| 1 | 
		Alors Job prit la parole, et dit:
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Job prit la parole et dit:
Martin : 
Mais Job répondit, et dit:
Darby : 
Et Job répondit et dit:
Crampon : 
Alors Job prit la parole et dit :
Lausanne : 
Et Job prit la parole et dit :
 
 
	
	
	
	
		| 2 | 
		Jusques à quand affligerez-vous mon âme, et m'accablerez-vous de paroles?
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Jusques à quand affligerez-vous mon âme, Et m`écraserez-vous de vos discours?
Martin : 
Jusqu'à quand affligerez-vous mon âme, et m'accablerez-vous de paroles?
Darby : 
Jusques à quand affligerez-vous mon âme, et m'accablerez-vous de paroles?
Crampon : 
Jusques à quand affligerez-vous mon âme, et m’accablerez-vous de vos discours ?
Lausanne : 
Jusques à quand affligerez-vous mon âme, et m’écraserez-vous de discours ?
 
 
	
	
	
	
		| 3 | 
		Voilà déjà dix fois que vous m'outragez: vous n'avez pas honte de me maltraiter?
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Voilà dix fois que vous m`outragez; N`avez-vous pas honte de m`étourdir ainsi?
Martin : 
Vous avez déjà par dix fois tâché de me couvrir de confusion. N'avez-vous point honte de vous roidir ainsi contre moi?
Darby : 
Voilà dix fois que vous m'avez outragé, vous n'avez pas honte de m'étourdir.
Crampon : 
Voilà dix fois que vous m’insultez, que vous m’outragez sans pudeur.
Lausanne : 
Voilà dix fois que vous me couvrez d’ignominie : vous ne rougissez pas de m’étourdir !
 
 
	
	
	
	
		| 4 | 
		Vraiment si j'ai failli, ma faute demeure avec moi.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Si réellement j`ai péché, Seul j`en suis responsable.
Martin : 
Mais quand il serait vrai que j'aurais péché, la faute serait pour moi.
Darby : 
Mais si vraiment j'ai erré, mon erreur demeure avec moi.
Crampon : 
Quand même j’aurais failli, c’est avec moi que demeure ma faute.
Lausanne : 
Eh bien ! oui, vraiment, j’ai erré : mon erreur demeure à ma charge{Héb. avec moi.}
 
 
	
	
	
	
		| 5 | 
		Si vraiment vous vous élevez contre moi, si vous me reprochez l'opprobre où je me trouve,
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Pensez-vous me traiter avec hauteur? Pensez-vous démontrer que je suis coupable?
Martin : 
Mais si absolument vous voulez parler avec hauteur contre moi, et me reprocher mon opprobre;
Darby : 
Si réellement vous voulez vous élever contre moi et faire valoir mon opprobre contre moi,
Crampon : 
Mais vous, qui vous élevez contre moi, qui invoquez mon opprobre pour me convaincre,
Lausanne : 
Que si vraiment vous vous élevez au-dessus de moi, et si vous me reprochez mon opprobre,
 
 
	
	
	
	
		| 6 | 
		Sachez donc que c'est Dieu qui m'a fait tort, et qui a tendu ses filets autour de moi.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Sachez alors que c`est Dieu qui me poursuit, Et qui m`enveloppe de son filet.
Martin : 
Sachez donc que c'est Dieu qui m'a renversé, et qui a tendu son filet autour de moi.
Darby : 
Sachez donc que c'est +Dieu qui me renverse et qui m'entoure de son filet.
Crampon : 
sachez enfin que c’est Dieu qui m’opprime, et qui m’enveloppe de son filet.
Lausanne : 
sachez donc que c’est Dieu qui m’a opprimé et qui m’a enveloppé dans son filet.
 
 
	
	
	
	
		| 7 | 
		Voici, je crie à la violence, et on ne me répond pas; je crie au secours, et il n'y a point de justice!
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Voici, je crie à la violence, et nul ne répond; J`implore justice, et point de justice!
Martin : 
Voici je crie pour la violence qui m'est faite, et je ne suis point exaucé; je m'écrie, et il n'y a point de jugement.
Darby : 
Voici, je crie à la violence, et je ne suis pas exaucé; je pousse des cris, et il n'y a pas de jugement.
Crampon : 
Voici que je crie à la violence, et nul ne me répond ! J’en appelle, et point de justice !
Lausanne : 
Voici, je crie à la violence et je ne reçois pas de réponse ; j’implore du secours, et il n’y a point de justice !
 
 
	
	
	
	
		| 8 | 
		Il a fermé mon chemin, et je ne puis passer; il a mis des ténèbres sur mes sentiers.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Il m`a fermé toute issue, et je ne puis passer; Il a répandu des ténèbres sur mes sentiers.
Martin : 
Il a fermé son chemin, tellement que je ne saurais passer; et il a mis les ténèbres sur mes sentiers.
Darby : 
Il a fermé mon chemin et je ne puis passer, et il a mis des ténèbres sur mes sentiers;
Crampon : 
Il m’a barré le chemin, et je ne puis passer : il a répandu les ténèbres sur mes sentiers.
Lausanne : 
Il a muré mon chemin pour que je ne puisse passer, et il a mis les ténèbres sur mes sentiers ;
 
 
	
	
	
	
		| 9 | 
		Il m'a dépouillé de ma gloire; il a ôté la couronne de ma tête.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Il m`a dépouillé de ma gloire, Il a enlevé la couronne de ma tête.
Martin : 
Il m'a dépouillé de ma gloire, il m'a ôté la couronne de dessus la tête.
Darby : 
Il m'a dépouillé de ma gloire et a ôté la couronne de dessus ma tête;
Crampon : 
Il m’a dépouillé de ma gloire, il a enlevé la couronne de ma tête.
Lausanne : 
il m’a dépouillé de ma gloire et il a enlevé la couronne de ma tête ;
 
 
	
	
	
	
		| 10 | 
		Il m'a détruit de tous côtés, et je m'en vais; il a arraché, comme un arbre, mon espérance.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Il m`a brisé de toutes parts, et je m`en vais; Il a arraché mon espérance comme un arbre.
Martin : 
Il m'a détruit de tous côtés, et je m'en vais; il a fait disparaître mon espérance comme celle d'un arbre que l'on arrache.
Darby : 
Il m'a détruit de tous côtés, et je m'en vais; il a arraché mon espérance comme un arbre.
Crampon : 
Il m’a sapé tout à l’entour, et je tombe ; il a déraciné, comme un arbre, mon espérance.
Lausanne : 
il me démolit de toutes parts, et je m’en vais ; il arrache comme un arbre mon espoir.
 
 
	
	
	
	
		| 11 | 
		Il a allumé sa colère contre moi, et il m'a tenu pour l'un de ses ennemis.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Il s`est enflammé de colère contre moi, Il m`a traité comme l`un de ses ennemis.
Martin : 
Il s'est enflammé de colère contre moi, et m'a traité comme un de ses ennemis.
Darby : 
Il a allumé contre moi sa colère, et il m'a tenu pour l'un de ses ennemis.
Crampon : 
Sa colère s’est allumée contre moi ; il m’a traité comme ses ennemis.
Lausanne : 
Il a allumé contre moi sa colère, et il m’estime comme l’un de ses adversaires.
 
 
	
	
	
	
		| 12 | 
		Ses troupes sont venues ensemble; elles ont dressé contre moi leurs chaussées, et se sont campées autour de ma tente.
  | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Ses troupes se sont de concert mises en marche, elles se sont frayé leur chemin jusqu`à moi, elles se sont campées autour de ma tente.
Martin : 
Ses troupes sont venues ensemble, et elles ont dressé leur chemin contre moi, et se sont campées autour de ma tente.
Darby : 
Ses troupes sont venues ensemble, et elles ont dressé en chaussée leur chemin contre moi et se sont campées autour de ma tente.
Crampon : 
Ses bataillons sont venus ensemble, ils se sont frayés un chemin jusqu’à moi, ils font le siège de ma tente.
Lausanne : 
Ses troupes arrivent ensemble, elles élèvent leur chemin contre moi et campent autour de ma tente.
 
 
	
	
	
	
		| 13 | 
		Il a éloigné de moi mes frères, et ceux qui me connaissaient se sont écartés comme des étrangers;
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Il a éloigné de moi mes frères, Et mes amis se sont détournés de moi;
Martin : 
Il a fait retirer loin de moi mes frères; et ceux qui me connaissaient se sont fort éloignés de moi.
Darby : 
Il a éloigné de moi mes frères, et ceux de ma connaissance me sont devenus entièrement étrangers;
Crampon : 
Il a éloigné de moi mes frères ; mes amis se sont détournés de moi.
Lausanne : 
Il éloigne de moi mes frères, et ceux qui me connaissaient me deviennent étrangers ;
 
 
	
	
	
	
		| 14 | 
		Mes proches m'ont abandonné, et mes connaissances m'ont oublié.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Je suis abandonné de mes proches, Je suis oublié de mes intimes.
Martin : 
Mes proches m'ont abandonné, et ceux que je connaissais m'ont oublié.
Darby : 
Mes proches m'ont délaissé, et ceux que je connaissais m'ont oublié.
Crampon : 
Mes proches m’ont abandonné, mes intimes m’ont oublié.
Lausanne : 
mes proches ont disparu et mes connaissances m’oublient.
 
 
	
	
	
	
		| 15 | 
		Les hôtes de ma maison et mes servantes m'ont traité comme un étranger; je suis devenu un inconnu pour eux.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Je suis un étranger pour mes serviteurs et mes servantes, Je ne suis plus à leurs yeux qu`un inconnu.
Martin : 
Ceux qui demeuraient dans ma maison et mes servantes, m'ont tenu pour un inconnu, et m'ont réputé comme étranger.
Darby : 
Ceux qui séjournent dans ma maison et mes servantes me tiennent pour un étranger; je suis à leurs yeux comme un homme du dehors.
Crampon : 
Les hôtes de ma maison et mes servantes me traitent comme un étranger ; je suis un inconnu à leurs yeux.
Lausanne : 
Les gens qui séjournent chez moi et mes servantes m’estiment comme un étranger ; je suis devenu un inconnu à leurs yeux.
 
 
	
	
	
	
		| 16 | 
		J'ai appelé mon serviteur, il ne m'a pas répondu; de ma propre bouche, j'ai dû le supplier.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
J`appelle mon serviteur, et il ne répond pas; Je le supplie de ma bouche, et c`est en vain.
Martin : 
J'ai appelé mon serviteur, mais il ne m'a point répondu, quoique je l'aie supplié de ma propre bouche.
Darby : 
J'ai appelé mon serviteur, et il n'a pas répondu; de ma bouche je l'ai supplié.
Crampon : 
J’appelle mon serviteur, et il ne me répond pas ; je suis réduit à le supplier de ma bouche.
Lausanne : 
J’appelle mon esclave, et il ne répond pas, quand je le supplie de ma propre bouche.
 
 
	
	
	
	
		| 17 | 
		Mon haleine est insupportable à ma femme, et ma prière aux fils de ma mère.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Mon humeur est à charge à ma femme, Et ma plainte aux fils de mes entrailles.
Martin : 
Mon haleine est devenue odieuse à ma femme; quoique je la supplie par les enfants de mon ventre.
Darby : 
Mon haleine est étrangère à ma femme, et ma supplication, aux fils du sein de ma mère.
Crampon : 
Ma femme a horreur de mon haleine, je demande grâce aux fils de mon sein.
Lausanne : 
Mon haleine est importune à ma femme, et je dégoûte les{Ou et me supplications, aux fils.} fils du ventre qui m’a porté.
 
 
	
	
	
	
		| 18 | 
		Les petits enfants eux-mêmes me méprisent: si je veux me lever, ils parlent contre moi.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Je suis méprisé même par des enfants; Si je me lève, je reçois leurs insultes.
Martin : 
Même les petits me méprisent, et si je me lève ils parlent contre moi.
Darby : 
Même les petits enfants me méprisent; je me lève, et ils parlent contre moi.
Crampon : 
Les enfants eux-mêmes me méprisent ; si je me lève, ils me raillent.
Lausanne : 
Les petits enfants mêmes me méprisent ; si je veux me lever, ils parlent contre moi.
 
 
	
	
	
	
		| 19 | 
		Tous mes intimes m'ont en abomination, et ceux que j'aimais se sont tournés contre moi.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Ceux que j`avais pour confidents m`ont en horreur, Ceux que j`aimais se sont tournés contre moi.
Martin : 
Tous ceux à qui je déclarais mes secrets, m'ont en abomination; et tous ceux que j'aimais se sont tournés contre moi.
Darby : 
Tous les hommes de mon intimité m'ont en horreur, et ceux que j'aimais se sont tournés contre moi.
Crampon : 
Tous ceux qui étaient mes confidents m’ont en horreur, ceux que j’aimais se tournent contre moi.
Lausanne : 
Tous les gens de mon intimité m’ont en abomination, et ceux que j’ai aimés se tournent contre moi.
 
 
	
	
	
	
		| 20 | 
		Mes os se sont attachés à ma peau et à ma chair, et je me suis échappé avec la peau de mes dents.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Mes os sont attachés à ma peau et à ma chair; Il ne me reste que la peau des dents.
Martin : 
Mes os sont attachés à ma peau et à ma chair, et il ne me reste d'entier que la peau de mes dents.
Darby : 
Mes os s'attachent à ma peau et à ma chair, et j'ai échappé avec la peau de mes dents!
Crampon : 
Mes os sont attachés à ma peau et à ma chair, je me suis échappé avec la peau de mes dents.
Lausanne : 
Mes os sont attachés à ma peau et à ma chair, et j’échappe n’ayant que l’émail{Héb. avec la peau.} de mes dents.
 
 
	
	
	
	
		| 21 | 
		Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous, mes amis! Car la main de Dieu m'a frappé.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Ayez pitié, ayez pitié de moi, vous, mes amis! Car la main de Dieu m`a frappé.
Martin : 
Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous mes amis; car la main de Dieu m'a frappé.
Darby : 
Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous mes amis! car la main de +Dieu m'a atteint.
Crampon : 
Ayez pitié, ayez pitié de moi, vous du moins, mes amis, car la main de Dieu m’a frappé !
Lausanne : 
Ayez pitié de moi ! ayez pitié de moi, vous mes amis ! car la main de Dieu m’a frappé.
 
 
	
	
	
	
		| 22 | 
		Pourquoi me persécutez-vous comme Dieu, et ne pouvez-vous vous rassasier de ma chair?
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Pourquoi me poursuivre comme Dieu me poursuit? Pourquoi vous montrer insatiables de ma chair?
Martin : 
Pourquoi me poursuivez-vous comme le Dieu Fort me poursuit, sans pouvoir vous rassasier de ma chair?
Darby : 
Pourquoi, comme *Dieu, me poursuivez-vous et n'êtes-vous pas rassasiés de ma chair?
Crampon : 
Pourquoi me poursuivez-vous, comme Dieu me poursuit ? Pourquoi êtes-vous insatiables de ma chair ?
Lausanne : 
Pourquoi, comme le Dieu-Fort, voulez-vous me poursuivre et ne pouvez-vous vous rassasier de ma chair ?
 
 
	
	
	
	
		| 23 | 
		Oh! je voudrais que mes paroles fussent écrites quelque part! Je voudrais qu'elles fussent inscrites dans un livre;
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Oh! je voudrais que mes paroles fussent écrites, Qu`elles fussent écrites dans un livre;
Martin : 
Plût à Dieu que maintenant mes discours fussent écrits! Plût à Dieu qu'ils fussent gravés dans un livre;
Darby : 
Oh! si seulement mes paroles étaient écrites! si seulement elles étaient inscrites dans un livre,
Crampon : 
Oh ! Qui me donnera que mes paroles soient écrites ! Qui me donnera qu’elles soient consignées dans un livre,
Lausanne : 
Oh ! qui donc fera que mes discours soient écrits, qui fera qu’ils soient retracés dans un livre,
 
 
	
	
	
	
		| 24 | 
		Qu'avec un burin de fer et avec du plomb, elles fussent gravées sur le roc, pour toujours!
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Je voudrais qu`avec un burin de fer et avec du plomb Elles fussent pour toujours gravées dans le roc...
Martin : 
Avec une touche de fer, et sur du plomb, et qu'ils fussent taillés sur une pierre de roche à perpétuité!
Darby : 
Avec un style de fer et du plomb, et gravées dans le roc pour toujours!
Crampon : 
qu’avec un burin de fer et du plomb, elles soient pour toujours gravées dans le roc !
Lausanne : 
qu’avec un poinçon de fer et avec du plomb ils soient incrustés à jamais dans le roc !
 
 
	
	
	
	
		| 25 | 
		Pour moi, je sais que mon Rédempteur est vivant, qu'à la fin il se lèvera sur la terre,
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, Et qu`il se lèvera le dernier sur la terre.
Martin : 
Car je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu'il demeurera le dernier sur la terre.
Darby : 
Et moi, je sais que mon rédempteur est vivant, et que, le dernier, il sera debout sur la terre;
Crampon : 
Je sais que mon vengeur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la poussière.
Lausanne : 
Et moi, je sais que mon rédempteur est vivant, et qu’à la fin il se lèvera sur la poussière ;
 
 
	
	
	
	
		| 26 | 
		Et qu'après cette peau qui se détruit, et hors de ma chair, je verrai Dieu;
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Quand ma peau sera détruite, il se lèvera; Quand je n`aurai plus de chair, je verrai Dieu.
Martin : 
Et lorsqu'après ma peau ceci aura été rongé, je verrai Dieu de ma chair,
Darby : 
Et après ma peau, ceci sera détruit, et de ma chair je verrai +Dieu,
Crampon : 
Alors de ce squelette, revêtu de sa peau, de ma chair je verrai Dieu.
Lausanne : 
et quand, après ma peau, ceci sera détruit, alors [dépouillé] de ma chair, je contemplerai Dieu ;
 
 
	
	
	
	
		| 27 | 
		Moi, je le verrai, à moi propice; mes yeux le verront, et non un autre. Mes reins se consument en mon sein!
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Je le verrai, et il me sera favorable; Mes yeux le verront, et non ceux d`un autre; Mon âme languit d`attente au dedans de moi.
Martin : 
Je le verrai moi-même, et mes yeux le verront, et non un autre. Mes reins se consument dans mon sein.
Darby : 
Que je verrai, moi, pour moi-même; et mes yeux le verront, et non un autre: -mes reins se consument dans mon sein.
Crampon : 
Moi-même je le verrai ; mes yeux le verront, et non un autre ; mes reins se consument d’attente au-dedans de moi.
Lausanne : 
moi-même, je le contemplerai pour moi, et mes yeux le verront, non [ceux d’] un autre : [aussi] mes reins se consument dans mon sein.
 
 
	
	
	
	
		| 28 | 
		Si vous dites: Comment le poursuivrons-nous, et trouverons-nous en lui la cause de son malheur?
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Vous direz alors: Pourquoi le poursuivions-nous? Car la justice de ma cause sera reconnue.
Martin : 
Vous devriez plutôt dire: Pourquoi le persécutons-nous? puisque le fondement de mes paroles se trouve en moi.
Darby : 
Si vous dites: Comment le poursuivrons-nous? et que la racine de la chose se trouve en moi,
Crampon : 
Vous direz alors : « Pourquoi le poursuivions-nous ? » et la justice de ma cause sera reconnue.
Lausanne : 
Quand vous dites : Comment le poursuivrons-nous ? (pendant que le principe [qui décide] la cause{Héb. la racine de la chose.} se trouve chez moi !)
 
 
	
	
	
	
		| 29 | 
		Craignez l'épée pour vous-mêmes, car la fureur est un crime digne de l'épée, afin que vous sachiez qu'il y a un jugement.
 | 
	
	
	
	Louis Segond : 
Craignez pour vous le glaive: Les châtiments par le glaive sont terribles! Et sachez qu`il y a un jugement.
Martin : 
Ayez peur de l'épée; car la fureur avec laquelle vous me persécutez, est du nombre des iniquités qui attirent l'épée; c'est pourquoi sachez qu'il y a un jugement.
Darby : 
Tremblez pour vous-mêmes devant l'épée! car l'épée est l'instrument de la fureur contre les iniquités; afin que vous sachiez qu'il y a un jugement!
Crampon : 
Ce jour-là, craignez pour vous le glaive : terribles sont les vengeances du glaive ! Et vous saurez qu’il y a une justice.
Lausanne : 
tremblez pour vous devant l’épée ; car la fureur est une des iniquités que punit l’épée, afin que vous sachiez qu’il y a un jugement !