Psaumes 90 Traduction Lausanne


1 Prière de Moïse, homme de Dieu.
Seigneur ! c’est toi qui as été notre retraite d’âge en âge.


Louis Segond :

Prière de Moïse, homme de Dieu. Seigneur! tu as été pour nous un refuge, De génération en génération.

Martin :

Seigneur! Tu nous as été une retraite d'âge en âge.

Ostervald :

Prière de Moïse, homme de Dieu. Seigneur, tu as été pour nous une retraite d'âge en âge.

Darby :

Seigneur, tu as été notre demeure de génération en génération.

Crampon :

Prière de Moïse, homme de Dieu. Seigneur, tu as été pour nous un refuge d’âge en âge.

2 Avant que les montagnes fussent nées et que tu eusses mis au jour la terre et le monde, même d’éternité en éternité, tu es Dieu.


Louis Segond :

Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eusses créé la terre et le monde, D`éternité en éternité tu es Dieu.

Martin :

Avant que les montagnes fussent nées, et que tu eusses formé la terre, la terre, dis-je, habitable, même de siècle en siècle, tu es le Dieu Fort.

Ostervald :

Avant que les montagnes fussent nées et que tu eusses formé la terre et le monde, d'éternité en éternité, tu es Dieu.

Darby :

Avant que les montagnes fussent nées et que tu eusses formé la terre et le monde, d'éternité en éternité tu es Dieu.

Crampon :

Avant que les montagnes fussent nées, et que tu eusses enfanté la terre et le monde, de l’éternité à l’éternité tu es, ô Dieu !

3 Tu fais retourner l’homme jusque dans la poudre, et tu dis : Retournez, fils des hommes.


Louis Segond :

Tu fais rentrer les hommes dans la poussière, Et tu dis: Fils de l`homme, retournez!

Martin :

Tu réduis l'homme mortel jusques à le menuiser, et tu dis: Fils des hommes, retournez.

Ostervald :

Tu fais retourner l'homme à la poussière; et tu dis: Fils des hommes, retournez!

Darby :

Tu fais retourner l'homme jusqu'à la poussière, et tu dis: Retournez, fils des hommes.

Crampon :

Tu réduis les mortels en poussière, et tu dis : " Retournez, fils de l’homme ! "

4 Car mille ans sont, à tes yeux, comme le jour d’hier quand il est passé, et comme une veille en la nuit.


Louis Segond :

Car mille ans sont, à tes yeux, Comme le jour d`hier, quand il n`est plus, Et comme une veille de la nuit.

Martin :

Car mille ans sont devant tes yeux comme le jour d'hier qui est passé, et comme une veille en la nuit.

Ostervald :

Car mille ans à tes yeux sont comme le jour d'hier quand il est passé, et comme une veille dans la nuit.

Darby :

Car mille ans, à tes yeux, sont comme le jour d'hier quand il est passé, et comme une veille dans la nuit.

Crampon :

Car mille ans sont, à tes yeux, comme le jour d’hier, quand il passe, et comme une veille de la nuit.

5 Comme un torrent tu les emportes ; ils sont un songe. Au matin, ils se renouvellent comme l’herbe.


Louis Segond :

Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l`herbe:

Martin :

Tu les emportes comme par une ravine d'eau; ils sont comme un songe au matin; comme une herbe qui se change,

Ostervald :

Tu les emportes, semblables à un songe; ils sont au matin comme une herbe qui passe;

Darby :

Comme un torrent tu les emportes; ils sont comme un sommeil, -au matin, comme l'herbe qui reverdit:

Crampon :

Tu les emportes, semblables à un songe ; le matin, comme l’herbe, ils repoussent :

6 Au matin, elle fleurit et se renouvelle ; le soir, on la coupe, et elle sèche.


Louis Segond :

Elle fleurit le matin, et elle passe, On la coupe le soir, et elle sèche.

Martin :

Laquelle fleurit au matin, et reverdit; le soir on la coupe, et elle se fane.

Ostervald :

Elle fleurit le matin et elle se fane; le soir on la coupe et elle sèche.

Darby :

Au matin, elle fleurit et reverdit; le soir on la coupe, et elle sèche.

Crampon :

le matin, elle fleurit et pousse ; le soir, elle se flétrit et se dessèche.

7 Car nous sommes consumés par ta colère, et nous sommes épouvantés par ta fureur.


Louis Segond :

Nous sommes consumés par ta colère, Et ta fureur nous épouvante.

Martin :

Car nous sommes consumés par ta colère, et nous sommes troublés par ta fureur.

Ostervald :

Car nous sommes consumés par ta colère, et nous sommes troublés par ton courroux.

Darby :

Car nous sommes consumés par ta colère, et nous sommes épouvantés par ta fureur.

Crampon :

Ainsi nous sommes consumés par ta colère, et ta fureur nous terrifie.

8 Tu mets devant toi nos iniquités, et sous la lumière de ta face nos fautes cachées.


Louis Segond :

Tu mets devant toi nos iniquités, Et à la lumière de ta face nos fautes cachées.

Martin :

Tu as mis devant toi nos iniquités, et devant la clarté de ta face nos fautes cachées.

Ostervald :

Tu as mis devant toi nos iniquités, et devant la clarté de ta face nos fautes cachées.

Darby :

as mis devant toi nos iniquités, devant la lumière de ta face nos fautes cachées.

Crampon :

Tu mets devant toi nos iniquités, nos fautes cachées à la lumière de ta face.

9 Car tous nos jours s’en vont par ton courroux, et nous consumons nos années comme une pensée.


Louis Segond :

Tous nos jours disparaissent par ton courroux; Nous voyons nos années s`évanouir comme un son.

Martin :

Car tous nos jours s'en vont par ta grande colère, et nous consumons nos années comme une pensée.

Ostervald :

Car tous nos jours s'en vont par ta colère; nous consumons nos années comme une pensée.

Darby :

Car tous nos jours s'en vont par ta grande colère; nous consumons nos années comme une pensée.

Crampon :

Tous nos jours disparaissent par ton courroux, nous voyons nos années s’évanouir comme un son léger.

10 Les jours de nos années montent à soixante et dix ans, et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans ; et ce qui en fait l’orgueil n’est que tourment et iniquité ; car [notre vie] s’en va soudain et nous nous envolons.


Louis Segond :

Les jours de nos années s`élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l`orgueil qu`ils en tirent n`est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons.

Martin :

Les jours de nos années reviennent à soixante et dix ans, et s'il y en a de vigoureux, à quatre-vingts ans; même le plus beau de ces jours n'est que travail et tourment; et il s'en va bientôt, et nous nous envolons.

Ostervald :

Les jours de nos années reviennent à soixante-dix ans et pour les plus vigoureux, à quatre-vingts ans; et le plus beau de ces jours n'est que peine et tourment; car il s'en va bientôt, et nous nous envolons.

Darby :

Les jours de nos années montent à soixante-dix ans, et si, à cause de la vigueur, ils vont à quatre-vingt ans, leur orgueil encore est peine et vanité; car notre vie s'en va bientôt, et nous nous envolons.

Crampon :

Nos jours s’élèvent à soixante-dix ans, et dans leur pleine mesure à quatre-vingts ans ; et leur splendeur n’est que peine et misère, car ils passent vite, et nous nous envolons !

11 Qui est-ce qui connaît la force de ta colère et, autant qu’il faut te craindre, ton courroux ?


Louis Segond :

Qui prend garde à la force de ta colère, Et à ton courroux, selon la crainte qui t`est due?

Martin :

Qui est-ce qui connaît, selon ta crainte, la force de ton indignation et de ta grande colère?

Ostervald :

Qui connaît la force de ton courroux et ton indignation, selon la crainte qui t'est due?

Darby :

Qui connaît la force de ta colère, et, selon ta crainte, ton courroux?

Crampon :

Qui comprend la puissance de ta colère, et ton courroux, selon la crainte qui t’est due ?

12 Enseigne-nous ainsi à compter nos jours et que nous prenions un cœur de sagesse.


Louis Segond :

Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse.

Martin :

Enseigne-nous à tellement compter nos jours, que nous en puissions avoir un coeur rempli de sagesse.

Ostervald :

Enseigne-nous à compter nos jours, tellement que nous puissions avoir un cœur sage.

Darby :

Enseigne-nous ainsi à compter nos jours, afin que nous en acquérions un coeur sage.

Crampon :

Enseigne-nous à bien compter nos jours. afin que nous acquérions un cœur sage.

13 Reviens, Éternel ! Jusques à quand... ? Et repens-toi en faveur de tes esclaves.


Louis Segond :

Reviens, Éternel! Jusques à quand?... Aie pitié de tes serviteurs!

Martin :

Eternel! retourne-toi; jusques à quand? sois apaisé envers tes serviteurs.

Ostervald :

Reviens, Éternel, jusques à quand? Aie compassion de tes serviteurs!

Darby :

Éternel! retourne-toi. -Jusques à quand? -Et repens-toi à l'égard de tes serviteurs.

Crampon :

Reviens, Yahweh ; jusques à quand ? Aie pitié de tes serviteurs.

14 Rassasie-nous, au matin, de ta grâce, et nous pousserons des cris d’allégresse, et nous serons joyeux tout le long de nos jours.


Louis Segond :

Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l`allégresse.

Martin :

Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, afin que nous nous réjouissions, et que nous soyons joyeux tout le long de nos jours.

Ostervald :

Dès le matin, rassasie-nous de ta bonté, afin que nous nous réjouissions et que nous soyons joyeux tout le long de nos jours.

Darby :

Rassasie-nous, au matin, de ta bonté; et nous chanterons de joie, et nous nous réjouirons tous nos jours.

Crampon :

Rassasie-nous le matin de ta bonté, et nous serons tous nos jours dans la joie et l’allégresse.

15 Réjouis-nous à proportion des jours où tu nous as humiliés, des années où nous avons vu le malheur.


Louis Segond :

Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés, Autant d`années que nous avons vu le malheur.

Martin :

Réjouis-nous au prix des jours que tu nous as affligés, et au prix des années auxquelles nous avons senti des maux:

Ostervald :

Réjouis-nous au prix des jours tu nous as affligés et des années nous avons vu des maux.

Darby :

Réjouis-nous selon les jours tu nous as affligés, selon les années nous avons vu des maux.

Crampon :

Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés, autant d’années que nous avons connu le malheur.

16 Que ton œuvre se montre à tes esclaves et ta magnificence sur leurs fils.


Louis Segond :

Que ton oeuvre se manifeste à tes serviteurs, Et ta gloire sur leurs enfants!

Martin :

Que ton oeuvre paraisse sur tes serviteurs, et ta gloire sur leurs enfants.

Ostervald :

Que ton œuvre se montre à tes serviteurs, et ta gloire sur leurs enfants!

Darby :

Que ton oeuvre apparaisse à tes serviteurs, et ta majesté à leurs fils.

Crampon :

Que ton œuvre se manifeste à tes serviteurs, ainsi que ta gloire, pour leurs enfants !

17 Et que la beauté de l’Éternel, notre Dieu, soit sur nous. Affermis pour nous l’ouvrage de nos mains ; oui, affermis l’ouvrage de nos mains.


Louis Segond :

Que la grâce de l`Éternel, notre Dieu, soit sur nous! Affermis l`ouvrage de nos mains, Oui, affermis l`ouvrage de nos mains!

Martin :

Et que le bon plaisir de l'Eternel notre Dieu, soit sur nous, et dirige l'oeuvre de nos mains; oui dirige l'oeuvre de nos mains.

Ostervald :

Et que la bienveillance de l'Éternel notre Dieu soit sur nous! Affermis pour nous l'œuvre de nos mains; oui, affermis l'œuvre de nos mains.

Darby :

Et que la gratuité du Seigneur, notre Dieu, soit sur nous; et établis sur nous l'oeuvre de nos mains: oui, l'oeuvre de nos mains, établis-la.

Crampon :

Que la faveur de Yahweh, notre Dieu, soit sur nous ! Affermis pour nous l’ouvrage de nos mains ; oui, affermis l’ouvrage de nos mains !


Précédent    Suivant


Verset aléatoire pour votre site web       Louanges       Coloriages       Contacter l'équipe eBible.fr