Nahum 2 Traduction Crampon


1 Voici sur les montagnes les pieds d’un messager de bonnes nouvelles, qui annonce la paix. Célèbre tes fêtes, ô Juda, accomplis tes vœux ! Car il ne passera plus chez toi ; le méchant est entièrement détruit.


Louis Segond :

Voici sur les montagnes Les pieds du messager qui annonce la paix! Célèbre tes fêtes, Juda, accomplis tes voeux! Car le méchant ne passera plus au milieu de toi, Il est entièrement exterminé...

Martin :

Le destructeur est monté contre toi; garde la forteresse, prends garde aux avenues, fortifie tes reins, ramasse toutes tes forces.

Ostervald :

Le destructeur vient contre toi, Ninive! Garde la forteresse, surveille le chemin, fortifie tes reins, et rassemble toutes tes forces.

Darby :

Celui qui brise est monté contre toi: garde la forteresse, surveille le chemin, fortifie tes reins, affermis beaucoup ta puissance.

Lausanne :

Voici, sur les montagnes, les pieds du messager d’heureuses nouvelles, de celui qui publie la paix ! Juda, célèbre tes fêtes, acquitte-toi de tes vœux ! car désormais Bélial{Ou le scélérat.} ne passera plus au milieu de toi ; il est entièrement exterminé.

2 Un destructeur s’avance contre toi ; garde la forteresse, surveille le chemin, affermis tes reins, ramasse toute ta force !


Louis Segond :

Le destructeur marche contre toi. Garde la forteresse! Veille sur la route! affermis tes reins! Recueille toute ta force!...

Martin :

Car l'Eternel a abaissé la fierté de Jacob comme la fierté d'Israël; parce que les videurs les ont vidés, et qu'ils ont ravagé leurs sarments.

Ostervald :

Car l'Éternel rétablit la gloire de Jacob comme la gloire d'Israël, parce que les pillards les ont pillés et qu'ils ont ravagé leurs vignes.

Darby :

Car l'Éternel a ramené la gloire de Jacob comme la gloire d'Israël; car ceux qui dépouillent les ont dépouillés et ont gâté leurs sarments.

Lausanne :

Il monte contre toi, celui qui doit [te] disperser ; garde la forteresse, surveille les chemins, fortifie tes reins, affermis bien tes forces !

3 Car Yahweh rétablit la gloire de Jacob, ainsi que la gloire d’Israël, parce que des pillards les ont pillés, et ont détruit leurs ceps.


Louis Segond :

Car l`Éternel rétablit la gloire de Jacob Et la gloire d`Israël, Parce que les pillards les ont pillés Et ont détruit leurs ceps...

Martin :

Le bouclier de ses hommes forts est rendu rouge; ses hommes vaillants sont teints de vermillon; les chariots marcheront avec un feu de torches, au jour qu'il aura rangé ses batailles, et que les sapins branleront.

Ostervald :

Le bouclier de ses hommes vaillants est rouge; les guerriers sont vêtus d'écarlate; l'acier des chars étincelle, au jour il se prépare, et les lances sont agitées.

Darby :

Le bouclier de ses hommes forts est teint en rouge, les hommes vaillants sont vêtus d'écarlate, l'acier fait étinceler les chars, au jour il se prépare, et les lances de cyprès sont brandies.

Lausanne :

Car l’Éternel rétablit l’orgueil de Jacob comme l’orgueil d’Israël, car les saccageurs les ont saccagés, et ils ont anéanti ses sarments.

4 Le bouclier de ses guerriers est teint en rouge, ses hommes d’armes sont vêtus d’écarlate ; dans le feu des aciers ses chars apparaissent, au jour où il prépare la bataille, et les lances s’agitent.


Louis Segond :

Les boucliers de ses héros sont rouges, Les guerriers sont vêtus de pourpre; Avec le fer qui étincelle apparaissent les chars, Au jour qu`il a fixé pour la bataille, Et les lances sont agitées.

Martin :

Les chariots couront avec rapidité dans les rues, et s'entre-heurteront dans les places, ils seront, à les voir comme des flambeaux, et courront comme des éclairs.

Ostervald :

Les chars roulent avec furie dans les rues; ils se précipitent dans les places; à les voir ils sont comme des flambeaux, ils courent comme des éclairs!

Darby :

Les chars s'élancent avec furie dans les rues, ils se précipitent sur les places; leur apparence est comme des torches, ils courent comme des éclairs.

Lausanne :

Le bouclier de ses hommes vaillants est de couleur rouge ; les gens de l’armée sont vêtus d’écarlate ; les lames d’acier des chars sont en feu au jour il se prépare, et les [lances] de cyprès sont brandies.

5 Dans les rues les chars s’élancent avec furie ; ils se précipitent sur les places. Leur aspect est celui des flammes, des éclairs qui courent.


Louis Segond :

Les chars s`élancent dans la campagne, Se précipitent sur les places; A les voir, on dirait des flambeaux, Ils courent comme des éclairs...

Martin :

Il se souviendra de ses hommes vaillants, mais ils seront renversés en chemin; ils se hâteront de venir à ses murailles, et la contre-défense sera toute prête.

Ostervald :

Le roi de Ninive se souvient de ses hommes vaillants; mais ils chancellent dans leur marche. Ils se hâtent vers la muraille, la défense est préparée.

Darby :

-Il pense à ses vaillants hommes: ils trébuchent dans leur marche, ils se hâtent vers la muraille, et l'abri est préparé.

Lausanne :

Les chars roulent avec furie dans les rues ; ils se précipitent dans les places ; leur aspect est semblable à des torches, ils s’élancent comme des éclairs.

6 Il se souvient de ses nobles ; eux trébuchent dans leur marche. Ils se précipitent vers les murs ; on se prépare à la défense.


Louis Segond :

Il se souvient de ses vaillants hommes, Mais ils chancellent dans leur marche; On se hâte vers les murs, Et l`on se prépare à la défense...

Martin :

Les portes des fleuves sont ouvertes, et le palais s'est fondu.

Ostervald :

Les portes des fleuves sont ouvertes, et le palais s'écroule!

Darby :

Les portes des fleuves sont ouvertes, et le palais s'effondre.

Lausanne :

Que [Ninive] se souvienne de ses magnifiques ! Ils bronchent dans leur marche. On se hâte vers sa muraille et le mantelet est établi !

7 Les portes des fleuves s’ouvrent, et le palais s’effondre.


Louis Segond :

Les portes des fleuves sont ouvertes, Et le palais s`écroule!...

Martin :

On y a fait tenir chacun debout, la Reine a été emmenée prisonnière, on l'a fait monter, et ses servantes l'ont accompagnée, comme avec une voix de colombe, frappant leurs poitrines comme un tambour.

Ostervald :

C'en est fait! Elle est mise à nu, elle est emmenée, et ses servantes gémissent comme des colombes; elles se frappent la poitrine.

Darby :

C'est arrêté: elle sera mise à nu, elle sera emmenée, et ses servantes gémiront comme la voix des colombes, en se frappant la poitrine.

Lausanne :

Les portes des fleuves s’ouvrent et le palais se fond !

8 C’en est fait, elle est mise à nu, elle est emmenée, et ses servantes poussent des gémissements, pareils aux plaintes des colombes ; elles se frappent la poitrine.


Louis Segond :

C`en est fait: elle est mise à nu, elle est emmenée; Ses servantes gémissent comme des colombes, Et se frappent la poitrine.

Martin :

Or Ninive, depuis qu'elle a été bâtie, a été comme un vivier d'eaux; mais ils s'enfuient; arrêtez-vous, arrêtez-vous; mais il n'y a personne qui tourne visage.

Ostervald :

Ninive était, depuis qu'elle existe, comme un réservoir plein d'eau. Ils fuient! ... Arrêtez! Arrêtez!... Mais personne ne se retourne!

Darby :

Or dès le jour elle exista, Ninive a été comme une mare d'eau. Mais ils fuient... Arrêtez! Arrêtez! Mais personne ne se retourne.

Lausanne :

C’est résolu : elle est mise à nu, elle est emmenée, et ses servantes gémissent comme la voix des colombes ; elles se frappent sur le cœur.

9 Ninive est comme un bassin d’eau depuis son origine… Ils s’enfuient !… Arrêtez ! Arrêtez !… Pas un ne se retourne !


Louis Segond :

Ninive était jadis comme un réservoir plein d`eau... Les voilà qui fuient... Arrêtez! arrêtez!... Mais nul ne se retourne...

Martin :

Pillez l'argent, pillez l'or; car il y a un luxe sans bornes, qui l'emporte sur tous les vaisseaux précieux.

Ostervald :

Pillez l'argent! Pillez l'or! Car il n'y a point de fin à ses richesses, c'est une abondance de toutes sortes d'objets précieux.

Darby :

Pillez l'argent, pillez l'or! Il n'y a pas de fin au splendide arroi de toute sorte d'objets d'agrément.

Lausanne :

Ninive était comme un réservoir d’eaux, dès le jour elle fut. Ils fuient ! Arrêtez ! arrêtez !... mais personne ne se retourne !

10 Pillez l’argent, pillez l’or ! Car il n’y a pas de fin à ses richesses, à l’amas de tous ses objets précieux.


Louis Segond :

Pillez l`argent! pillez l`or! Il y a des trésors sans fin, Des richesses en objets précieux de toute espèce.

Martin :

Qu'elle soit toute vidée et revidée, même tout épuisée; que leur coeur se fonde, que leurs genoux se heurtent l'un contre l'autre; que le tourment soit dans les reins de tous, et que leurs visages deviennent noirs comme un pot qui a été mis sur le feu.

Ostervald :

Pillage, et ravage, et dévastation! Le cœur se fond, les genoux tremblent; la douleur est dans tous les reins, et tous les visages pâlissent.

Darby :

Elle est vidée, et dépouillée, et dévastée! Et le coeur se fond, et les genoux sont tremblants, et une poignante douleur est dans tous les reins, et tous les visages pâlissent.

Lausanne :

Pillez l’argent ! pillez l’or ! il n’y a pas de fin aux trésors, aux richesses de tous les objets désirables.

11 Vidée, pillée, mise à sec ! Les cœurs défaillent, les genoux tremblent ; tous les reins sont dans l’angoisse, tous les visages sont livides.


Louis Segond :

On pille, on dévaste, on ravage! Et les coeurs sont abattus, Les genoux chancellent, Tous les reins souffrent, Tous les visages pâlissent.

Martin :

est le repaire des lions, et le viandis des lionceaux, dans lequel se retiraient les lions, et se tenaient les vieux lions, et les faons des lions, sans qu'aucun les effarouchât?

Ostervald :

est maintenant ce repaire de lions? est ce lieu de pâture des lionceaux, se retiraient le lion, la lionne et les petits du lion, sans que personne y vînt les troubler?

Darby :

est le repaire des lions, et le lieu se repaissaient les lionceaux, se promenaient le lion, la lionne, et le petit du lion, sans que personne les effrayât?

Lausanne :

Ravage, et pillage, et saccagement ! Et le cœur se fond, et les genoux vacillent ; contorsions de douleur dans tous les reins, et tous les visages pâlissent !

12 Où est-il, le repaire des lions, qui était un lieu de pâture pour les jeunes lions ; où se retiraient le lion, la lionne et le lionceau, sans que personne les effrayât ?


Louis Segond :

Qu`est devenu ce repaire de lions, Ce pâturage des lionceaux, se retiraient le lion, la lionne, le petit du lion, Sans qu`il y eût personne pour les troubler?

Martin :

Les lions ravissaient tout ce qu'il fallait pour leurs faons, et étranglaient les bêtes pour leurs vielles lionnes, et ils remplissaient leurs tanières de proie, et leurs repaires de rapine.

Ostervald :

Le lion déchirait pour ses petits; il étranglait pour ses lionnes; il remplissait de proies ses antres, et ses repaires de dépouilles.

Darby :

Le lion déchirait suffisamment pour ses petits, et étranglait pour ses lionnes, et remplissait de proie ses antres, et de bêtes déchirées ses repaires.

Lausanne :

est tanière des lions, le lieu se repaissaient les lionceaux, se promenaient le lion, la lionne, le petit du lion... et personne ne les épouvantait ?

13 Le lion ravissait ce qu’il fallait à ses petits, il étranglait pour ses lionnes, il remplissait de proie ses cavernes, et ses antres de dépouilles.


Louis Segond :

Le lion déchirait pour ses petits, Étranglait pour ses lionnes; Il remplissait de proie ses antres, De dépouilles ses repaires.

Martin :

Voici, j'en veux à toi, dit l'Eternel des armées, et je brûlerai tes chariots, et ils s'en iront en fumée, et l'épée consumera tes lionceaux; je retrancherai de la terre ta proie, et la voix de tes ambassadeurs ne sera plus entendue.

Ostervald :

Voici, j'en veux à toi, dit l'Éternel des armées, je mettrai le feu à tes chars, et je les réduirai en fumée; l'épée dévorera tes lionceaux; j'arracherai du pays ta proie, et l'on n'entendra plus la voix de tes messagers.

Darby :

Voici, j'en veux à toi, dit l'Éternel des armées; et je réduirai tes chars en fumée; et l'épée dévorera tes lionceaux, et je retrancherai de la terre ta proie; et la voix de tes messagers ne s'entendra plus.

Lausanne :

C’était un lion qui déchirait pour suffire à ses petits et qui étranglait pour ses lionnes ; il avait rempli ses antres de proie, et ses tanières de corps déchirés !

14 Me voici contre toi ! – oracle de Yahweh des armées ; je vais réduire tes chars en fumée ; l’épée dévorera tes jeunes lions ; j’arracherai du pays ta proie, et l’on n’entendra plus la voix de tes messagers.


Louis Segond :

Voici, j`en veux à toi, dit l`Éternel des armées; Je réduirai tes chars en fumée, L`épée dévorera tes lionceaux, J`arracherai du pays ta proie, Et l`on n`entendra plus la voix de tes messagers.

Lausanne :

Voici que je [viens] à toi, dit l’Éternel des armées : je vais brûler les chars, qui s’en iront en fumée, et l’épée dévorera tes lionceaux. Je retrancherai de la terre ta proie, et l’on n’entendra plus la voix de tes messagers.


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