1 |
Cantique des Cantiques, de Salomon.
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Louis Segond :
Cantique des cantiques, de Salomon.
Martin :
Le Cantique des cantiques, qui est de Salomon.
Ostervald :
Le cantique des cantiques, qui est de Salomon.
Darby :
Le cantique des cantiques, qui est de Salomon.
Lausanne :
Le Cantique des cantiques, qui est de Salomon.
2 |
Qu’il me baise des baisers de sa bouche ! Car ton amour est meilleur que le vin ;
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Louis Segond :
Qu`il me baise des baisers de sa bouche! Car ton amour vaut mieux que le vin,
Martin :
Qu'il me baise des baisers de sa bouche; car tes amours sont plus agréables que le vin.
Ostervald :
Qu'il me baise des baisers de sa bouche! Car tes amours sont plus agréables que le vin.
Darby :
Qu'il me baise des baisers de sa bouche! car tes amours sont meilleures que le vin.
Lausanne :
Qu’il me baise [d’un] des baisers de sa bouche !... car tes amours sont meilleures que le vin.
3 |
tes parfums ont une odeur suave, ton nom est une huile épandue ; c’est pourquoi les jeunes filles t’aiment.
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Louis Segond :
Tes parfums ont une odeur suave; Ton nom est un parfum qui se répand; C`est pourquoi les jeunes filles t`aiment.
Martin :
A cause de l'odeur de tes excellents parfums, ton nom est comme un parfum répandu: c'est pourquoi les filles t'ont aimé.
Ostervald :
Tes parfums ont une odeur suave, ton nom est comme un parfum répandu; c'est pourquoi les jeunes filles t'ont aimé.
Darby :
Tes parfums sont d'agréable odeur; ton nom est un parfum répandu; c'est pourquoi les jeunes filles t'aiment.
Lausanne :
Tes parfums sont d’un odeur excellente. Ton nom est [comme] un parfum répandu ; c’est pourquoi les [jeunes] filles t’aiment.
4 |
Entraîne-moi après toi ; courons ! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements ; nous tressaillirons, nous nous réjouirons en toi : nous célébrerons ton amour plus que le vin. Qu’on a raison de t’aimer ! |
Louis Segond :
Entraîne-moi après toi! Nous courrons! Le roi m`introduit dans ses appartements... Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi; Nous célébrerons ton amour plus que le vin. C`est avec raison que l`on t`aime.
Martin :
Tire-moi, et nous courrons après toi; lorsque le Roi m'aura introduite dans ses cabinets, nous nous égayerons et nous nous réjouirons en toi; nous célébrerons tes amours plus que le vin; les hommes droits t'ont aimé.
Ostervald :
Entraîne-moi, et nous courrons après toi! Le roi m'a fait entrer dans ses appartements. Nous nous égaierons et nous réjouirons en toi; nous célébrerons tes amours plus que le vin. Les hommes droits t'ont aimé.
Darby :
Tire-moi: nous courrons après toi. -Le roi m'a amenée dans ses chambres. -Nous nous égayerons, et nous nous réjouirons en toi; nous nous souviendrons de tes amours plus que du vin. Elles t'aiment avec droiture.
Lausanne :
Tire-moi : nous courrons après toi. Le roi m’a fait entrer dans ses chambres. Nous tressaillirons et nous nous réjouirons à cause de toi. Nous ferons mention de tes amours, qui valent mieux que le vin. C’est avec droiture qu’elles t’aiment.
5 |
Je suis noire, mais belle, filles de Jérusalem, comme les tentes de Cédar, comme les pavillons de Salomon.
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Louis Segond :
Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem, Comme les tentes de Kédar, comme les pavillons de Salomon.
Martin :
Ô filles de Jérusalem, je suis brune, mais de bonne grâce; je suis comme les tentes de Kédar, et comme les courtines de Salomon.
Ostervald :
O filles de Jérusalem, je suis brune, mais belle. Je suis comme les tentes de Kédar, et comme les pavillons de Salomon.
Darby :
Je suis noire, mais je suis agréable, filles de Jérusalem! comme les tentes de Kédar, comme les tentures de Salomon.
Lausanne :
Filles de Jérusalem ! je suis noire, mais attrayante comme les tentes de Kédar, comme les tentures de Salomon.
6 |
Ne prenez pas garde à mon teint noir, c’est le soleil qui m’a brûlée ; les fils de ma mère se sont irrités contre moi ; ils m’ont mise à garder des vignes ; ma vigne, à moi, je ne l’ai pas gardée.
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Louis Segond :
Ne prenez pas garde à mon teint noir: C`est le soleil qui m`a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi, Ils m`ont faite gardienne des vignes. Ma vigne, à moi, je ne l`ai pas gardée.
Martin :
Ne prenez pas garde à moi, de ce que je suis brune, car le soleil m'a regardée; les enfants de ma mère se sont mis en colère contre moi, ils m'ont mise à garder les vignes; et je n'ai point gardé la vigne qui était à moi.
Ostervald :
Ne prenez pas garde que je suis brune, car le soleil m'a regardée; les enfants de ma mère se sont irrités contre moi, ils m'ont mise à garder les vignes. Ma vigne, à moi, je ne l'ai point gardée.
Darby :
Ne me regardez pas, parce que je suis noire, parce que le soleil m'a regardée: les fils de ma mère se sont irrités contre moi, ils m'ont mise à garder les vignes; ma vigne qui est à moi, je ne l'ai point gardée.
Lausanne :
Ne vous étonnez pas{Héb. Ne regardez pas.} si je suis un peu noire, parce que le soleil m’a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi, ils m’ont mise à garder les vignes ; ma vigne, celle qui est à moi, je ne l’ai pas gardée.
7 |
Dis-moi, ô toi que mon cœur aime, où tu mènes paître tes brebis, où tu les fais reposer à midi, pour que je ne sois pas comme une égarée, autour des troupeaux de tes compagnons. |
Louis Segond :
Dis-moi, ô toi que mon coeur aime, Où tu fais paître tes brebis, Où tu les fais reposer à midi; Car pourquoi serais-je comme une égarée Près des troupeaux de tes compagnons? -
Martin :
Déclare-moi, toi qu'aime mon âme, où tu pais, et où tu fais reposer ton troupeau sur le midi; car pourquoi serais-je comme une femme errante vers les parcs de tes compagnons?
Ostervald :
Dis-moi, ô toi qu'aime mon âme, où tu pais ton troupeau, et où tu le fais reposer sur le midi; car pourquoi serais-je comme une femme errante auprès des troupeaux de tes compagnons?
Darby :
Dis-moi, toi qu'aime mon âme, où tu pais ton troupeau, où tu le fais reposer à midi; car pourquoi serais-je comme une femme voilée auprès des troupeaux de tes compagnons?
Lausanne :
Indique-moi, ô toi qu’aime mon âme, où tu pais, où tu fais reposer [tes brebis] à midi ; car pourquoi serais-je comme une femme égarée{Ou voilée.} près des troupeaux de tes compagnons ?
8 |
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, sors sur les traces de ton troupeau, et mène paître tes chevreaux près des huttes des bergers. |
Louis Segond :
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, Sors sur les traces des brebis, Et fais paître tes chevreaux Près des demeures des bergers. -
Martin :
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle d'entre les femmes! sors après les traces du troupeau, et pais tes chevrettes près des cabanes des bergers.
Ostervald :
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle d'entre les femmes, sors sur les traces du troupeau, et pais tes chevrettes auprès des cabanes des bergers.
Darby :
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle parmi les femmes! sors sur les traces du troupeau, et pais tes chevreaux près des habitations des bergers.
Lausanne :
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, sors sur les traces du menu bétail, et pais tes chevreaux près des demeures des bergers.
9 |
A ma cavale, quand elle est attelée aux chars de Pharaon, je te compare, ô mon amie.
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Louis Segond :
A ma jument qu`on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ô mon amie.
Martin :
Ma grande amie, je te compare au plus beau couple de chevaux que j'aie aux chariots de Pharaon.
Ostervald :
Ma bien-aimée, je te compare à ma cavale qu'on attelle aux chars de Pharaon.
Darby :
Je te compare, mon amie, à une jument aux chars du Pharaon.
Lausanne :
Je te compare, mon amie, aux attelages des chars de Pharaon.
10 |
Tes joues sont belles au milieu des colliers, ton cou est beau au milieu des rangées de perles.
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Louis Segond :
Tes joues sont belles au milieu des colliers, Ton cou est beau au milieu des rangées de perles.
Martin :
Tes joues ont bonne grâce avec les atours, et ton cou avec les colliers.
Ostervald :
Tes joues ont bonne grâce avec les atours, et ton cou avec les colliers.
Darby :
Tes joues sont agréables avec des rangées de joyaux; ton cou, avec des colliers.
Lausanne :
Tes joues sont attrayantes au milieu des tours [d’ornements] ; ton cou, au milieu des rangs [de perles].
11 |
Nous te ferons des colliers d’or, pointillés d’argent. |
Louis Segond :
Nous te ferons des colliers d`or, Avec des points d`argent. -
Martin :
Nous te ferons des atours d'or, avec des boutons d'argent.
Ostervald :
Nous te ferons des atours d'or, avec des boutons d'argent.
Darby :
Nous te ferons des chaînes d'or avec des paillettes d'argent.
Lausanne :
Nous te ferons des tours [de chaînes] d’or, avec des points d’argent.
12 |
Tandis que le roi était à son divan, mon nard a donné son parfum.
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Louis Segond :
Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.
Martin :
Tandis que le Roi a été assis à table, mon aspic a rendu son odeur.
Ostervald :
Tandis que le roi était assis à table, mon nard exhalait son parfum.
Darby :
Pendant que le roi est à table, mon nard exhale son odeur.
Lausanne :
Pendant que le roi est à sa table{Ou parmi ceux qui l’entourent.} mon nard exhale son odeur.
13 |
Mon bien-aimé est pour moi un sachet de myrrhe, qui repose entre mes seins.
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Louis Segond :
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe, Qui repose entre mes seins.
Martin :
Mon bien-aimé est avec moi comme un sachet de myrrhe; il passera la nuit entre mes mamelles.
Ostervald :
Mon bien-aimé est pour moi un sachet de myrrhe; il reposera sur mon sein.
Darby :
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe; il passera la nuit entre mes seins.
Lausanne :
Mon bien-aimé est pour moi le bouquet de myrrhe qui demeure sur mon sein.
14 |
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de cypre, dans les vignes d’Engaddi. |
Louis Segond :
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne Des vignes d`En Guédi. -
Martin :
Mon bien-aimé m'est comme une grappe de troëne dans les vignes d'Henguédi.
Ostervald :
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne, dans les vignes d'En-guédi.
Darby :
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de henné dans les vignes d'En-Guédi.
Lausanne :
Mon bien-aimé est pour moi la grappe de troène{Ou henné.} dans les vignes d’Ain-guédi.
15 |
Oui, tu es belle, mon amie ; oui, tu es belle ! Tes yeux sont des yeux de colombe. |
Louis Segond :
Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes. -
Martin :
Te voilà belle, ma grande amie, te voilà belle; tes yeux sont comme ceux des colombes.
Ostervald :
Que tu es belle, ma bien-aimée, que tu es belle! Tes yeux sont ceux des colombes.
Darby :
Voici, tu es belle, mon amie; voici, tu es belle! Tes yeux sont des colombes.
Lausanne :
Voici, tu es belle, mon amie ! Voici, tu es belle ! Tes yeux sont des colombes.
16 |
Oui, tu es beau, mon bien-aimé ; oui, tu es charmant ! Notre lit est un lit de verdure. |
Louis Segond :
Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable! Notre lit, c`est la verdure. -
Martin :
Te voilà beau, mon bien-aimé; que tu es agréable! aussi notre couche est- elle féconde.
Ostervald :
Que tu es beau, mon bien-aimé; que tu es agréable!
Darby :
Voici tu es beau, mon bien-aimé, oui, tu es agréable! oui, notre lit est verdoyant.
Lausanne :
Voici, tu es beau, mon bien-aimé, et que tu es agréable ! Oui, notre lit, c’est la verdure.
17 |
Les poutres de nos maisons sont des cèdres, nos lambris sont des cyprès. |
Louis Segond :
Les solives de nos maisons sont des cèdres, Nos lambris sont des cyprès. -
Martin :
Les poutres de nos maisons sont de cèdre, et nos soliveaux de sapin.
Ostervald :
Notre couche est un lit de verdure. Les poutres de nos maisons sont des cèdres, et nos lambris des cyprès.
Darby :
Les solives de nos maisons sont des cèdres; nos lambris des cyprès.
Lausanne :
Les solives de nos maisons sont des cèdres, nos lambris, des cyprès.