1 |
Et il arriva, au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, que je pris le vin et le donnai au roi ; et je n’avais [jamais] été triste devant lui. |
Louis Segond :
Au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, je pris le vin et je l`offris au roi. Jamais je n`avais paru triste en sa présence.
Martin :
Et il arriva, au mois de Nisan, la vingtième année du Roi Artaxerxes, que le vin ayant été apporté devant lui, je pris le vin, et le présentai au Roi. Or je n'avais jamais eu mauvais visage devant lui.
Ostervald :
Et il arriva au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, que je pris le vin et le présentai au roi. Or, devant lui, je n'étais jamais triste.
Darby :
Et il arriva au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, que je pris le vin et le donnai au roi; et je n'avais pas été triste en sa présence.
Crampon :
Au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, je pris le vin et je l’offris au roi, et je tâchai de n’être pas triste en sa présence.
2 |
Et le roi me dit : Comment as-tu mauvais visage, puisque tu n’es pas malade ? Ce n’est rien que de la tristesse de cœur. Et je craignis extrêmement. |
Louis Segond :
Le roi me dit: Pourquoi as-tu mauvais visage? Tu n`es pourtant pas malade; ce ne peut être qu`un chagrin de coeur. Je fus saisi d`une grande crainte,
Martin :
Et le Roi me dit: Pourquoi as-tu mauvais visage, puisque tu n'es point malade? Cela ne vient que d'une mauvaise disposition d'esprit. Alors je craignis fort;
Ostervald :
Mais le roi me dit: Pourquoi as-tu mauvais visage, puisque tu n'es point malade? Cela ne vient que de quelque tristesse de cœur. Alors je craignis fort;
Darby :
Et le roi me dit: Pourquoi as-tu mauvais visage, et pourtant tu n'es pas malade? Cela n'est rien que de la tristesse de coeur. Alors j'eus extrêmement peur.
Crampon :
Le roi me dit : “Pourquoi ton visage est-il triste, puisque tu n’es pas malade ? Ce ne peut être qu’une tristesse de cœur.” Je fus très effrayé
3 |
Et je dis au roi : Que le roi vive à perpétuité ! Comment n’aurais-je pas mauvais visage, quand la ville, lieu des sépulcres de mes pères, est détruite, et que ses portes sont dévorées par le feu ? |
Louis Segond :
et je répondis au roi: Que le roi vive éternellement! Comment n`aurais-je pas mauvais visage, lorsque la ville où sont les sépulcres de mes pères est détruite et que ses portes sont consumées par le feu?
Martin :
Et je répondis au Roi: Que le Roi vive éternellement! Comment mon visage ne serait-il pas mauvais, puisque la ville qui est le lieu des sépulcres de mes pères, demeure désolée, et que ses portes ont été consumées par le feu?
Ostervald :
Et je répondis au roi: Que le roi vive à jamais! Comment n'aurais-je pas mauvais visage, quand la ville, lieu des tombeaux de mes pères, demeure désolée, et que ses portes ont été consumées par le feu?
Darby :
Et je dis au roi: Que le roi vive à toujours! Pourquoi mon visage ne serait-il pas triste, quand la ville, le lieu des sépulcres de mes pères, est dévastée, et que ses portes sont consumées par le feu.
Crampon :
et je répondis au roi : “Que le roi vive éternellement ! Comment mon visage ne serait-il pas triste, lorsque la ville où sont les sépulcres de mes pères est dévastée et que ses portes sont consumées par le feu ?”
4 |
Et le roi me dit : Quelle est donc ta requête ? Et je priai le Dieu des cieux, |
Louis Segond :
Et le roi me dit: Que demandes-tu? Je priai le Dieu des cieux,
Martin :
Et le Roi dit: Que me demandes-tu? Alors je priai le Dieu des cieux;
Ostervald :
Et le roi me dit: Que me demandes-tu? Alors je priai le Dieu des cieux;
Darby :
Et le roi me dit: Que demandes-tu? Et je priai le Dieu des cieux;
Crampon :
Et le roi me dit : “Que veux-tu demander ?” Je priai le Dieu du ciel,
5 |
et je dis au roi : Si le roi le trouve bon, et si ton esclave est agréable devant toi, c’est que tu m’envoies en Juda, dans la ville des sépulcres de mes pères, et que je la rebâtisse. |
Louis Segond :
et je répondis au roi: Si le roi le trouve bon, et si ton serviteur lui est agréable, envoie-moi en Juda, vers la ville des sépulcres de mes pères, pour que je la rebâtisse.
Martin :
Et je dis au Roi: Si le Roi le trouve bon, et si ton serviteur t'est agréable, envoie-moi en Judée, vers la ville des sépulcres de mes pères, pour la rebâtir.
Ostervald :
Puis je dis au roi: Si le roi le trouve bon, et si ton serviteur t'est agréable, envoie-moi en Juda, vers la ville des tombeaux de mes pères, pour la rebâtir.
Darby :
et je dis au roi: Si le roi le trouve bon, et si ton serviteur est agréable devant toi, qu'il m'envoie en Juda, à la ville des sépulcres de mes pères, et je la bâtirai.
Crampon :
et je répondis au roi : “Si le roi le trouve bon, et si ton serviteur t’est agréable, je demande que tu m’envoies en Juda, vers la ville des sépulcres de mes pères, pour que je la rebâtisse.”
6 |
Et le roi me dit, ainsi que l’épouse assise à son côté : Jusques à quand durerait ton voyage, et quand reviendrais-tu ? Et le roi le trouva bon et il m’envoya, et je lui indiquai un terme. |
Louis Segond :
Le roi, auprès duquel la reine était assise, me dit alors: Combien ton voyage durera-t-il, et quand seras-tu de retour? Il plut au roi de me laisser partir, et je lui fixai un temps.
Martin :
Et le Roi me dit, et sa femme aussi, qui était assise auprès de lui: Combien serais-tu à faire ton voyage, et quand retournerais-tu? Et après que j'eus déclaré le temps au Roi, il trouva bon de me donner mon congé.
Ostervald :
Et le roi, ainsi que sa femme qui était assise auprès de lui, me dit: Combien durerait ton voyage, et quand reviendrais-tu? Je lui précisai le temps, et le roi trouva bon de m'envoyer.
Darby :
Alors le roi me dit, -et la reine était assise à son côté: -Combien de temps durera ton voyage, et quand reviendras-tu? Et il plut au roi de m'envoyer, et je lui fixai un temps.
Crampon :
Et le roi me dit, la reine étant assise prés de lui : “Jusqu’à quand durera ton voyage, et quand reviendras-tu ?” Il plut au roi de m’envoyer et je lui fixai un temps.
7 |
Et je dis au roi : Si le roi le trouve bon, qu’on me donne des lettres pour les gouverneurs de l’autre côté du fleuve, afin qu’ils me laissent passer jusqu’à ce que j’arrive en Juda ; |
Louis Segond :
Puis je dis au roi: Si le roi le trouve bon, qu`on me donne des lettres pour les gouverneurs de l`autre côté du fleuve, afin qu`ils me laissent passer et entrer en Juda,
Martin :
Puis je dis au Roi: Si le Roi le trouve bon, qu'on me donne des lettres pour les Gouverneurs de delà le fleuve, afin qu'ils me fassent passer, jusqu'à ce que j'arrive en Judée;
Ostervald :
Et je dis au roi: Si le roi le trouve bon, qu'on me donne des lettres pour les gouverneurs d'au delà du fleuve, afin qu'ils me laissent passer jusqu'à ce que j'arrive en Juda;
Darby :
Et je dis au roi: Si le roi le trouve bon, qu'il me donne des lettres pour les gouverneurs de l'autre côté du fleuve, pour qu'ils me fassent passer jusqu'à ce que j'arrive en Juda,
Crampon :
Puis je dis au roi : “Si le roi le trouve bon, qu’on me donne des lettres pour les gouverneurs d’au delà du fleuve, afin qu’ils me laissent passer jusqu’à ce que j’arrive en Juda,
8 |
et une lettre pour Asaph, le gardien du parc du roi, afin qu’il me donne des bois pour faire la charpenterie des portes de la résidence qui appartient à la Maison [de l’Éternel], et de la muraille de la ville, et de la maison où j’entrerai. Et le roi me les donna, selon que la bonne main de mon Dieu fut sur moi. |
Louis Segond :
et une lettre pour Asaph, garde forestier du roi, afin qu`il me fournisse du bois de charpente pour les portes de la citadelle près de la maison, pour la muraille de la ville, et pour la maison que j`occuperai. Le roi me donna ces lettres, car la bonne main de mon Dieu était sur moi.
Martin :
Et des lettres pour Asaph, le garde du parc du Roi, afin qu'il me donne du bois pour la charpenterie des portes de la forteresse qui touche à la maison de Dieu, et pour les portes des murailles de la ville, et pour la maison dans laquelle j'entrerai. Et le Roi me l'accorda, selon que la main de mon Dieu était bonne sur moi.
Ostervald :
Et des lettres pour Asaph, le garde du parc du roi, afin qu'il me donne du bois pour la charpente des portes de la forteresse, attenant à la maison de Dieu, pour les murailles de la ville, et pour la maison dans laquelle j'entrerai. Et le roi me l'accorda selon que la bonne main de mon Dieu était sur moi.
Darby :
et une lettre pour Asaph, gardien de la forêt du roi, afin qu'il me donne du bois pour faire la charpente des portes du château fort attenant à la maison, et pour la muraille de la ville, et pour la maison dans laquelle je dois entrer. Et le roi me les donna, selon que la bonne main de mon Dieu était sur moi.
Crampon :
et une lettre pour Asaph, garde de la forêt qui appartient au roi, afin qu’il me fournisse du bois pour mettre des poutres aux portes de la forteresse qui est proche du temple, pour la muraille de la ville et pour la maison où je me retirerai.” Et le roi me donna ces lettres, car la main favorable de mon Dieu était sur moi.
9 |
Et j’arrivai vers les gouverneurs de l’autre côté du fleuve, et je leur donnai les lettres du roi, et le roi envoya avec moi des chefs de forces et des cavaliers. |
Louis Segond :
Je me rendis auprès des gouverneurs de l`autre côté du fleuve, et je leur remis les lettres du roi, qui m`avait fait accompagner par des chefs de l`armée et par des cavaliers.
Martin :
Je vins donc vers les Gouverneurs qui sont de deçà le fleuve, et je leur donnai les paquets du Roi. Or le Roi avait envoyé avec moi des capitaines de guerre et des gens de cheval.
Ostervald :
Je vins donc vers les gouverneurs qui sont de l'autre côté du fleuve, et je leur donnai les lettres du roi. Or, le roi avait envoyé avec moi des chefs de l'armée et des cavaliers.
Darby :
Et je vins auprès des gouverneurs de l'autre côté du fleuve, et je leur donnai les lettres du roi; or le roi avait envoyé avec moi des chefs de l'armée et des cavaliers.
Crampon :
Je me rendis donc auprès des gouverneurs d’au delà du fleuve, et je leur remis les lettres du roi ; or le roi avait envoyé avec moi des chefs militaires et des cavaliers.
10 |
Quand Sanballat, le Horonite, et Tobija, l’esclave ammonite, l’apprirent, ils conçurent un très grand déplaisir de ce qu’un homme venait pour chercher à faire du bien aux fils d’Israël. |
Louis Segond :
Sanballat, le Horonite, et Tobija, le serviteur ammonite, l`ayant appris, eurent un grand déplaisir de ce qu`il venait un homme pour chercher le bien des enfants d`Israël.
Martin :
Ce que Samballat, Horonite, et Tobija, serviteur hammonite, ayant appris, ils eurent un fort grand dépit de ce qu'il était venu quelqu'un pour procurer du bien aux enfants d'Israël.
Ostervald :
Ce que Samballat, le Horonite, et Tobija, le serviteur ammonite, ayant appris, ils eurent un fort grand dépit de ce qu'il était venu quelqu'un pour procurer du bien aux enfants d'Israël.
Darby :
Et quand Sanballat, le Horonite, et Tobija, le serviteur ammonite, l'apprirent, ils furent très-mécontents de ce qu'un homme fût venu pour chercher le bien des fils d'Israël.
Crampon :
Quand Sanaballat, le Horonite, et Tobie, le serviteur ammonite, furent au courant, il leur parut très mauvais qu’un homme vint pour procurer le bien des enfants d’Israël.
11 |
Et j’arrivai à Jérusalem et j’y fus trois jours. |
Louis Segond :
J`arrivai à Jérusalem, et j`y passai trois jours.
Martin :
Ainsi j'arrivai à Jérusalem, et je fus là trois jours.
Ostervald :
Ainsi j'arrivai à Jérusalem, et je fus là trois jours.
Darby :
Et j'arrivai à Jérusalem, et je fus là trois jours.
Crampon :
J’arrivai à Jérusalem et, après y avoir passé trois jours,
12 |
Et je me levai de nuit, moi et des gens peu nombreux avec moi, et je n’avais communiqué à personne ce que mon Dieu m’avait mis au cœur de faire pour Jérusalem ; et il n’y avait de bête avec moi que la bête sur laquelle j’étais monté. |
Louis Segond :
Après quoi, je me levai pendant la nuit avec quelques hommes, sans avoir dit à personne ce que mon Dieu m`avait mis au coeur de faire pour Jérusalem. Il n`y avait avec moi d`autre bête de somme que ma propre monture.
Martin :
Puis je me levai de nuit, moi et quelque peu de gens avec moi; mais je ne déclarai à personne ce que mon Dieu m'avait mis au coeur de faire à Jérusalem; et il n'y avait point d'autre monture avec moi, que celle sur laquelle j'étais monté.
Ostervald :
Puis je me levai, de nuit, moi et quelque peu de gens avec moi; mais je ne déclarai à personne ce que mon Dieu m'avait mis au cœur de faire à Jérusalem. Et il n'y avait pas avec moi d'autre monture que celle sur laquelle j'étais monté.
Darby :
Et je me levai de nuit, moi et le peu d'hommes qui étaient avec moi, -et je n'avais informé personne de ce que mon Dieu m'avait mis au coeur de faire pour Jérusalem-et je n'avais pas de bête avec moi, sinon la bête que je montais.
Crampon :
je me levai pendant la nuit, avec un petit nombre d’hommes. Je ne communiquai à personne ce que mon Dieu m’avait mis au cœur de faire pour Jérusalem. Je n’avais avec moi d’autre bête de somme que ma propre monture.
13 |
Et je sortis de nuit par la porte de la Vallée, et [me dirigeai] en face de la source du Dragon et vers la porte du Fumier ; et je considérai les murailles de Jérusalem qui étaient en brèches, et ses portes dévorées par le feu. |
Louis Segond :
Je sortis de nuit par la porte de la vallée, et je me dirigeai contre la source du dragon et vers la porte du fumier, considérant les murailles en ruines de Jérusalem et réfléchissant à ses portes consumées par le feu.
Martin :
Je sortis donc de nuit par la porte de la vallée, et je vins par-devant la fontaine du dragon, à la porte de la fiente; et je considérais les murailles de Jérusalem, comment elles demeuraient renversées, et comment ses portes avaient été consumées par le feu.
Ostervald :
Je sortis donc de nuit par la porte de la vallée, et me dirigeai vers la fontaine du dragon et la porte du fumier; et je considérai les murailles de Jérusalem qui étaient en ruines, et ses portes consumées par le feu.
Darby :
Et je sortis de nuit, par la porte de la vallée, en face de la source du chacal, vers la porte du fumier; et je considérai les murailles de Jérusalem qui étaient en ruine et ses portes consumées par le feu.
Crampon :
Je sortis de nuit par la porte de la Vallée, me dirigeant vers la source du Dragon et la porte du Fumier ; et je considérai les murailles démolies de Jérusalem et ses portes consumées par le feu.
14 |
Et je passai à la porte de la Source, et à l’étang du Roi, et il n’y avait point de place par où la bête qui était sous moi pût passer. |
Louis Segond :
Je passai près de la porte de la source et de l`étang du roi, et il n`y avait point de place par où pût passer la bête qui était sous moi.
Martin :
De là je passai à la porte de la fontaine, et vers l'étang du Roi; et il n'y avait point de lieu où je pusse passer avec ma monture.
Ostervald :
De là, je passai à la porte de la fontaine, et vers l'étang du roi, mais il n'y avait point de lieu par où la monture, sur laquelle j'étais monté, pût passer.
Darby :
Et je passai à la porte de la fontaine, et à l'étang du roi, et il n'y avait pas de place où pût passer la bête qui était sous moi.
Crampon :
Je continuai vers la porte de la Source et l’étang du Roi, et il n’y avait pas de place pour que la monture pût passer sous moi.
15 |
Et je montai de nuit dans le torrent, et je considérai la muraille, et je revins, et je rentrai par la porte de la Vallée, et je fus de retour. |
Louis Segond :
Je montai de nuit par le torrent, et je considérai encore la muraille. Puis je rentrai par la porte de la vallée, et je fus ainsi de retour.
Martin :
Et je montai de nuit par le torrent, et je considérai la muraille; puis en m'en retournant, je rentrai par la porte de la vallée; et ainsi je m'en retournai.
Ostervald :
Et je montai de nuit par le torrent, et je considérai la muraille; puis, m'en retournant, je rentrai par la porte de la vallée, et m'en revins.
Darby :
Et je montai de nuit par le torrent, et je considérai la muraille; et je m'en revins, et entrai par la porte de la vallée, et je m'en retournai.
Crampon :
Je montai de nuit dans le ravin, et je considérai la muraille ; puis je revins par la porte de la Vallée, et je rentrai.
16 |
Et les magistrats ne savaient pas où j’étais allé, ni ce que je faisais ; et jusque-là je n’en avais rien communiqué aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux notables, ni aux magistrats, ni aux autres qui faisaient l’œuvre. |
Louis Segond :
Les magistrats ignoraient où j`étais allé, et ce que je faisais. Jusqu`à ce moment, je n`avais rien dit aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux grands, ni aux magistrats, ni à aucun de ceux qui s`occupaient des affaires.
Martin :
Or les magistrats ne savaient point où j'étais allé, ni ce que je faisais; aussi je n'en avais rien déclaré jusques alors, ni aux Juifs, ni aux Sacrificateurs, ni aux principaux, ni aux magistrats, ni au reste de ceux qui maniaient les affaires.
Ostervald :
Or, les magistrats ne savaient point où j'étais allé, ni ce que je faisais; aussi je n'en avais rien déclaré jusqu'alors, ni aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux principaux, ni aux magistrats, ni au reste de ceux qui s'occupaient des affaires.
Darby :
Or les chefs ne savaient pas où j'étais allé, ni ce que je faisais; et jusque-là je n'avais rien communiqué aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux nobles, ni aux chefs, ni aux autres qui s'occupaient de l'oeuvre.
Crampon :
Les magistrats ignoraient où j’étais allé et ce que je voulais faire. Jusqu’à ce moment je n’avais fait part de rien aux Juifs, ni aux prêtres, ni aux grands, ni aux magistrats, ni au reste du peuple qui devait s’occuper des travaux.
17 |
Et je leur dis : Vous voyez le malheur où nous sommes, comme Jérusalem est détruite et ses portes sont brûlées par le feu : venez et rebâtissons la muraille de Jérusalem, et ne soyons plus dans l’opprobre. |
Louis Segond :
Je leur dis alors: Vous voyez le malheureux état où nous sommes! Jérusalem est détruite, et ses portes sont consumées par le feu! Venez, rebâtissons la muraille de Jérusalem, et nous ne serons plus dans l`opprobre.
Martin :
Alors je leur dis: Vous voyez la misère dans laquelle nous sommes; comment Jérusalem demeure désolée, et ses portes brûlées par le feu. Venez, et rebâtissons les murailles de Jérusalem, et que nous ne soyons plus en opprobre.
Ostervald :
Alors je leur dis: Vous voyez la misère dans laquelle nous sommes, comment Jérusalem est dévastée et ses portes brûlées; venez et rebâtissons la muraille de Jérusalem, et ne soyons plus dans l'opprobre.
Darby :
Et je leur dis: Vous voyez la misère dans laquelle nous sommes, que Jérusalem est dévastée et que ses portes sont brûlées par le feu. Venez et bâtissons la muraille de Jérusalem, afin que nous ne soyons plus dans l'opprobre.
Crampon :
Je leur dis alors : " Vous voyez la misère dans laquelle nous sommes, Jérusalem est dévastée, et ses portes sont consumées par le feu. Venez, rebâtissons la muraille de Jérusalem, et nous ne serons plus un sujet d’opprobre. "
18 |
Et je leur exposai combien la main de l’Éternel, mon Dieu, était bonne sur moi, et aussi quelles paroles le roi m’avait dites. Et ils dirent : Nous nous lèverons et nous bâtirons ! Et ils fortifièrent leurs mains pour bien faire. |
Louis Segond :
Et je leur racontai comment la bonne main de mon Dieu avait été sur moi, et quelles paroles le roi m`avait adressées. Ils dirent: Levons-nous, et bâtissons! Et ils se fortifièrent dans cette bonne résolution.
Martin :
Et je leur déclarai que la main de mon Dieu était bonne sur moi, et je leur rapportai aussi les paroles que le Roi m'avait dites. Alors ils dirent: Levons-nous, et bâtissons. Ils fortifièrent donc leurs mains pour bien faire.
Ostervald :
Et je leur déclarai comment la bonne main de mon Dieu avait été sur moi, et aussi les paroles que le roi m'avait dites. Alors ils dirent: Levons-nous, et bâtissons! Ils fortifièrent donc leurs mains pour bien faire.
Darby :
Et je leur racontai comment la main de mon Dieu avait été bonne sur moi, et aussi les paroles du roi qu'il m'avait dites. Et ils dirent: Levons-nous et bâtissons. Et ils fortifièrent leurs mains pour bien faire.
Crampon :
Et je leur racontai comment la main favorable de mon Dieu avait été sur moi, et aussi quelles paroles le roi m’avaient adressées. Ils répondirent : " Levons-nous, et bâtissons ! " Et ils mirent avec courage la main à cette bonne œuvre.
19 |
Quand Sanballat, le Horonite, et Tobija, l’esclave ammonite, et Guéschem, l’Arabe, l’apprirent, ils se raillèrent de nous et nous méprisèrent, et ils dirent : Qu’est-ce que vous faites-là ? Est-ce que vous vous rebellez contre le roi ? |
Louis Segond :
Sanballat, le Horonite, Tobija, le serviteur ammonite, et Guéschem, l`Arabe, en ayant été informés, se moquèrent de nous et nous méprisèrent. Ils dirent: Que faites-vous là? Vous révoltez-vous contre le roi?
Martin :
Mais Samballat Horonite, et Tobija serviteur hammonite, et Guésem Arabe, l'ayant appris, se moquèrent de nous, et nous méprisèrent, en disant: Qu'est-ce que vous faites? Ne vous rebellez-vous pas contre le Roi?
Ostervald :
Mais Samballat, le Horonite, et Tobija, le serviteur ammonite, et Guéshem, l'Arabe, l'ayant appris, se moquèrent de nous, et nous méprisèrent, en disant: Qu'est-ce que vous faites? Est-ce que vous vous révoltez contre le roi?
Darby :
Et quand Sanballat, le Horonite, et Tobija, le serviteur ammonite, et Guéshem, l'Arabe, l'apprirent, ils se moquèrent de nous et nous méprisèrent, et ils dirent: Qu'est-ce que vous faites là? Voulez-vous vous révolter contre le roi?
Crampon :
Quand Sanaballat, le Horonite, Tobie, le serviteur ammonite, et Gosem, l’Arabe, l’eurent appris, ils se moquèrent de nous et nous méprisèrent. Ils disaient : " Que faites-vous là ? Vous révoltez-vous contre le roi ? "
20 |
Et je leur répliquai et je leur dis : Le Dieu des cieux lui-même nous fera réussir, et nous, ses esclaves, nous nous lèverons et nous bâtirons ; mais vous, vous n’avez ni part, ni droit{Héb. justice.} ni mémorial à Jérusalem. |
Louis Segond :
Et je leur fis cette réponse: Le Dieu des cieux nous donnera le succès. Nous, ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n`avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem.
Martin :
Et je leur répondis ce mot, et leur dis: le Dieu des cieux est celui qui nous fera prospérer; nous donc, qui sommes ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n'avez aucune part, ni droit, ni mémorial, à Jérusalem.
Ostervald :
Mais je leur répliquai, et leur dis: Le Dieu des cieux lui-même nous donnera le succès! Nous, ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n'avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem.
Darby :
Et je leur répondis et je leur dis: Le Dieu des cieux, lui, nous fera prospérer, et nous, ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n'avez ni part, ni droit, ni souvenir à Jérusalem.
Crampon :
Je leur fis réponse et leur dis : " Le Dieu du ciel nous donnera le succès. Nous, ses serviteurs, nous allons nous mettre à rebâtir ; quant à vous, vous n’avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem. "