Oh ! que ne m’es-tu un frère,
qui aurait sucé les mamelles de ma mère !
Te rencontrant dehors, je t’embrasserais,
et on ne pourrait me mépriser.
Oh ! que ne m’es-tu un frère,
qui aurait sucé les mamelles de ma mère !
Te rencontrant dehors, je t’embrasserais,
et on ne pourrait me mépriser.
Louis Segond :Oh! Que n`es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère! Je te rencontrerais dehors, je t`embrasserais, Et l`on ne me mépriserait pas.Martin :Plût à Dieu que tu me fusses comme un frère qui a sucé les mamelles de ma mère! je t'irais trouver dehors, je te baiserais, et on ne m'en mépriserait point.Ostervald :Plût à Dieu que tu fusses comme mon frère, allaité des mamelles de ma mère! J'irais te trouver dehors, je te baiserais, et on ne me mépriserait point.Darby :Oh! que tu fusses pour moi comme un frère qui ait sucé les mamelles de ma mère! Si je te trouvais dehors, je t'embrasserais, sans qu'on m'en méprisât.Lausanne :Oh ! que n’es-tu pour moi comme un frère allaité des mamelles de ma mère ! Te rencontrant dehors, je te baiserais, sans qu’on m’en méprisât.