1 |
Malheur à la ville de sang ! Elle est toute pleine de mensonge, de rapine ; on ne veut pas se désister [de ravir] de la proie. |
Louis Segond :
Malheur à la ville sanguinaire, Pleine de mensonge, pleine de violence, Et qui ne cesse de se livrer à la rapine!...
Martin :
Malheur à la ville sanguinaire qui est toute pleine de mensonge, et toute remplie de proie; la rapine ne s'en retirera point:
Ostervald :
Malheur à la ville sanguinaire! Elle est toute pleine de mensonge et de violence, la rapine ne s'en retire point.
Darby :
Malheur à la ville de sang, toute pleine de fausseté et de violence! la rapine ne la quitte pas.
Crampon :
Malheur à la ville de sang, toute pleine de fraude, de violence, et qui ne cesse pas ses rapines !
2 |
Le bruit des fouets, le bruit du fracas des roues, et les chevaux au grand galop, et les chars qui bondissent ! |
Louis Segond :
On entend le bruit du fouet, Le bruit des roues, Le galop des chevaux, Le roulement des chars.
Martin :
Ni le bruit du fouet, ni le bruit impétueux des roues, ni les chevaux battant des pieds, ni les chariots sautelant.
Ostervald :
On entend le bruit du fouet, le bruit retentissant des roues, les chevaux qui galopent, les chars qui bondissent.
Darby :
Bruit du fouet et fracas des roues, et galop des chevaux, et chars qui bondissent;...
Crampon :
On entend le bruit du fouet, le bruit du fracas des roues, le galop des chevaux, les chariots qui bondissent !
3 |
Le cavalier charge,.. la flamme de l’épée, l’éclair de la lance,... abondance de blessés à mort,... tas de cadavres, corps morts à l’infini ;... ils trébuchent sur leurs corps morts ! |
Louis Segond :
Les cavaliers s`élancent, l`épée étincelle, la lance brille... Une multitude de blessés!... une foule de cadavres!... Des morts à l`infini!... On tombe sur les morts!...
Martin :
Ni les gens de cheval faisant bondir leurs chevaux, ni l'épée brillante, ni la hallebarde étincelante, ni la multitude des blessés à mort, ni le grand nombre des corps morts, et il n'y aura nulle fin aux corps morts, de sorte qu'on sera renversé sur leurs corps.
Ostervald :
Les cavaliers s'élancent, l'épée brille et la lance étincelle. C'est une multitude de blessés! Une foule de cadavres, des corps morts à l'infini! Ils trébuchent sur leurs morts.
Darby :
le cavalier qui s'élance, et la flamme de l'épée, et l'éclair de la lance, et une multitude de tués, et des monceaux de corps morts, et des cadavres sans fin! on trébuche sur les cadavres!
Crampon :
Cavaliers qui s’élancent, épée flamboyante, lance fulgurante ! Multitude de blessés, masse de morts, des cadavres à l’infini… On trébuche sur leurs cadavres.
4 |
À cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, pleine d’attraits, habile en sorcelleries, qui trafique des nations par ses prostitutions et des familles [des hommes] par ses sorcelleries, |
Louis Segond :
C`est à cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, Pleine d`attraits, habile enchanteresse, Qui vendait les nations par ses prostitutions Et les peuples par ses enchantements.
Martin :
A cause de la multitude des prostitutions de cette prostituée pleine de charmes, experte en sortilèges, qui vendait les nations par ses prostitutions, et les familles par ses enchantements.
Ostervald :
C'est à cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, pleine d'attraits, habile enchanteresse, qui vendait les nations par ses prostitutions, et les peuples par ses enchantements.
Darby :
A cause de la multitude des prostitutions de la prostituée attrayante, enchanteresse, qui vend les nations par ses prostitutions, et les familles par ses enchantements,
Crampon :
C’est à cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, pleine d’attraits, habile aux enchantements, qui vendait les nations par ses prostitutions, et les peuples par ses enchantements.
5 |
voici que je [viens] à toi, dit l’Éternel des armées, et je relèverai les pans de ta robe sur ton visage, et je montrerai aux yeux des nations ta nudité, et aux royaumes ta honte ; |
Louis Segond :
Voici, j`en veux à toi, dit l`Éternel des armées, Je relèverai tes pans jusque sur ton visage, Je montrerai ta nudité aux nations, Et ta honte aux royaumes.
Martin :
Voici, j'en veux à toi, dit l'Eternel des armées, je te dépouillerai de tes vêtements; je manifesterai ta honte aux nations, et ton ignominie aux Royaumes.
Ostervald :
Voici, j'en veux à toi, dit l'Éternel des armées! Je relèverai les pans de ta robe sur ton visage, et je montrerai aux nations ta nudité, et ta honte aux royaumes.
Darby :
voici, j'en veux à toi, dit l'Éternel des armées, et je relèverai les pans de ta robe sur ton visage, et je monterai aux nations ta nudité, et aux royaumes ta honte.
Crampon :
Me voici contre toi ! – oracle de Yahweh des armées ; je vais relever les pans de ta robe jusque sur ton visage, je montrerai aux nations ta nudité, et ta honte aux royaumes.
6 |
et je jetterai sur toi des immondices{Ou exécrations.} et je te flétrirai, et je t’exposerai en spectacle ; |
Louis Segond :
Je jetterai sur toi des impuretés, je t`avilirai, Et je te donnerai en spectacle.
Martin :
Je ferai tomber sur ta tête la peine de tes abominations, je te consumerai et je te couvrirai d'infamie.
Ostervald :
Je jetterai sur toi tes abominations, je te rendrai méprisable, et je te donnerai en spectacle.
Darby :
Et je jetterai sur toi des ordures, et je t'avilirai, et je te donnerai en spectacle.
Crampon :
Je jetterai sur toi des ordures et je t’avilirai, et je te donnerai en spectacle.
7 |
et il arrivera que tous ceux qui te verront s’enfuiront loin de toi, et on dira : Ninive est dévastée ! Qui la plaindrait ? D’où te chercherais-je des consolateurs ? |
Louis Segond :
Tous ceux qui te verront fuiront loin de toi, Et l`on dira: Ninive est détruite! Qui la plaindra? Où te chercherai-je des consolateurs?
Martin :
Et il arrivera que quiconque te verra s'éloignera de toi, et dira: Ninive est détruite; qui aura compassion d'elle? D'où te chercherai-je des consolateurs?
Ostervald :
Tous ceux qui te verront fuiront loin de toi, et diront: Ninive est détruite! Qui aura compassion d'elle? Où te chercherai-je des consolateurs?
Darby :
Et il arrivera que tous ceux qui te verront fuiront loin de toi, et diront: Ninive est dévastée! Qui la plaindra? D'où te chercherai-je des consolateurs?
Crampon :
Quiconque te verra, fuira loin de toi, et dira : « Ninive est détruite ! » Qui la plaindra ? Où te chercherai-je des consolateurs ?
8 |
Vaudrais-tu mieux que No-Amon, qui est assise sur les fleuves, entourée d’eaux, à qui une mer sert d’avant-mur, dont la muraille s’élève de la mer ? |
Louis Segond :
Es-tu meilleure que No Amon, Qui était assise au milieu des fleuves, Entourée par les eaux, Ayant la mer pour rempart, La mer pour murailles?
Martin :
Vaux-tu mieux que No la nourricière, située entre les fleuves, qui a les eaux à l'entour de soi, dont la mer est le rempart, à qui la mer sert de murailles?
Ostervald :
Vaux-tu mieux que No-Amon, qui était assise au milieu des fleuves, entourée d'eaux, qui avait une mer pour rempart, une mer pour muraille?
Darby :
Es-tu meilleure que No-Amon, qui habitait sur les fleuves, des eaux autour d'elle, -elle qui avait la mer pour rempart, la mer pour sa muraille?
Crampon :
Vaux-tu mieux que No-Amon, qui était assise sur les fleuves, que les eaux environnaient, qui avait la mer pour rempart, et dont la mer était la muraille ?
9 |
Les Cuschites en grande force et les Égyptiens à l’infini, Puth et les Loubites (Libyens) étaient ses{Héb. tes.} auxiliaires. |
Louis Segond :
L`Éthiopie et les Égyptiens innombrables faisaient sa force, Puth et les Libyens étaient ses auxiliaires.
Martin :
Sa force était Cus et l'Egypte, et une infinité d'autres peuples; Put et les Lybiens sont allés à son secours.
Ostervald :
Cush était sa force, et les Égyptiens sans nombre; Put et les Libyens venaient à son secours.
Darby :
L'Éthiopie était sa force, et l'Égypte, et il n'y avait pas de fin; Puth et les Libyens étaient parmi ceux qui l'aidaient.
Crampon :
L’Ethiopie était sa force, ainsi que l’Egypte, et ils étaient innombrables ; Phut et les Libyens étaient tes auxiliaires.
10 |
[Pourtant] elle fut, elle aussi, transportée, elle s’en alla en captivité ; ses petits enfants aussi furent écrasés à tous les coins des rues ; on jeta le sort sur ses hommes honorables, et tous ses grands furent liés de chaînes. |
Louis Segond :
Et cependant elle est partie pour l`exil, elle s`en est allée captive; Ses enfants ont été écrasés au coin de toutes les rues; On a jeté le sort sur ses nobles, Et tous ses grands ont été chargés de chaînes.
Martin :
Elle-même aussi a été transportée hors de sa terre, elle s'en est allée en captivité; même ses enfants ont été écrasés aux carrefours de toutes les rues, et on a jeté le sort sur ses gens honorables, et tous ses Principaux ont été liés de chaînes.
Ostervald :
Elle aussi s'en est allée captive en exil; ses enfants furent aussi écrasés à tous les coins des rues; on jeta le sort sur ses hommes honorables, et tous ses grands furent liés de chaînes.
Darby :
Elle aussi fut emmenée et s'en alla en captivité; ses petits enfants aussi furent écrasés aux coins de toutes les rues; on jeta le sort sur ses hommes honorables, et tous ses grands furent liés de chaînes.
Crampon :
Pourtant, elle est allée en exil, elle a été captive ; ses petits enfants aussi ont été écrasés, à l’angle de toutes les rues ; on a jeté le sort sur ses nobles, et tous ses grands ont été chargés de chaînes.
11 |
Toi aussi, tu seras enivrée, tu seras forcée de te cacher ; toi aussi, tu chercheras un rempart contre l’ennemi. |
Louis Segond :
Toi aussi, tu seras enivrée, tu te cacheras; Toi aussi, tu chercheras un refuge contre l`ennemi.
Martin :
Toi aussi tu seras enivrée, tu te tiendras cachée, et tu chercheras du secours contre l'ennemi.
Ostervald :
Toi aussi tu seras enivrée, tu seras cachée; toi aussi tu chercheras un refuge contre l'ennemi.
Darby :
-Toi aussi, tu seras enivrée; tu seras cachée; toi aussi, tu chercheras un lieu fort devant l'ennemi.
Crampon :
Toi aussi, tu seras enivrée et tu disparaîtras ; toi aussi, tu chercheras un refuge devant l’ennemi.
12 |
Toutes tes forteresses sont [comme] des figuiers avec des figues hâtives : quand on les secoue, elles tombent dans la bouche de celui qui veut les manger. |
Louis Segond :
Toutes tes forteresses Sont des figuiers avec les primeurs; Quand on les secoue, Elles tombent dans la bouche de qui veut les manger.
Martin :
Toutes tes forteresses seront comme des figues, et comme des premiers fruits, qui étant secoués, tombent dans la bouche de celui qui les veut manger.
Ostervald :
Toutes tes forteresses seront comme des figuiers avec des figues hâtives; quand on les secoue, elles tombent dans la bouche de celui qui veut les manger.
Darby :
Toutes tes forteresses sont comme des figuiers avec leurs premières figues; si on les secoue, elles tombent dans la bouche de celui qui les mange.
Crampon :
Toutes tes places fortes sont des figuiers aux figues mûres ; on secoue, et elles tombent dans la bouche de qui veut les manger.
13 |
Voici, ton peuple est autant de femmes au milieu de toi : les portes de la terre s’ouvrent toutes grandes à tes ennemis ; le feu dévore tes barres ! |
Louis Segond :
Voici, ton peuple, ce sont des femmes au milieu de toi; Les portes de ton pays s`ouvrent à tes ennemis; Le feu consume tes verrous.
Martin :
Voici, ton peuple sera comme autant de femmes au milieu de toi; les portes de ton pays seront toutes ouvertes à tes ennemis; le feu consumera tes barres.
Ostervald :
Voici, ton peuple, ce sont des femmes au milieu de toi; les portes de ton pays s'ouvrent à tes ennemis; le feu consume tes barres.
Darby :
Voici, ton peuple au dedans de toi est comme des femmes; les portes de ton pays sont grandes ouvertes à tes ennemis, le feu dévore tes barres.
Crampon :
Voici que ton peuple est comme des femmes au milieu de toi ; devant tes ennemis s’ouvriront toutes grandes les portes de ton pays ; le feu dévore tes verrous.
14 |
Puise-toi de l’eau pour le siège ; répare solidement tes forteresses : entre dans la glaise, foule l’argile, restaure le four à briques. |
Louis Segond :
Puise de l`eau pour le siège! Répare tes forteresses! Entre dans la boue, foule l`argile! Rétablis le four à briques!
Martin :
Puise-toi de l'eau pour le siége, fortifie tes remparts, enfonce le pied dans la terre grasse, et foule l'argile, et rebâtis la briqueterie.
Ostervald :
Puise-toi de l'eau pour le siège; fortifie tes remparts! Entre dans la boue; foule l'argile; répare le four à briques!
Darby :
Puise de l'eau pour le siège, fortifie tes lieux forts, entre dans la glaise et foule l'argile, répare le four à briques.
Crampon :
Puise-toi de l’eau en vue du siège, restaure tes forts, pétris l’argile et foule la terre glaise, saisis le moule à briques.
15 |
Là le feu te dévorera, l’épée t’exterminera ; elle te dévorera comme la [sauterelle] yélek, fusses-tu nombreuse comme l’yélek, fusses-tu nombreuse comme la [sauterelle] arbé. |
Louis Segond :
Là, le feu te dévorera, L`épée t`exterminera, Te dévorera comme des sauterelles. Entasse-toi comme les sauterelles! Entasse-toi comme les sauterelles!
Martin :
Là le feu te consumera; l'épée te retranchera, elle te dévorera comme le hurbec dévore les arbres. Qu'on s'amasse comme les hurbecs, amasse-toi comme les sauterelles.
Ostervald :
Là, le feu te consumera, l'épée t'exterminera; elle te dévorera comme la sauterelle. Multiplie-toi comme le jélek! Multiplie-toi comme les sauterelles!
Darby :
Là, le feu te dévorera, l'épée te détruira; elle te dévorera comme l'yélek. Multiplie-toi comme l'yélek, multiplie-toi comme la sauterelle.
Crampon :
Là le feu te dévorera, l’épée t’exterminera, elle te dévorera comme le yéléq, quand tu serais nombreux comme le yéléq, nombreux comme la sauterelle.
16 |
Tu as multiplié tes trafiquants plus que les étoiles des cieux ; l’yélek dépouille et s’envole. |
Louis Segond :
Tes marchands, plus nombreux Que les étoiles du ciel, Sont comme la sauterelle qui ouvre les ailes et s`envole.
Martin :
Tu as multiplié tes négociants en plus grand nombre que les étoiles des cieux; les hurbecs s'étant répandus ont tout ravagé, et puis ils s'en sont envolés.
Ostervald :
Tes marchands sont plus nombreux que les étoiles du ciel: la sauterelle dépouille et s'envole!
Darby :
Tu as augmenté le nombre de tes marchands plus que les étoiles des cieux; l'yélek se répand, puis s'envole.
Crampon :
Tu as multiplié tes marchands, plus que les étoiles du ciel ; le yéléq ouvre ses ailes et s’envole.
17 |
Il en est de tes personnages distingués comme de l’arbé, et de tes généraux comme des essaims de sauterelles{Héb. de gobs.} elles campent auprès des haies en un jour froid ; quand le soleil se lève elles s’enfuient, et on ne connaît plus le lieu où elles sont. |
Louis Segond :
Tes princes sont comme les sauterelles, Tes chefs comme une multitude de sauterelles, Qui se posent sur les haies au temps de la froidure: Le soleil paraît, elles s`envolent, Et l`on ne connaît plus le lieu où elles étaient.
Martin :
Ceux qui portent le diadème au milieu de toi sont comme des sauterelles, et tes capitaines comme de grandes sauterelles qui se campent dans les cloisons au temps de la fraîcheur, et qui, lorsque le soleil est levé, s'écartent, de sorte qu'on ne connaît plus le lieu où elles ont été.
Ostervald :
Tes princes sont comme des sauterelles, tes capitaines comme une multitude de sauterelles qui se posent sur les haies au temps froid; quand le soleil se lève, elles s'enfuient, et l'on ne connaît plus le lieu où elles sont.
Darby :
Tes hommes d'élite sont comme les sauterelles, et tes capitaines sont comme une nuée de gobs qui campent dans les haies au frais du jour; le soleil se lève, ils s'envolent, et on ne connaît pas le lieu où ils sont.
Crampon :
Tes gardes sont comme le yéléq et tes chefs comme un amas de sauterelles ; elles se posent sur les haies en un jour froid ; dès que le soleil paraît, elles fuient, et l’on ne connaît plus leur séjour ; où sont-elles ?
18 |
Tes bergers sommeillent, ô roi d’Assur ; ils se sont couchés, tes magnifiques ; ton peuple est dispersé sur les montagnes, et personne qui le rassemble ! |
Louis Segond :
Tes bergers sommeillent, roi d`Assyrie, Tes vaillants hommes reposent; Ton peuple est dispersé sur les montagnes, Et nul ne le rassemble.
Martin :
Tes Pasteurs se sont endormis, ô Roi d'Assyrie! tes hommes illustres se sont tenus dans leurs tentes; ton peuple est dispersé par les montagnes, et il n'y a personne qui le rassemble.
Ostervald :
Tes pasteurs sommeillent, roi d'Assyrie! Tes hommes vaillants reposent. Ton peuple est dispersé sur les montagnes, il n'y a personne qui le rassemble.
Darby :
Tes pasteurs dorment, roi d'Assyrie! tes vaillants hommes sont couchés là, ton peuple est dispersé sur les montagnes, et personne ne les rassemble.
Crampon :
Tes pasteurs sont endormis, roi d’Assyrie ; tes vaillants hommes sont couchés, ton peuple est dispersé sur les montagnes, et il n’y a personne qui les rassemble.
19 |
Point d’adoucissement à ta blessure, ta plaie s’est aggravée ! Tous ceux qui entendent parler de toi battent des mains sur toi ; car sur qui ta méchanceté ne s’est-elle pas abattue continuellement ? |
Louis Segond :
Il n`y a point de remède à ta blessure, Ta plaie est mortelle. Tous ceux qui entendront parler de toi Battront des mains sur toi; Car quel est celui que ta méchanceté n`a pas atteint?
Martin :
Il n'y a point de remède à ta blessure, ta plaie est douloureuse; tous ceux qui entendront parler de toi battront des mains sur toi; car qui est- ce qui n'a pas continuellement éprouvé les effets de ta malice?
Ostervald :
Il n'y a point de remède à ta blessure; ta plaie est mortelle! Tous ceux qui entendront parler de toi battront des mains sur toi; car qui est-ce qui n'a pas continuellement éprouvé les effets de ta malice?
Darby :
Il n'y a pas de soulagement à ta blessure; ta plaie est très-maligne; tous ceux qui entendent parler de toi battent des mains sur toi; car sur qui ta méchanceté n'a-t-elle pas continuellement passé?
Crampon :
Ta blessure est sans remède, ta plaie est grave ; tous ceux qui entendront raconter ton sort battront des mains à ton sujet ; car sur qui ta méchanceté n’a-t-elle pas passé sans trêve ?