1 |
Chant des degrés. De Salomon. Si l’Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent y travaillent en vain. Si l’Éternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain. |
Louis Segond :
Cantique des degrés. De Salomon. Si l`Éternel ne bâtit la maison, Ceux qui la bâtissent travaillent en vain; Si l`Éternel ne garde la ville, Celui qui la garde veille en vain.
Martin :
Cantique de Mahaloth, de Salomon. Si l'Eternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent, y travaillent en vain; si l'Eternel ne garde la ville, celui qui la garde, fait le guet en vain.
Ostervald :
Cantique de Maaloth, de Salomon. Si l'Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain. Si l'Éternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain.
Darby :
Si l'Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent y travaillent en vain; si l'Éternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain;
Crampon :
Cantique des montées. De Salomon. Si Yahweh ne bâtit pas la maison, en vain travaillent ceux qui la bâtissent ; si Yahweh ne garde pas la cité, en vain la sentinelle veille à ses portes.
2 |
En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, mangez-vous le pain de douleurs ; il en donne tout autant à son bien-aimé pendant le sommeil. |
Louis Segond :
En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de douleur; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil.
Martin :
C'est en vain que vous vous levez de grand matin, que vous vous couchez tard, et que vous mangez le pain de douleurs; certes c'est Dieu qui donne du repos à celui qu'il aime.
Ostervald :
En vain vous vous levez matin, vous vous couchez tard, et vous mangez le pain de douleur; il en donne autant à son bien-aimé pendant son sommeil.
Darby :
C'est en vain que vous vous levez matin, que vous vous couchez tard, que vous mangez le pain de douleurs. Ainsi, il donne le sommeil à son bien-aimé.
Crampon :
C’est en vain que vous vous levez avant le jour, et que vous retardez votre repos, mangeant le pain de la douleur : il en donne autant à son bien-aimé pendant son sommeil.
3 |
Voici, les fils sont un héritage de l’Éternel ; le fruit du sein maternel est une récompense. |
Louis Segond :
Voici, des fils sont un héritage de l`Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense.
Martin :
Voici, les enfants sont un héritage donné par l'Eternel; et le fruit du ventre est une récompense de Dieu.
Ostervald :
Voici, les enfants sont un héritage de l'Éternel; le fruit des entrailles est une récompense.
Darby :
Voici, les fils sont un héritage de l'Éternel, et le fruit du ventre est une récompense.
Crampon :
Voici, c’est un héritage de Yahweh, que les enfants ; une récompense, que les fruits d’un sein fécond.
4 |
Tels que les flèches dans la main d’un guerrier, tels sont les fils du jeune âge. |
Louis Segond :
Comme les flèches dans la main d`un guerrier, Ainsi sont les fils de la jeunesse.
Martin :
Telles que sont les flèches en la main d'un homme puissant, tels sont les fils d'un père qui est dans la fleur de son âge.
Ostervald :
Telles les flèches dans la main d'un guerrier, tels sont les fils du jeune âge.
Darby :
Comme des flèches dans la main d'un homme puissant, tels sont les fils de la jeunesse.
Crampon :
Comme les flèches dans la main d’un guerrier, ainsi sont les fils de la jeunesse.
5 |
Heureux est l’homme qui en a rempli son carquois ; ils ne seront pas confus quand ils parleront, à la porte, avec des ennemis. |
Louis Segond :
Heureux l`homme qui en a rempli son carquois! Ils ne seront pas confus, Quand ils parleront avec des ennemis à la porte.
Martin :
Ô Que bienheureux est l'homme qui en a rempli son carquois! des hommes comme ceux-là ne rougiront point de honte, quand ils parleront avec leurs ennemis à la porte.
Ostervald :
Heureux l'homme qui en a rempli son carquois! Ils ne seront pas confus, quand ils parleront avec des ennemis à la porte.
Darby :
Bienheureux l'homme qui en a rempli son carquois! ils n'auront pas honte quand ils parleront avec des ennemis dans la porte.
Crampon :
Heureux l’homme qui en a rempli son carquois ! Ils ne rougiront pas quand ils répondront aux ennemis, à la porte de la ville.