1 |
Ne te presse point de ta bouche et que ton cœur ne se hâte pas d’énoncer une parole devant la face de Dieu ; car Dieu est dans les cieux, et tu es sur la terre ; qu’ainsi tes paroles soient peu nombreuses ; |
Louis Segond :
Ne te presse pas d`ouvrir la bouche, et que ton coeur ne se hâte pas d`exprimer une parole devant Dieu; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre: que tes paroles soient donc peu nombreuses.
Martin :
Quand tu entreras dans la maison de Dieu, prends garde à ton pied; et approche-toi pour ouïr, plutôt que pour donner ce que donnent les fous, savoir le sacrifice; car ils ne savent point qu'ils font mal.
Ostervald :
Quand tu entreras dans la maison de Dieu, prends garde à ton pied, et approche-toi pour écouter, plutôt que pour offrir le sacrifice des insensés; car ils ne savent pas le mal qu'ils font.
Darby :
Prends garde à ton pied, quand tu vas dans la maison de Dieu, et approche-toi pour entendre, plutôt que pour donner le sacrifice des sots; car ils ne savent pas qu'ils font mal.
Crampon :
Ne sois pas pressé d’ouvrir la bouche, et que ton cœur ne se hâte pas d’exprimer une parole devant Dieu ; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre : que tes paroles soient donc peu nombreuses !
2 |
car comme le songe survient dans la multitude des affaires, ainsi la voix de l’insensé, dans la multitude des paroles. |
Louis Segond :
Car, si les songes naissent de la multitude des occupations, la voix de l`insensé se fait entendre dans la multitude des paroles.
Martin :
Ne te précipite point à parler, et que ton coeur ne se hâte point de parler devant Dieu; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre; c'est pourquoi use de peu de paroles.
Ostervald :
Ne te presse pas d'ouvrir la bouche, et que ton cœur ne se hâte point de prononcer quelque parole devant Dieu; car Dieu est aux cieux, et toi sur la terre; c'est pourquoi, use de peu de paroles.
Darby :
Ne te presse point de ta bouche, et que ton coeur ne se hâte point de proférer une parole devant Dieu; car Dieu est dans les cieux, et toi sur la terre: c'est pourquoi, que tes paroles soient peu nombreuses.
Crampon :
Car de la multitude des occupations naissent les songes, et de la multitude des paroles, des propos d’insensé.
3 |
Lorsque tu auras voué un vœu à Dieu, ne renvoie pas de l’accomplir ; car il ne prend pas plaisir aux insensés. Accomplis le vœu que tu as fait. |
Louis Segond :
Lorsque tu as fait un voeu à Dieu, ne tarde pas à l`accomplir, car il n`aime pas les insensés: accomplis le voeu que tu as fait.
Martin :
Car comme le songe vient de la multitude des occupations; ainsi la voix des fous sort de la multitude des paroles.
Ostervald :
Car, comme le songe naît de la multitude des occupations, ainsi la voix des fous se fait connaître par la multitude des paroles.
Darby :
Car le songe vient de beaucoup d'occupations, et la voix du sot de beaucoup de paroles.
Crampon :
Lorsque tu fais un vœu à Dieu, ne tarde pas à l’accomplir, car il n’y a pas de faveur pour les insensés : ce que tu voues, accomplis-le.
4 |
Mieux te vaut de ne pas faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir. |
Louis Segond :
Mieux vaut pour toi ne point faire de voeu, que d`en faire un et de ne pas l`accomplir.
Martin :
Quand tu auras voué quelque voeu à Dieu, ne diffère point de l'accomplir; car il ne prend point de plaisir aux fous; accomplis donc ce que tu auras voué.
Ostervald :
Quand tu auras fait un vœu à Dieu, ne diffère point de l'accomplir; car il ne prend point plaisir aux insensés. Accomplis donc le vœu que tu as fait.
Darby :
Quand tu auras voué un voeu à Dieu, ne tarde point à l'acquitter; car il ne prend pas plaisir aux sots: ce que tu auras voué, accomplis-le.
Crampon :
Mieux vaut pour toi ne pas vouer, que vouer et ne pas accomplir.
5 |
Ne laisse pas ta bouche faire pécher ta chair, et ne dis point en présence de l’envoyé que c’est une méprise. Pourquoi Dieu se courroucerait-il à ta voix, et détruirait-il l’ouvrage de tes mains ? |
Louis Segond :
Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis pas en présence de l`envoyé que c`est une inadvertance. Pourquoi Dieu s`irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l`ouvrage de tes mains?
Martin :
Il vaut mieux que tu ne fasses point de voeux, que d'en faire, et ne les accomplir point.
Ostervald :
Il vaut mieux que tu ne fasses point de vœux, que d'en faire, et de ne pas les accomplir.
Darby :
Mieux vaut que tu ne fasses point de voeu, que d'en faire un et de ne pas l'accomplir.
Crampon :
Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis pas en présence de l’envoyé de Dieu que c’est une inadvertance : pourquoi Dieu s’irriterait-il au sujet de tes paroles, et détruirait-il les œuvres de tes mains ?
6 |
Car dans la multitude des songes il y a des vanités, et aussi dans beaucoup de paroles. C’est pourquoi, crains Dieu. |
Louis Segond :
Car, s`il y a des vanités dans la multitude des songes, il y en a aussi dans beaucoup de paroles; c`est pourquoi, crains Dieu.
Martin :
Ne permets point que ta bouche te fasse pécher, et ne dis point devant le messager de Dieu, que c'est ignorance. Pourquoi se courroucerait l'Eternel à cause de ta parole, et détruirait-il l'oeuvre de tes mains?
Ostervald :
Ne permets pas à ta bouche de te faire pécher, et ne dis pas devant l'envoyé de Dieu, que c'est une erreur. Pourquoi Dieu s'irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l'ouvrage de tes mains?
Darby :
Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis point devant l'ange que c'est une erreur. Pourquoi Dieu se courroucerait-il à ta voix, et détruirait-il l'oeuvre de tes mains?
Crampon :
Car, comme il y a des vanités dans la multitude des occupations, il y en a aussi dans beaucoup de paroles ; c’est pourquoi crains Dieu.— Princes et Rois —
7 |
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et l’équité et la justice mises au pillage, ne sois pas étonné de cet arbitraire ; car une altesse est au-dessus d’une altesse, surveillant, et un Très-Haut [est] au-dessus d’elles ; |
Louis Segond :
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t`en étonne point; car un homme élevé est placé sous la surveillance d`un autre plus élevé, et au-dessus d`eux il en est de plus élevés encore.
Martin :
Car comme dans la multitude des songes il y a des vanités, aussi y en a-t-il beaucoup dans la multitude des paroles; mais crains Dieu.
Ostervald :
Car, comme dans la multitude des songes il y a de la vanité, il y en a beaucoup aussi dans la multitude des paroles; mais crains Dieu.
Darby :
Car dans la multitude des songes il y a des vanités, et aussi dans beaucoup de paroles; mais crains Dieu.
Crampon :
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé, le droit et la justice violés, ne t’étonne point de la chose ; car un plus grand veille sur un grand, et de plus grands encore veillent sur eux.
8 |
et c’est l’avantage d’un pays{Héb. de la terre.} à tous égards, [qu’il y ait] un roi pour les champs cultivés. |
Louis Segond :
Un avantage pour le pays à tous égards, c`est un roi honoré du pays.
Martin :
Si tu vois dans la Province qu'on fasse tort au pauvre, et que le droit et la justice y soient violés, ne t'étonne point de cela; car un plus haut élevé que ce haut élevé y prend garde, et il y en a de plus haut élevés qu'eux.
Ostervald :
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé, et le droit et la justice violés, ne t'étonne point de cela; car il y en a un qui est plus élevé que celui qui est élevé, et qui y prend garde, et il en est de plus élevés qu'eux.
Darby :
Si tu vois le pauvre opprimé et le droit et la justice violentés dans un province, ne t'étonne pas de cela; car il y en a un qui est haut au-dessus des hauts, et qui prend garde, et il y en a de plus hauts qu'eux.
Crampon :
Un avantage pour le pays à tous égards, c’est un roi qui donne ses soins à l’agriculture.— Troubles divers dans la jouissance des richesses. —
9 |
Qui aime l’argent ne sera pas rassasié d’argent, et quelqu’un aime-t-il le grand train, ce n’est pas un revenu. Cela aussi est vanité. |
Louis Segond :
Celui qui aime l`argent n`est pas rassasié par l`argent, et celui qui aime les richesses n`en profite pas. C`est encore là une vanité.
Martin :
La terre a de l'avantage par-dessus toutes choses; le Roi est asservi au champ.
Ostervald :
C'est cependant un avantage pour le pays qu'un roi honoré du pays.
Darby :
La terre est profitable à tous égards, le roi même est asservi à la glèbe.
Crampon :
Celui qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses n’en goûte pas le fruit ; c’est encore là une vanité.
10 |
Quand abonde le bien, ceux qui le mangent abondent ; et quel profit en a celui qui le possède, sinon que ses yeux le voient ? |
Louis Segond :
Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu`il le voit de ses yeux?
Martin :
Celui qui aime l'argent, n'est point assouvi par l'argent; et celui qui aime un grand train, n'en est pas nourri; cela aussi est une vanité.
Ostervald :
Celui qui aime l'argent n'est point rassasié par l'argent, et celui qui aime un grand train, n'en est pas nourri. Cela aussi est une vanité.
Darby :
Celui qui aime l'argent n'est point rassasié par l'argent, et celui qui aime les richesses ne l'est pas par le revenu. Cela aussi est vanité.
Crampon :
Quand les biens se multiplient, ceux qui les mangent se multiplient aussi ; et quel avantage en revient-il à leurs possesseurs, sinon qu’ils les voient de leurs yeux ?
11 |
Doux est le sommeil du travailleur, soit qu’il mange peu ou beaucoup ; mais la satiété du riche ne lui permet pas de dormir. |
Louis Segond :
Le sommeil du travailleur est doux, qu`il ait peu ou beaucoup à manger; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir.
Martin :
Où il y a beaucoup de bien, là il y a beaucoup de gens qui le mangent; et quel avantage en revient-il à son maître, sinon qu'il le voit de ses yeux?
Ostervald :
Où il y a beaucoup de bien, il y a beaucoup de gens qui le mangent; et quel avantage en a celui qui le possède, sinon qu'il le voit de ses yeux?
Darby :
Avec l'augmentation des biens, ceux qui les mangent augmentent aussi; et quel profit en a le maître, sauf qu'il les voit de ses yeux?
Crampon :
Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais la satiété du riche ne le laisse pas dormir.
12 |
Il est un mal cruel que j’ai vu sous le soleil : la richesse conservée, pour son malheur, à celui qui la possède ; |
Louis Segond :
Il est un mal grave que j`ai vu sous le soleil: des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède.
Martin :
Le dormir de celui qui laboure est doux, soit qu'il mange peu, ou beaucoup; mais le rassasiement du riche ne le laisse point dormir.
Ostervald :
Le sommeil du travailleur est doux, soit qu'il mange peu ou beaucoup; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir.
Darby :
Le sommeil est doux pour celui qui travaille, qu'il mange peu ou beaucoup; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir.
Crampon :
Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées pour son malheur par celui qui les possède :
13 |
puis cette richesse s’est perdue par quelque mauvaise affaire, et s’il a engendré un fils, il ne reste rien en sa main ; |
Louis Segond :
Ces richesses se perdent par quelque événement fâcheux; il a engendré un fils, et il ne reste rien entre ses mains.
Martin :
Il y a un mal fâcheux que j'ai vu sous le soleil, c'est que des richesses sont conservées à leurs maîtres afin qu'ils en aient du mal.
Ostervald :
Il y a un mal fâcheux que j'ai vu sous le soleil: des richesses conservées pour son malheur par celui qui les possède.
Darby :
Il y a un mal douloureux que j'ai vu sous le soleil: les richesses sont conservées à leurs maîtres pour leur détriment,
Crampon :
Ces richesses se perdent par quelque fâcheux événement, et, s’il a engendré un fils, il ne lui reste rien entre les mains.
14 |
comme il est sorti du ventre de sa mère, il s’en retournera nu, s’en allant comme il vint, et pour son labeur il ne prendra rien qu’il puisse emporter dans sa main. |
Louis Segond :
Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s`en retourne nu ainsi qu`il était venu, et pour son travail n`emporte rien qu`il puisse prendre dans sa main.
Martin :
Et ces richesses-là périssent par quelque fâcheux accident, de sorte qu'on aura engendré un enfant, et il n'aura rien entre ses mains.
Ostervald :
Et ces richesses périssent par un mauvais trafic, et s'il a engendré un fils, il n'aura rien entre les mains.
Darby :
-ou ces richesses périssent par quelque circonstance malheureuse, et il a engendré un fils, et il n'a rien en sa main.
Crampon :
Tel qu’il est sorti du sein de sa mère, il s’en retournera nu, comme il était venu ; et il ne recevra rien pour son travail, qu’il puisse emporter dans sa main :
15 |
Oui, cela aussi est un mal cruel : tout comme il est venu, ainsi il s’en va, et quel avantage a-t-il de s’être tourmenté pour du vent ? |
Louis Segond :
C`est encore là un mal grave. Il s`en va comme il était venu; et quel avantage lui revient-il d`avoir travaillé pour du vent?
Martin :
Et comme il est sorti nu du ventre de sa mère, il s'en retournera nu, s'en allant comme il est venu, et il n'emportera rien de son travail auquel il a employé ses mains.
Ostervald :
Et, comme il est sorti nu du sein de sa mère, il s'en retournera nu, s'en allant comme il est venu; et il n'emportera rien qu'il puisse prendre dans sa main.
Darby :
Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s'en retournera nu, s'en allant comme il est venu, et de son travail il n'emportera rien qu'il puisse prendre dans sa main.
Crampon :
C’est encore là un grave mal, qu’il s’en aille comme il est venu : et quel avantage lui revient-il d’avoir travaillé pour le vent ?
16 |
bien plus, tous les jours de sa vie il mange dans les ténèbres et il se chagrine beaucoup, et il en est malade et il en est courroucé. |
Louis Segond :
De plus, toute sa vie il mange dans les ténèbres, et il a beaucoup de chagrin, de maux et d`irritation.
Martin :
Et c'est aussi un mal fâcheux, que comme il est venu, il s'en va de même; et quel avantage a-t-il d'avoir travaillé après du vent?
Ostervald :
C'est encore ici un mal fâcheux; comme il est venu, il s'en va de même; et quel avantage a-t-il d'avoir travaillé pour du vent?
Darby :
Et cela aussi est un mal douloureux, que, tout comme il est venu, ainsi il s'en va; et quel profit a-t-il d'avoir travaillé pour le vent?
Crampon :
De plus, toute sa vie il mange dans les ténèbres ; il a beaucoup de chagrin, de souffrance et d’irritation.
17 |
Voici ce que j’ai vu : c’est une chose belle, et qui est bonne, que de manger, de boire et de jouir du bien-être, au milieu de tout le labeur dont l’homme se tourmente sous le soleil, pendant le nombre [limité] des jours de vie que Dieu lui a donnés ; car c’est là sa part. |
Louis Segond :
Voici ce que j`ai vu: c`est pour l`homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu`il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés; car c`est là sa part.
Martin :
Il mange aussi tous les jours de sa vie en ténèbres, et se chagrine beaucoup, et son mal va jusqu'à la fureur.
Ostervald :
Il mange aussi, tous les jours de sa vie, dans les ténèbres, et il a beaucoup de chagrin, de maux et d'irritation.
Darby :
Il mange aussi tous les jours de sa vie dans les ténèbres et se chagrine beaucoup, et est malade et irrité.
Crampon :
Voici donc ce que j’ai vu : c’est qu’il est bon et séant pour l’homme de manger et de boire, et de jouir du bien-être dans tout son travail, auquel il se livre sous le soleil, durant les jours de vie que Dieu lui donne ; car c’est là sa part.
18 |
De plus, quand Dieu a donné à quelque homme richesse et biens, le faisant maître d’en manger, d’en prendre sa part et de se réjouir en son labeur, c’est là un don de Dieu ; |
Louis Segond :
Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s`il l`a rendu maître d`en manger, d`en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c`est là un don de Dieu.
Martin :
Voilà donc ce que j'ai vu, que c'est une chose bonne et agréable à l'homme, de manger et de boire, et de jouir du bien de tout son travail qu'il aura fait sous le soleil, durant les jours de sa vie, lesquels Dieu lui a donnés; car c'est là sa portion.
Ostervald :
Voici ce que j'ai vu: c'est pour l'homme une chose bonne et agréable que de manger, de boire, et de jouir du bien-être, au milieu de tout le travail auquel il se livre sous le soleil, pendant les jours de vie que Dieu lui a donnés; car c'est là son partage.
Darby :
Voici ce que j'ai vu de bon et de beau: c'est de manger et de boire et de jouir du bien-être dans tout le travail dont l'homme se tourmente sous le soleil tous les jours de sa vie, que Dieu lui a donnés; car c'est là sa part.
Crampon :
De plus, pour tout homme à qui Dieu donne richesses et biens, avec pouvoir d’en manger, d’en prendre sa part et de se réjouir de son travail, c’est là un don de Dieu.
19 |
car il n’aura pas grand souvenir des jours de sa vie, puisque Dieu lui répond par la joie de son cœur. |
Louis Segond :
Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son coeur.
Martin :
Aussi ce que Dieu donne de richesses et de biens à un homme, quel qu'il soit, et dont il le fait maître, pour en manger, et pour en prendre sa part, et pour se réjouir de son travail, c'est là un don de Dieu.
Ostervald :
En effet, ce que Dieu donne à tout homme, de richesses et de biens, ce dont il le fait maître, pour en manger, et pour en prendre sa part, et pour s'en réjouir au milieu de son travail, cela est un don de Dieu.
Darby :
Et encore tout homme auquel Dieu donne de la richesse et des biens, et le pouvoir d'en manger et d'en prendre sa part, et de se réjouir en son travail,... c'est là un don de Dieu;
Crampon :
Car alors il ne songe guère aux jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son cœur.