Job 24 Traduction Darby


1 Pourquoi des temps ne sont-ils pas réservés par devers le Tout-puissant, et ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?


Louis Segond :

Pourquoi le Tout Puissant ne met-il pas des temps en réserve, Et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?

Martin :

Comment les temps de la vengeance ne seraient-ils pas cachés aux méchants par le Tout-puissant, puisque ceux-mêmes qui le connaissent n'aperçoivent pas les jours de sa punition sur eux?

Ostervald :

Pourquoi n'y a-t-il pas des temps réservés par le Tout-Puissant? Et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?

Crampon :

Pourquoi n’y a-t-il pas de temps réservés par le Tout-Puissant, et ceux qui le servent ne voient-ils pas son jour ?

Lausanne :

Pourquoi le Tout-Puissant n’a-t-il pas réservé des temps, et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours ?

2 Ils reculent les bornes, ils pillent le troupeau et le paissent;


Louis Segond :

On déplace les bornes, On vole des troupeaux, et on les fait paître;

Martin :

Ils reculent les bornes, ils pillent les bêtes du troupeau, et puis ils les font aller paître.

Ostervald :

On remue les bornes; on ravit les troupeaux, et on les fait paître;

Crampon :

On voit des hommes qui déplacent les bornes, qui font paître le troupeau qu’ils ont volé.

Lausanne :

On recule les bornes, on fait paître des troupeaux qu’on a ravis ;

3 Ils emmènent l'âne des orphelins et prennent en gage le boeuf de la veuve;


Louis Segond :

On enlève l`âne de l`orphelin, On prend pour gage le boeuf de la veuve;

Martin :

Ils emmènent l'âne des orphelins, ils prennent pour gage le boeuf de la veuve.

Ostervald :

On emmène l'âne des orphelins, on prend pour gage le bœuf de la veuve;

Crampon :

Ils poussent devant eux l’âne de l’orphelin, et retiennent en gage le bœuf de la veuve.

Lausanne :

on emmène l’âne des orphelins, on prend en gage la vache de la veuve ;

4 Ils détournent du chemin les pauvres; les malheureux de la terre se cachent ensemble:


Louis Segond :

On repousse du chemin les indigents, On force tous les malheureux du pays à se cacher.

Martin :

Ils font retirer les pauvres du chemin, et les misérables du pays sont contraints de se cacher.

Ostervald :

On fait écarter les pauvres du chemin, et les affligés du pays sont contraints de se cacher.

Crampon :

Ils forcent les pauvres à se détourner du chemin ; tous les humbles du pays sont réduits à se cacher.

Lausanne :

on pousse les pauvres hors du chemin ; les malheureux de la terre sont tous réduits à se cacher.

5 Voici, ânes sauvages dans le désert, ils sortent pour leur besogne dès le matin, pour chercher leur proie; le désert leur fournit le pain pour leurs enfants;


Louis Segond :

Et voici, comme les ânes sauvages du désert, Ils sortent le matin pour chercher de la nourriture, Ils n`ont que le désert pour trouver le pain de leurs enfants;

Martin :

Voilà, il y en a qui sont comme des ânes sauvages dans le désert; ils sortent pour faire leur ouvrage, se levant dès le matin pour la proie; le désert leur fournit du pain pour leurs enfants.

Ostervald :

Voici, ils sont dans le désert comme des ânes sauvages; ils sortent pour leur travail, espérant une proie; la steppe leur donne le pain pour les enfants.

Crampon :

Comme l’onagre dans la solitude, ils sortent pour leur travail, dès le matin, cherchant leur nourriture. Le désert leur fournit la subsistance de leurs enfants ;

Lausanne :

Voici, ânes sauvages dans le désert, ils sortent à leur œuvre, cherchant furtivement leur proie ; la plaine leur fournit le pain de leurs jeunes gens.

6 Ils moissonnent le fourrage dans les champs, ils grappillent la vigne du méchant;


Louis Segond :

Ils coupent le fourrage qui reste dans les champs, Ils grappillent dans la vigne de l`impie;

Martin :

Ils vont couper le fourrage dans les champs, mais ce ne sera que fort tard qu'ils iront ravager la vigne du méchant.

Ostervald :

Ils moissonnent leur pâture dans les champs, ils maraudent dans la vigne de l'impie;

Crampon :

ils coupent les épis dans les champs, ils maraudent dans la vigne de leur oppresseur.

Lausanne :

Ils moissonnent leur fourrage dans les champs, et de la vigne du méchant ils ramassent des grappes tardives.

7 Ils passent la nuit tout nus, sans vêtement, et n'ont pas de couverture par le froid;


Louis Segond :

Ils passent la nuit dans la nudité, sans vêtement, Sans couverture contre le froid;

Martin :

Ils font passer la nuit sans vêtement à ceux qu'ils ont dépouillés, et qui n'ont pas de quoi se couvrir durant le froid;

Ostervald :

Ils passent la nuit nus, faute de vêtement, et n'ont pas de quoi se couvrir contre le froid;

Crampon :

Nus, ils passent la nuit, faute de vêtements, sans couverture contre le froid.

Lausanne :

Ils passent la nuit tout nus, faute de vêtement, et ils manquent de couverture pendant la gelée.

8 Ils sont trempés par les averses des montagnes, et, sans refuge, ils se serrent contre le rocher...


Louis Segond :

Ils sont percés par la pluie des montagnes, Et ils embrassent les rochers comme unique refuge.

Martin :

Qui sont tout mouillés par les grandes pluies des montagnes, et qui, n'ayant point de retraite, couchent dans les creux des rochers.

Ostervald :

Ils sont percés par la pluie des montagnes, et, manquant d'abri, ils embrassent le rocher.

Crampon :

La pluie des montagnes les pénètre ; à défaut d’abri, ils se blottissent contre le rocher.

Lausanne :

Ils sont trempés par l’orage des montagnes, et faute de refuge, ils embrassent le rocher.

9 Ils arrachent de la mamelle l'orphelin, et de la main des pauvres ils prennent des gages:


Louis Segond :

On arrache l`orphelin à la mamelle, On prend des gages sur le pauvre.

Martin :

Ils enlèvent le pupille à la mamelle, et prennent des gages du pauvre.

Ostervald :

On arrache l'orphelin à la mamelle, on prend des gages sur le pauvre,

Crampon :

Ils arrachent l’orphelin à la mamelle, ils prennent des gages sur les pauvres.

Lausanne :

On ravit l’orphelin à la mamelle, et on prend en gage ce qui est sur le [corps des] malheureux :

10 Ceux-ci vont nus, sans vêtement, et, affamés, ils portent la gerbe;


Louis Segond :

Ils vont tout nus, sans vêtement, Ils sont affamés, et ils portent les gerbes;

Martin :

Ils font aller sans habits l'homme qu'ils ont dépouillé; et ils enlèvent à ceux qui n'avaient pas de quoi manger, ce qu'ils avaient glané.

Ostervald :

On le force à marcher nu, sans vêtements, on fait porter les gerbes à des affamés.

Crampon :

Ceux-ci, tout nus, sans vêtements, portent, affamés, les gerbes du maître ;

Lausanne :

ils laissent aller nus ceux qui ont faute de vêtement, et ceux qui portent leurs gerbes sont affamés.

11 Entre leurs murailles ils font de l'huile, ils foulent le pressoir, et ont soif.


Louis Segond :

Dans les enclos de l`impie ils font de l`huile, Ils foulent le pressoir, et ils ont soif;

Martin :

Ceux qui font l'huile entre leurs murailles, et ceux qui foulent la vendange dans les cuves souffrent la soif.

Ostervald :

Ceux qui pressent l'huile dans leurs maisons, ceux qui foulent dans leurs pressoirs, ont soif.

Crampon :

Ils expriment l’huile dans ses celliers ; ils foulent la vendange, et ils ont soif.

Lausanne :

Entre leurs murailles, ceux qui pressent leurs olives, ceux qui foulent leur pressoir, ont soif !

12 Des villes sortent les soupirs des mourants, et l'âme des blessés à mort crie, et +Dieu n'impute pas l'indignité qui se commet.


Louis Segond :

Dans les villes s`exhalent les soupirs des mourants, L`âme des blessés jette des cris... Et Dieu ne prend pas garde à ces infamies!

Martin :

Ils font gémir les gens dans la ville, et l'âme de ceux qu'ils ont fait mourir, crie; et cependant Dieu ne fait rien d'indigne de lui.

Ostervald :

Du sein de la ville, les mourants se lamentent; l'âme des blessés crie; et Dieu ne prend pas garde à ces indignités!

Crampon :

Du sein des villes s’élèvent les gémissements des hommes, et l’âme des blessés crie ; et Dieu ne prend pas garde à ces forfaits !

Lausanne :

Des villes vivent ces hommes sortent des gémissements, et l’âme des blessés à mort crie Dieu] ; et Dieu n’impute point l’indignité !

13 D'autres sont ennemis de la lumière, ils ne connaissent pas ses voies et ne demeurent pas dans ses sentiers.


Louis Segond :

D`autres sont ennemis de la lumière, Ils n`en connaissent pas les voies, Ils n`en pratiquent pas les sentiers.

Martin :

Ils sont de ceux qui l'opposent à la lumière, ils n'ont point connu ses voies, et ne sont point demeurés dans ses sentiers.

Ostervald :

En voici d'autres qui se révoltent contre la lumière, qui ne connaissent pas ses voies, et ne se tiennent pas dans ses sentiers.

Crampon :

D’autres sont parmi les ennemis de la lumière, ils n’en connaissent pas les voies, ils ne se tiennent pas dans ses sentiers.

Lausanne :

D’autres sont de ceux qui se révoltent contre la lumière ; ils ne connaissent pas ses voies et n’habitent pas dans ses sentiers.

14 Le meurtrier se lève avec la lumière, il tue le malheureux et le pauvre, et la nuit il est comme le voleur.


Louis Segond :

L`assassin se lève au point du jour, Tue le pauvre et l`indigent, Et il dérobe pendant la nuit.

Martin :

Le meurtrier se lève au point du jour, et il tue le pauvre et l'indigent, et la nuit il est tel qu'un larron.

Ostervald :

Le meurtrier se lève au point du jour; il tue le pauvre et l'indigent, et, de nuit, il dérobe comme un voleur.

Crampon :

L’assassin se lève au point du jour ; il tue le pauvre et l’indigent, il rôde la nuit comme un voleur.

Lausanne :

Le meurtrier se lève à l’aube, il tue le malheureux et le pauvre, et la nuit il rôde comme le voleur.

15 L'oeil aussi de l'adultère guette le crépuscule, en disant: Aucun oeil ne m'apercevra; et il met un voile sur son visage.


Louis Segond :

L`oeil de l`adultère épie le crépuscule; Personne ne me verra, dit-il, Et il met un voile sur sa figure.

Martin :

L'oeil de l'adultère épie le soir, en disant: Aucun oeil ne me verra; et il se couvre le visage.

Ostervald :

L'œil de l'adultère épie le soir; il dit: "Aucun œil ne me verra, " et il se voile le visage.

Crampon :

L’œil de l’adultère épie le crépuscule ; « Personne ne me voit, » dit-il, et il jette un voile sur son visage.

Lausanne :

L’œil de l’adultère guette le crépuscule, en disant : Aucun œil ne m’apercevra ; et il met un voile sur son visage.

16 Dans les ténèbres ils percent les maisons, de jour ils s'enferment; ils ne connaissent pas la lumière;


Louis Segond :

La nuit ils forcent les maisons, Le jour ils se tiennent enfermés; Ils ne connaissent pas la lumière.

Martin :

Ils percent durant les ténèbres les maisons qu'ils avaient marquées le jour, ils haïssent la lumière.

Ostervald :

Ils forcent les maisons dans les ténèbres, ils se tiennent enfermés le jour, ils ne savent pas ce que c'est que la lumière.

Crampon :

La nuit, d’autres forcent les maisons, le jour, ils se tiennent cachés : ils ne connaissent pas la lumière.

Lausanne :

Dans les ténèbres ils forcent les maisons, le jour ils s’enferment chez eux, ils ne connaissent pas la lumière ;

17 Car le matin est pour eux tous l'ombre de la mort, car ils connaissent les terreurs de l'ombre de la mort.


Louis Segond :

Pour eux, le matin c`est l`ombre de la mort, Ils en éprouvent toutes les terreurs.

Martin :

Car la lumière du matin leur est à tous comme l'ombre de la mort; si quelqu'un les reconnaît, c'est pour eux une frayeur mortelle.

Ostervald :

Car le matin leur est à tous comme l'ombre de la mort; si quelqu'un les reconnaît, ils ont des frayeurs mortelles.

Crampon :

Pour eux, le matin est comme l’ombre de la mort, car les horreurs de la nuit leur sont familières.

Lausanne :

car dès que paraît le matin, c’est pour eux l’ombre de la mort, parce qu’ils connaissent les terreurs de l’ombre de la mort.

18 Ils sont rapides sur la face des eaux, leur part est maudite sur la terre; ils ne se tournent pas vers les vignes.


Louis Segond :

Eh quoi! l`impie est d`un poids léger sur la face des eaux, Il n`a sur la terre qu`une part maudite, Il ne prend jamais le chemin des vignes!

Martin :

Il passera plus vite que la surface des eaux; leur portion sera maudite sur la terre; il ne verra point le chemin des vignes.

Ostervald :

Ils disparaissent comme un corps léger sur la surface de l'eau; leur héritage est maudit sur la terre; ils ne prennent plus le chemin des vignes.

Crampon :

Ah ! l’impie glisse comme un corps léger sur la face des eaux, il n’a sur la terre qu’une part maudite, il ne se dirige pas sur le chemin des vignes !

Lausanne :

Ils sont comme une chose légère sur la face des eaux ; leur portion est maudite sur la terre ; ils ne se tournent pas du côté des vignes.

19 La sécheresse et la chaleur emportent l'eau de neige; ainsi le shéol fait-il de ceux qui ont péché.


Louis Segond :

Comme la sécheresse et la chaleur absorbent les eaux de la neige, Ainsi le séjour des morts engloutit ceux qui pèchent!

Martin :

Comme la sécheresse et la chaleur consument les eaux de neige, ainsi le sépulcre ravira les pécheurs.

Ostervald :

La sécheresse et la chaleur consument les eaux de la neige; ainsi le Sépulcre dévore ceux qui pèchent.

Crampon :

Comme la sécheresse et la chaleur absorbent l’eau des neiges, ainsi le schéol engloutit les pécheurs !

Lausanne :

La sécheresse et la chaleur ravissent les eaux de neige, ainsi le séjour des morts fait-il de ceux qui ont péché.

20 Le sein maternel les oublie; les vers se repaissent d'eux; on ne se souvient plus d'eux: l'iniquité sera brisée comme du bois!


Louis Segond :

Quoi! le sein maternel l`oublie, Les vers en font leurs délices, On ne se souvient plus de lui! L`impie est brisé comme un arbre,

Martin :

Le ventre qui l'a porté l'oubliera; les vers mangeront son corps qui lui a été si cher; on ne se souviendra plus de lui; l'injuste sera brisé comme du bois.

Ostervald :

Le sein qui les porta les oublie; les vers font d'eux bonne chère; on ne se souvient plus d'eux; l'injuste est brisé comme du bois.

Crampon :

Ah ! Le sein maternel l’oublie, les vers en font leurs délices ; on ne se souvient plus de lui, et l’iniquité est brisée comme un arbre.

Lausanne :

Le sein maternel les oublie, les vers en font leur aliment ; on ne se souvient plus d’eux, et la perversité est brisée comme un arbre :

21 Ils dépouillent la femme stérile qui n'enfante pas, et ils ne font pas de bien à la veuve.


Louis Segond :

Lui qui dépouille la femme stérile et sans enfants, Lui qui ne répand aucun bienfait sur la veuve!...

Martin :

Il maltraitait la femme stérile qui n'enfantait point; et il ne faisait point de bien à la veuve;

Ostervald :

Lui qui tourmentait la femme stérile, sans enfants, et ne faisait aucun bien à la veuve;

Crampon :

Il dévorait la femme stérile et sans enfants, il ne faisait pas de bien à la veuve !...

Lausanne :

ils dévorent la femme stérile, qui n’a pas d’enfants, et ne font pas de bien à la veuve.

22 Et par leur force ils traînent les puissants; ils se lèvent et on n'est plus sûr de sa vie.


Louis Segond :

Non! Dieu par sa force prolonge les jours des violents, Et les voilà debout quand ils désespéraient de la vie;

Martin :

Et il s'attirait les puissants par sa force; lorsqu'il se levait, on n'était pas assuré de sa vie.

Ostervald :

Qui entraînait les puissants par sa force; qui se levait et nul n'était sûr de sa vie:

Crampon :

Mais Dieu par sa force ébranle les puissants, il se lève, et ils ne comptent plus sur la vie ;

Lausanne :

Cependant par sa force il prolonge l’existence des puissants, qui se relèvent quand ils ne croyaient plus à la vie.

23 Dieu leur donne la sécurité, et ils s'appuient sur elle; mais il a ses yeux sur leurs voies.


Louis Segond :

Il leur donne de la sécurité et de la confiance, Il a les regards sur leurs voies.

Martin :

Dieu lui donne de quoi s'assurer, et il s'appuie sur cela; toutefois ses yeux prennent garde à leurs voies.

Ostervald :

Dieu lui donnait de la sécurité, et il s'y appuyait; et ses yeux étaient sur leurs voies.

Crampon :

il leur donne la sécurité et la confiance, et ses yeux veillent sur leurs voies.

Lausanne :

Il leur donne la sécurité et ils sont appuyés, et ses yeux veillent sur leurs voies.

24 Ils sont élevés: dans peu, ils ne sont plus; ils défaillent, et sont recueillis comme tous; ils sont coupés comme la tête d'un épi.


Louis Segond :

Ils se sont élevés; et en un instant ils ne sont plus, Ils tombent, ils meurent comme tous les hommes, Ils sont coupés comme la tête des épis.

Martin :

Ils sont élevés en peu de temps, et ensuite ils ne sont plus; ils sont abaissés, ils sont emportés comme tous les autres, et sont coupés comme le bout d'un épi.

Ostervald :

Ils s'étaient élevés: un peu de temps encore, ils ne sont plus; ils s'affaissent, ils sont emportés comme les autres; ils sont coupés comme une tête d'épi.

Crampon :

Ils se sont élevés, et en un instant ils ne sont plus ; ils tombent, ils sont moissonnés comme tous les hommes ; ils sont coupés comme la tête des épis.

Lausanne :

Ils ont été élevés ; mais dans peu ils ne sont plus : ils défaillent, ils sont recueillis comme tous les hommes, et sont fauchés comme la tête de l’épi.

25 Et si cela n'est pas, qui me fera menteur et réduira mon discours à néant?


Louis Segond :

S`il n`en est pas ainsi, qui me démentira, Qui réduira mes paroles à néant?

Martin :

Si cela n'est pas ainsi, qui est-ce qui me convaincra que je mens, et qui réfutera mes discours?

Ostervald :

S'il n'en est pas ainsi, qui me convaincra de mensonge, et mettra à néant mon discours?

Crampon :

S’il n’en est pas ainsi, qui me convaincra de mensonge ? Qui réduira mes paroles à néant ?

Lausanne :

Et s’il n’en est pas ainsi, qui donc me démentira, et qui réduira mon discours à néant ?


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