochain.} et ne révèle pas le secret d’un autre ; |
Louis Segond :
Défends ta cause contre ton prochain, Mais ne révèle pas le secret d`un autre,
Martin :
Traite tellement ton différend avec ton prochain, que tu ne révèles point le secret d'un autre;
Ostervald :
Plaide ta cause contre ton prochain; mais ne révèle point le secret d'un autre;
Darby :
Plaide ta cause avec ton prochain, et ne révèle pas le secret d'autrui,
Crampon :
Lorsque ton prochain t’aura outragé, défends ta cause contre ton prochain, mais ne révèle pas le secret d’un autre,
10 |
de peur que, l’entendant, il ne te couvre d’opprobre, et que tu ne sois diffamé sans retour. |
Louis Segond :
De peur qu`en l`apprenant il ne te couvre de honte, Et que ta mauvaise renommée ne s`efface pas.
Martin :
De peur que celui qui l'écoute ne te le reproche, et que tu n'en reçoives un opprobre qui ne s'efface point.
Ostervald :
De peur qu'en l'apprenant, il ne te le reproche, et que tu n'en reçoives un blâme qui ne s'efface point.
Darby :
de peur que celui qui l'écoute ne te fasse honte, et que ton opprobre ne se retire pas.
Crampon :
de peur que celui qui l’apprendra ne te couvre de honte, et que ton ignominie ne s’efface pas.
11 |
Des pommes d’or sur des ciselures{Héb. des figures.} d’argent, c’est la parole dite en temps opportun. |
Louis Segond :
Comme des pommes d`or sur des ciselures d`argent, Ainsi est une parole dite à propos.
Martin :
Telles que sont des pommes d'or émaillées d'argent, telle est la parole dite comme il faut.
Ostervald :
Une parole dite à propos est comme des pommes d'or dans des paniers d'argent.
Darby :
Des pommes d'or incrustées d'argent, c'est la parole dite à propos.
Crampon :
Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos.
12 |
Anneau d’or, joyau d’or fin, tel est à l’oreille docile celui qui reprend avec sagesse. |
Louis Segond :
Comme un anneau d`or et une parure d`or fin, Ainsi pour une oreille docile est le sage qui réprimande.
Martin :
Quand on reprend le sage qui a l'oreille attentive, c'est comme une bague d'or, ou comme un joyau de fin or.
Ostervald :
Quand on reprend le sage qui a l'oreille docile, c'est comme une bague d'or, ou comme un joyau d'or fin.
Darby :
Un anneau d'or et un joyau d'or fin, tel est, pour l'oreille qui écoute, celui qui reprend sagement.
Crampon :
Comme un anneau d’or et un ornement d’or fin, ainsi est le sage qui reprend une oreille docile.
13 |
Telle qu’est la fraîcheur de la neige au jour de la moisson, tel est l’ambassadeur fidèle à ceux qui l’envoient ; il restaure l’âme de son seigneur. |
Louis Segond :
Comme la fraîcheur de la neige au temps de la moisson, Ainsi est un messager fidèle pour celui qui l`envoie; Il restaure l`âme de son maître.
Martin :
L'ambassadeur fidèle est à ceux qui l'envoient, comme la froideur de la neige au temps de la moisson, et il restaure l'âme de son maître.
Ostervald :
L'ambassadeur fidèle est à ceux qui l'envoient, comme la fraîcheur de la neige au temps de la moisson, et il restaure l'âme de son maître.
Darby :
La fraîcheur de la neige au temps de la moisson, tel est le messager fidèle pour ceux qui l'envoient: il restaure l'âme de son maître.
Crampon :
Comme la fraîcheur de la neige au temps de la moisson, ainsi est le messager fidèle pour ceux qui l’envoient ; il réjouit l’âme de son maître.
14 |
Des nuées et du vent, et point de pluie, c’est l’homme qui se vante faussement d’une largesse. |
Louis Segond :
Comme des nuages et du vent sans pluie, Ainsi est un homme se glorifiant à tort de ses libéralités.
Martin :
Celui qui se vante d'une fausse libéralité, est comme les nuées et le vent sans pluie.
Ostervald :
Celui qui se vante faussement de sa libéralité, est comme les nuées et le vent sans pluie.
Darby :
Les nuages et le vent, et point de pluie, tel est celui qui se glorifie faussement d'un présent.
Crampon :
Des nuages et du vent sans pluie, tel est l’homme qui se glorifie de présents mensongers.
15 |
Par la lenteur à la colère le prince sera gagné, et la langue douce brise les os. |
Louis Segond :
Par la lenteur à la colère on fléchit un prince, Et une langue douce peut briser des os.
Martin :
Le capitaine est fléchi par la patience, et la langue douce brise les os.
Ostervald :
Le prince est fléchi par la patience, et la langue douce brise les os.
Darby :
Par la lenteur à la colère un prince est gagné, et la langue douce brise les os.
Crampon :
Par la patience le juge se laisse persuader, et une langue douce peut briser des os.— Autre forme de discrétion. —
16 |
As-tu trouvé du miel ? N’en mange que ce qui te suffit, de peur que tu n’en sois rassasié et que tu ne le vomisses. |
Louis Segond :
Si tu trouves du miel, n`en mange que ce qui te suffit, De peur que tu n`en sois rassasié et que tu ne le vomisses.
Martin :
Quand tu auras trouvé du miel, n'en mange qu'autant qu'il t'en faut, de peur qu'en étant soûlé, tu ne le rendes.
Ostervald :
Quand tu auras trouvé du miel, manges-en, mais pas plus qu'il ne t'en faut; de peur qu'en en prenant avec excès, tu ne le rejettes.
Darby :
As-tu trouvé du miel, manges-en ce qu'il t'en faut, de peur que tu n'en sois repu et que tu ne le vomisses.
Crampon :
Si tu trouves du miel, n’en mange que ce qui te suffit, de peur que, rassasié, tu ne le vomisses.
17 |
Mets rarement le pied dans la maison de ton prochain, de peur qu’il ne soit rassasié de toi et qu’il ne te haïsse. |
Louis Segond :
Mets rarement le pied dans la maison de ton prochain, De peur qu`il ne soit rassasié de toi et qu`il ne te haïsse.
Martin :
Mets rarement ton pied dans la maison de ton prochain, de peur qu'étant rassasié de toi, il ne te haïsse.
Ostervald :
De même, mets rarement le pied dans la maison de ton prochain, de peur qu'il ne soit rassasié de toi et qu'il ne te haïsse.
Darby :
Mets rarement ton pied dans la maison de ton prochain, de peur qu'il ne soit rassasié de toi et qu'il ne te haïsse.
Crampon :
Mets rarement le pied dans la maison de ton prochain, de peur que, fatigué de toi, il ne te haïsse.
18 |
Une massue, une épée et une flèche aiguë, c’est l’homme qui répond en faux témoin contre son prochain. |
Louis Segond :
Comme une massue, une épée et une flèche aiguë, Ainsi est un homme qui porte un faux témoignage contre son prochain.
Martin :
L'homme qui porte un faux témoignage contre son prochain, est un marteau, une épée, et une flèche aiguë.
Ostervald :
L'homme qui porte un faux témoignage contre son prochain, est comme un marteau, une épée, et une flèche aiguë.
Darby :
L'homme qui rend un faux témoignage contre son prochain est un marteau, et une épée, et une flèche aiguë.
Crampon :
Une massue, une épée et une flèche aiguë, tel est l’homme qui porte un faux témoignage contre son prochain.
19 |
C’est une dent rompue et un pied chancelant que la confiance en un perfide au jour de la détresse. |
Louis Segond :
Comme une dent cassée et un pied qui chancelle, Ainsi est la confiance en un perfide au jour de la détresse.
Martin :
La confiance qu'on met en celui qui se porte perfidement au temps de la détresse, est une dent qui se rompt, et un pied qui glisse.
Ostervald :
La confiance en un perfide au jour de la détresse, est une dent qui se rompt, et un pied qui glisse.
Darby :
La confiance en un perfide, au jour de la détresse, est une dent cassée et un pied chancelant.
Crampon :
Une dent cassée et un pied qui glisse, c’est la confiance qu’inspire un perfide au jour du malheur.
20 |
Un vêtement ôté en un jour froid, du vinaigre sur du natron, tel est celui qui chante des chansons à un cœur attristé. |
Louis Segond :
Oter son vêtement dans un jour froid, Répandre du vinaigre sur du nitre, C`est dire des chansons à un coeur attristé.
Martin :
Celui qui chante des chansons au coeur affligé, est comme celui qui ôte sa robe dans le temps du froid, et comme du vinaigre répandu sur le savon.
Ostervald :
Celui qui chante des chansons à un cœur affligé, est comme celui qui ôte son vêtement en un temps froid, et comme du vinaigre répandu sur le nitre.
Darby :
Celui qui ôte son vêtement en un jour de froid, -du vinaigre sur le nitre, tel est celui qui chante des chansons à un coeur affligé.
Crampon :
Oter son manteau un jour de froid, répandre du vinaigre sur du nitre, ainsi fait celui qui dit des chansons à un cœur affligé.— Noble vengeance. —
21 |
Si celui qui te hait a faim donne-lui du pain à manger et s’il a soif donne-lui de l’eau à boire ; |
Louis Segond :
Si ton ennemi a faim, donne-lui du pain à manger; S`il a soif, donne-lui de l`eau à boire.
Martin :
Si celui qui te hait a faim, donne-lui à manger du pain; et s'il a soif, donne-lui à boire de l'eau.
Ostervald :
Si ton ennemi a faim donne-lui du pain à manger; et s'il a soif donne-lui de l'eau à boire.
Darby :
Si celui qui te hait a faim, donne-lui du pain à manger, et, s'il a soif, donne-lui de l'eau à boire;
Crampon :
Si ton ennemi a faim, donne-lui du pain à manger ; s’il a soif, donne-lui de l’eau à boire ;
22 |
car ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête, et l’Éternel te le rendra. |
Louis Segond :
Car ce sont des charbons ardents que tu amasses sur sa tête, Et l`Éternel te récompensera.
Martin :
Car tu enlèveras des charbons de feu de dessus sa tête, et l'Eternel te le rendra.
Ostervald :
Car ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête, et l'Éternel te le rendra.
Darby :
car tu entasseras des charbons ardents sur sa tête, et l'Éternel te le rendra.
Crampon :
car tu amasses ainsi des charbons sur sa tête, et Yahweh te récompensera.
23 |
Le vent du nord enfante la pluie, et la langue [qui diffame] en secret [produit] le visage indigné. |
Louis Segond :
Le vent du nord enfante la pluie, Et la langue mystérieuse un visage irrité.
Martin :
Le vent de bise chasse la pluie; et le visage sévère chasse la langue qui médit en secret.
Ostervald :
Le vent du nord produit la pluie, et la langue qui médit en secret, produit le visage irrité.
Darby :
Le vent du nord enfante les averses; et les visages indignés, une langue qui médit en secret.
Crampon :
Le vent du nord enfante la pluie, et la langue qui médit en secret, un visage irrité.
24 |
Mieux vaut habiter à l’angle d’un toit, que dans une vaste maison{Héb. maison de société.} avec une femme querelleuse. |
Louis Segond :
Mieux vaut habiter à l`angle d`un toit, Que de partager la demeure d`une femme querelleuse.
Martin :
Il vaut mieux habiter au coin d'un toit, que dans une maison spacieuse avec une femme querelleuse.
Ostervald :
Mieux vaut habiter au coin d'un toit, qu'avec une femme querelleuse dans une grande maison.
Darby :
Mieux vaut habiter sur le coin d'un toit, qu'une femme querelleuse et une maison en commun.
Crampon :
Mieux vaut habiter à l’angle d’un toit, que de rester avec une femme querelleuse.
25 |
C’est de l’eau fraîche pour une âme fatiguée qu’une bonne nouvelle venant d’une terre lointaine. |
Louis Segond :
Comme de l`eau fraîche pour une personne fatiguée, Ainsi est une bonne nouvelle venant d`une terre lointaine.
Martin :
Les bonnes nouvelles apportées d'un pays éloigné, sont comme de l'eau fraîche à une personne altérée et lasse.
Ostervald :
De bonnes nouvelles apportées d'un pays éloigné, sont comme de l'eau fraîche à une personne altérée et lasse.
Darby :
Les bonnes nouvelles d'un pays éloigné sont de l'eau fraîche pour une âme altérée.
Crampon :
De l’eau fraîche pour une personne altérée, telle est une bonne nouvelle venant d’une terre lointaine.
26 |
Une fontaine troublée et une source gâtée, [tel] est le juste qui chancelle devant le méchant. |
Louis Segond :
Comme une fontaine troublée et une source corrompue, Ainsi est le juste qui chancelle devant le méchant.
Martin :
Le juste qui bronche devant le méchant, est une fontaine embourbée, et une source gâtée.
Ostervald :
Le juste qui bronche devant le méchant, est comme une fontaine embourbée et une source gâtée.
Darby :
Le juste qui chancelle devant le méchant est une fontaine trouble et une source corrompue.
Crampon :
Une fontaine troublée et une source corrompue, tel est le juste qui chancelle devant le méchant.
27 |
Manger abondance de miel n’est pas une bonne chose, et la recherche de sa propre gloire{Héb. de leur gloire.} est un fardeau. |
Louis Segond :
Il n`est pas bon de manger beaucoup de miel, Mais rechercher la gloire des autres est un honneur.
Martin :
Comme il n'est pas bon de manger trop de miel, aussi il n'y a pas de la gloire pour ceux qui la cherchent avec trop d'ardeur.
Ostervald :
Il n'est pas bon de manger trop de miel, et sonder les choses profondes est un fardeau.
Darby :
Manger beaucoup de miel n'est pas bon, et s'occuper de sa propre gloire n'est pas la gloire.
Crampon :
Il n’est pas bon de manger beaucoup de miel ; ainsi celui qui veut sonder la majesté divine sera accablé par sa gloire.
28 |
C’est une ville battue en brèche, sans murailles, que l’homme dont l’esprit n’a point de retenue. |
Louis Segond :
Comme une ville forcée et sans murailles, Ainsi est l`homme qui n`est pas maître de lui-même.
Martin :
L'homme qui ne peut pas retenir son esprit, est comme une ville où il y a brèche, et qui est sans murailles.
Ostervald :
L'homme qui n'est pas maître de lui-même, est comme une ville où il y a brèche et qui est sans murailles.
Darby :
L'homme qui ne gouverne pas son esprit est une ville en ruine, sans murailles.
Crampon :
Une ville forcée qui n’a plus de murailles, tel est l’homme qui ne peut se contenir.