1 |
Il y a un temps fixé pour tout, un temps pour toute chose sous le ciel : |
Louis Segond :
Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux:
Martin :
A toute chose sa saison, et à toute affaire sous les cieux, son temps.
Ostervald :
A toute chose sa saison, et à toute affaire sous les cieux, son temps.
Darby :
Il y a une saison pour tout, et il y a un temps pour toute affaire sous les cieux.
Lausanne :
Pour tout il y a une époque, et pour tout ce qu’on veut faire sous les cieux, un temps :
2 |
un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ; |
Louis Segond :
un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté;
Martin :
Il y a un temps de naître, et un temps de mourir; un temps de planter, et un temps d'arracher ce qui est planté;
Ostervald :
Il y a un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui est planté;
Darby :
Il y a un temps de naître, et un temps de mourir; un temps de planter, et un temps d'arracher ce qui est planté;
Lausanne :
temps de naître{Ou de mettre au monde.} et temps de mourir ; temps de planter et temps d’arracher le plant ;
3 |
un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir ; |
Louis Segond :
un temps pour tuer, et un temps pour guérir; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir;
Martin :
Un temps de tuer, et un temps de guérir; un temps de démolir, et un temps de bâtir;
Ostervald :
Un temps pour tuer, et un temps pour guérir; un temps pour démolir, et un temps pour bâtir;
Darby :
un temps de tuer, et un temps de guérir; un temps de démolir, et un temps de bâtir;
Lausanne :
temps de tuer et temps de guérir ; temps de démolir et temps de bâtir ;
4 |
un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser ; |
Louis Segond :
un temps pour pleurer, et un temps pour rire; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser;
Martin :
Un temps de pleurer, et un temps de rire; un temps de lamenter, et un temps de sauter de joie;
Ostervald :
Un temps pour pleurer, et un temps pour rire; un temps pour se lamenter, et un temps pour sauter de joie.
Darby :
un temps de pleurer, et un temps de rire; un temps de se lamenter, et un temps de sauter de joie;
Lausanne :
temps de pleurer et temps de rire ; temps de se lamenter et temps de bondir ;
5 |
un temps pour jeter des pierres, et un temps pour en ramasser ; un temps pour embrasser, et un temps pour s’abstenir d’embrassements. |
Louis Segond :
un temps pour lancer des pierres, et un temps pour ramasser des pierres; un temps pour embrasser, et un temps pour s`éloigner des embrassements;
Martin :
Un temps de jeter des pierres, et un temps de les ramasser; un temps d'embrasser, et un temps de s'éloigner des embrassements;
Ostervald :
Un temps pour jeter des pierres, et un temps pour les ramasser; un temps pour embrasser, et un temps pour s'éloigner des embrassements;
Darby :
un temps de jeter des pierres, et un temps d'amasser des pierres; un temps d'embrasser, et un temps de s'éloigner des embrassements;
Lausanne :
temps de lancer des pierres et temps d’amasser des pierres ; temps d’embrasser et temps de s’éloigner de l’embrassement ;
6 |
un temps pour chercher, et un temps pour perdre ; un temps pour garder, et un temps pour jeter ; |
Louis Segond :
un temps pour chercher, et un temps pour perdre; un temps pour garder, et un temps pour jeter;
Martin :
Un temps de chercher, et un temps de laisser perdre; un temps de garder, et un temps de rejeter;
Ostervald :
Un temps pour chercher, et un temps pour laisser perdre; un temps pour conserver, et un temps pour jeter;
Darby :
un temps de chercher, et un temps de perdre; un temps de garder, et un temps de jeter;
Lausanne :
temps de chercher et temps de perdre ; temps de garder et temps de jeter ;
7 |
un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; un temps pour se taire, et un temps pour parler ; |
Louis Segond :
un temps pour déchirer, et un temps pour coudre; un temps pour se taire, et un temps pour parler;
Martin :
Un temps de déchirer, et un temps de coudre; un temps de se taire, et un temps de parler;
Ostervald :
Un temps pour déchirer, et un temps pour coudre; un temps pour se taire, et un temps pour parler;
Darby :
un temps de déchirer, et un temps de coudre; un temps de se taire, et un temps de parler;
Lausanne :
temps de déchirer et temps de coudre ; temps de se taire et temps de parler ;
8 |
un temps pour aimer, et un temps pour haïr ; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. |
Louis Segond :
un temps pour aimer, et un temps pour haïr; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix.
Martin :
Un temps d'aimer, et un temps de haïr; un temps de guerre, et un temps de paix.
Ostervald :
Un temps pour aimer, et un temps pour haïr; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix.
Darby :
un temps d'aimer, et un temps de haïr; un temps de guerre, et un temps de paix.
Lausanne :
temps d’aimer et temps de haïr ; temps de guerre et temps de paix.
9 |
Quel est l’avantage, pour celui qui travaille, de la peine qu’il se donne ? |
Louis Segond :
Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de sa peine?
Martin :
Quel avantage a celui qui travaille, de ce en quoi il se travaille?
Ostervald :
Quel avantage celui qui travaille a-t-il de sa peine?
Darby :
Celui qui agit, quel profit a-t-il de ce à quoi il travaille?
Lausanne :
Quel avantage a celui qui agit, dans le [labeur] dont il se tourmente ?
10 |
J’ai examiné le labeur auquel Dieu impose aux enfants des hommes de se livrer : |
Louis Segond :
J`ai vu à quelle occupation Dieu soumet les fils de l`homme.
Martin :
J'ai considéré cette occupation que Dieu a donnée aux hommes pour s'y appliquer.
Ostervald :
J'ai vu l'occupation que Dieu a donnée aux hommes pour s'y exercer.
Darby :
J'ai vu l'occupation que Dieu a donnée aux fils des hommes pour s'y fatiguer:
Lausanne :
J’ai vu les affaires que Dieu a données aux fils des hommes pour qu’ils s’y fatiguent.
11 |
Dieu a fait toute chose belle en son temps, il a mis aussi dans leur cœur l’éternité, mais sans que l’homme puisse comprendre l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin. |
Louis Segond :
Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l`éternité, bien que l`homme ne puisse pas saisir l`oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu`à la fin.
Martin :
Il a fait que toutes choses sont belles en leur temps; aussi a-t-il mis le monde en leur coeur, sans toutefois que l'homme puisse comprendre d'un bout à l'autre l'oeuvre que Dieu a faite.
Ostervald :
Il a fait toute chose belle en son temps; même il a mis l'éternité dans leur cœur, sans que l'homme puisse toutefois comprendre, depuis le commencement jusques à la fin, l'œuvre que Dieu fait.
Darby :
il a fait toute chose belle en son temps; et il a mis le monde dans leur coeur, de sorte que l'homme ne peut comprendre, depuis le commencement jusqu'à la fin, l'oeuvre que Dieu a faite.
Lausanne :
il fait toute chose belle en son temps ; même il leur a mis l’éternité dans le cœur, sans que l’homme puisse trouver, du commencement jusqu’à la fin. l’ouvrage que Dieu a fait.
12 |
Et j’ai reconnu qu’il n’y a rien de meilleur pour eux que de se réjouir et se donner du bien-être pendant leur vie, |
Louis Segond :
J`ai reconnu qu`il n`y a de bonheur pour eux qu`à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie;
Martin :
C'est pourquoi j'ai connu qu'il n'y a rien de meilleur aux hommes, que de se réjouir, et de bien faire pendant leur vie.
Ostervald :
J'ai reconnu qu'il n'y a rien de bon pour les hommes, que de se réjouir et de bien faire pendant leur vie.
Darby :
J'ai connu qu'il n'y a rien de bon pour eux, sauf de se réjouir et de se faire du bien pendant leur vie;
Lausanne :
J’ai connu qu’il n’est rien de bon pour eux, si ce n’est de se réjouir et de se faire du bien pendant leur vie ; et de plus,
13 |
et en même temps que si un homme mange et boit, et jouit du bien-être au milieu de son travail, c’est là un don de Dieu. |
Louis Segond :
mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c`est là un don de Dieu.
Martin :
Et même, que chacun mange et boive, et qu'il jouisse du bien de tout son travail, c'est un don de Dieu.
Ostervald :
Et même, que chacun mange et boive, et jouisse du bien-être au milieu de tout son travail, c'est un don de Dieu.
Darby :
et aussi que tout homme mange et boive, et qu'il jouisse du bien-être dans tout son travail: cela, c'est un don de Dieu.
Lausanne :
chaque fois qu’un homme mange, boit et goûte de bien-être au milieu de tout son labeur, c’est un don de Dieu.
14 |
J’ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu’il n’y a rien à y ajouter ni rien à en retrancher : Dieu agit ainsi afin qu’on le craigne. |
Louis Segond :
J`ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu`il n`y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu`on le craigne.
Martin :
J'ai connu que quoi que Dieu fasse, c'est toujours lui-même, on ne saurait qu'y ajouter, ni qu'en diminuer; et Dieu le fait afin qu'on le craigne.
Ostervald :
J'ai reconnu que tout ce que Dieu fait, subsiste à toujours; il n'y a rien à y ajouter, ni rien à en retrancher; et Dieu le fait afin qu'on le craigne.
Darby :
J'ai connu que tout ce que Dieu fait subsiste à toujours; il n'y a rien à y ajouter, ni rien à en retrancher; et Dieu le fait, afin que, devant lui, on craigne.
Lausanne :
J’ai reconnu que tout ce que Dieu a fait subsiste à perpétuité ; il n’y a rien à y ajouter, ni rien à en retrancher, et Dieu agit pour que devant sa face on craigne.
15 |
Ce qui se fait existait déjà, et ce qui se fera a déjà été : Dieu ramène ce qui est passé.
— L’homme livré à la tyrannie des chefs. — |
Louis Segond :
Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.
Martin :
Ce qui a été, est maintenant; et ce qui doit être, a déjà été; et Dieu rappelle ce qui est passé.
Ostervald :
Ce qui est, a déjà été, et ce qui doit être a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.
Darby :
Ce qui est a déjà été, et ce qui est à venir est déjà arrivé, et Dieu ramène ce qui est passé.
Lausanne :
Ce qui arrive fut jadis, et ce qui est à venir est jadis arrivé, et Dieu retrouve ce qui est passé{Héb. recherche ce qui est poursuivi.}
16 |
J’ai encore vu sous le soleil, qu’au siège même du droit il y a la méchanceté, et au lieu de la justice, il y a l’iniquité. |
Louis Segond :
J`ai encore vu sous le soleil qu`au lieu établi pour juger il y a de la méchanceté, et qu`au lieu établi pour la justice il y a de la méchanceté.
Martin :
J'ai encore vu sous le soleil, qu'au lieu établi pour juger, il y a de la méchanceté; et qu'au lieu établi pour faire justice, il y a aussi de la méchanceté.
Ostervald :
J'ai vu encore sous le soleil, qu'au lieu établi pour juger, il y a de la méchanceté, qu'au lieu établi pour la justice, il y a de la méchanceté.
Darby :
Et j'ai encore vu sous le soleil que, dans le lieu du jugement, là il y avait la méchanceté, et que, dans le lieu de la justice, là il y avait la méchanceté.
Lausanne :
Et je regardai encore sous le soleil : dans le lieu du droit était la méchanceté, et dans le lieu de la justice était la méchanceté.
17 |
J’ai dit dans mon cœur : " Dieu jugera le juste et le méchant, car il y a là un temps pour toute chose, et pour toute œuvre. " |
Louis Segond :
J`ai dit en mon coeur: Dieu jugera le juste et le méchant; car il y a là un temps pour toute chose et pour toute oeuvre.
Martin :
Et j'ai dit en mon coeur: Dieu jugera le juste et l'injuste; car il y a là un temps pour toute chose, et sur toute oeuvre.
Ostervald :
Et j'ai dit en mon cœur: Dieu jugera le juste et le méchant; car il y a là un temps pour tout dessein et pour toute œuvre.
Darby :
J'ai dit en mon coeur: Dieu jugera le juste et le méchant; car il y a là un temps pour toute affaire et pour toute oeuvre.
Lausanne :
J’ai dit en mon cœur : Dieu jugera le juste et le méchant ; car il y a un temps pour tout ce qu’on veut faire, et sur tout ouvrage [il sera prononcé] alors{Ou pour tout ouvrage il y a un lieu.}
18 |
J’ai dit dans mon cœur au sujet des enfants des hommes : " Cela arrive ainsi, afin que Dieu les éprouve, et qu’ils voient qu’ils sont quant à eux-mêmes semblables aux bêtes. " |
Louis Segond :
J`ai dit en mon coeur, au sujet des fils de l`homme, que Dieu les éprouverait, et qu`eux-mêmes verraient qu`ils ne sont que des bêtes.
Martin :
J'ai pensé en mon coeur sur l'état des hommes, que Dieu les en éclaircirait, et qu'ils verraient qu'ils ne sont que des bêtes.
Ostervald :
J'ai dit en mon cœur, au sujet des hommes, que Dieu les éprouverait, et qu'ils verraient eux-mêmes qu'ils ne sont que des bêtes.
Darby :
J'ai dit en mon coeur: Quant aux fils des hommes il en est ainsi, pour que Dieu les éprouve, et qu'ils voient eux-mêmes qu'ils ne sont que des bêtes.
Lausanne :
J’ai dit en mon cœur : [Il en est ainsi] à cause des fils des hommes, pour que Dieu les épure{Ou les éclaire.} et qu’ils voient eux-mêmes qu’ils sont [comme] la bête.
19 |
Car le sort des enfants des hommes est le sort de la bête : ils ont un même sort ; comme l’un meurt, l’autre meurt aussi, il n’y a qu’un même souffle pour tous ; l’avantage de l’homme sur la bête est nul, car tout est vanité. |
Louis Segond :
Car le sort des fils de l`homme et celui de la bête sont pour eux un même sort; comme meurt l`un, ainsi meurt l`autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l`homme sur la bête est nulle; car tout est vanité.
Martin :
Car l'accident qui arrive aux hommes, et l'accident qui arrive aux bêtes est un même accident: telle qu'est la mort de l'un, telle est la mort de l'autre; et ils ont tous un même souffle, et l'homme n'a point d'avantage sur la bête; car tout est vanité.
Ostervald :
Car l'accident qui arrive aux hommes, et l'accident qui arrive aux bêtes, est un même accident; telle qu'est la mort de l'un, telle est la mort de l'autre; ils ont tous un même souffle, et l'homme n'a nul avantage sur la bête; car tout est vanité.
Darby :
Car ce qui arrive aux fils des hommes et aussi ce qui arrive aux bêtes; il y a pour tous un même sort: comme celle-ci meurt, ainsi meurt celui-là; et ils ont tous un même souffle, et l'homme n'a point d'avantage sur la bête, car tout est vanité.
Lausanne :
Car tel l’accident des fils des hommes et tel l’accident de la bête, et il n’y a pour eux qu’un [même] accident. Comme meurt celle-ci, ainsi meurt celui-là ; et il n’y a qu’un [même] esprit pour tous ; et il n’y a point de supériorité de l’homme sur la bête, car tout est vanité.
20 |
Tout va dans un même lieu ; tout est sorti de la poussière, et tout retourne à la poussière. |
Louis Segond :
Tout va dans un même lieu; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière.
Martin :
Tout va en un même lieu; tout a été fait de la poudre, et tout retourne en la poudre.
Ostervald :
Tout va en un même lieu; tout a été fait de la poussière, et tout retourne dans la poussière.
Darby :
Tout va dans un même lieu, tout est de poussière, et tout retourne à la poussière.
Lausanne :
Tout va dans un [même] lieu. Tout est venu de la poussière et tout retourne à la poussière.
21 |
Qui connaît le souffle des enfants des hommes, qui monte en haut, et le souffle de la bête, qui descend en bas vers la terre ? |
Louis Segond :
Qui sait si le souffle des fils de l`homme monte en haut, et si le souffle de la bête descend en bas dans la terre?
Martin :
Qui est-ce qui connaît que le souffle des hommes monte en haut, et que le souffle de la bête descend en bas en terre?
Ostervald :
Qui sait si l'esprit des hommes monte en haut, et si l'esprit de la bête descend en bas dans la terre?
Darby :
Qui est-ce qui connaît l'esprit des fils des hommes? Celui-ci monte-t-il en haut, et l'esprit de la bête descend-il en bas dans la terre?
Lausanne :
Qui connait l’esprit des fils des hommes, qui monte en haut, et l’esprit de la bête, qui descend en bas, en terre ?
22 |
Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux pour l’homme que de se réjouir dans ses œuvres : c’est là sa part. Car qui lui donnera de découvrir ce qui arrivera après lui ? |
Louis Segond :
Et j`ai vu qu`il n`y a rien de mieux pour l`homme que de se réjouir de ses oeuvres: c`est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui?
Martin :
J'ai donc connu qu'il n'y a rien de meilleur à l'homme que de se réjouir en ce qu'il fait; parce que c'est là sa portion; car qui est-ce qui le ramènera pour voir ce qui sera après lui?
Ostervald :
Et j'ai vu qu'il n'y a rien de mieux pour l'homme que de se réjouir de ses œuvres; puisque c'est là sa part. Car qui le ramènera pour voir ce qui sera après lui?
Darby :
Et j'ai vu qu'il n'y a rien de mieux que ceci: que l'homme se réjouisse dans ce qu'il fait, car c'est là sa part; car qui l'amènera pour voir ce qui sera après lui?
Lausanne :
Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux que ceci : [c’est] que l’homme se réjouisse de ses ouvrages, car c’est là sa part. Car, qui le ferait venir pour jouir de ce qui sera après lui ?