1 |
Reviens, reviens, ô Sulammithe ! reviens, reviens, que nous te contemplions ! Que contempleriez-vous dans la Sulammithe ? comme la danse de deux camps{Ou Pourquoi contempleriez-vous la Sulammithe comme la danse de deux chœurs.} |
Louis Segond :
Reviens, reviens, Sulamithe! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. -Qu`avez-vous à regarder la Sulamithe Comme une danse de deux choeurs?
Martin :
Fille de Prince, combien sont belles tes démarches, avec ta chaussure! Le tour de tes hanches est comme des colliers travaillés de la main d'un excellent ouvrier.
Ostervald :
Fille de prince, que tes pieds sont beaux dans ta chaussure! Le contour de tes hanches est comme un collier travaillé de la main d'un excellent ouvrier.
Darby :
Que tes pieds sont beaux dans ta chaussure, fille de prince! Les contours de tes hanches sont comme des joyaux, ouvrage des mains d'un artiste.
Crampon :
Reviens, reviens, Sulamite ? Reviens, reviens, afin que nous te regardions. Pourquoi regardez-vous la Sulamite, comme une danse de Machanaïm.
2 |
Que tes pas sont beaux dans ta chaussure, fille de prince ! Les contours de tes hanches sont comme des joyaux, ouvrage des mains d’un artiste. |
Louis Segond :
Que tes pieds sont beaux dans ta chaussure, fille de prince! Les contours de ta hanche sont comme des colliers, œuvre des mains d`un artiste.
Martin :
Ton nombril est comme une tasse ronde, toute comble de breuvage, ton ventre est comme un tas de blé entouré de muguet.
Ostervald :
Ton sein est une coupe arrondie, pleine d'un vin aromatisé; ton ventre est un tas de blé entouré de lis.
Darby :
Ton nombril est une coupe arrondie, où le vin aromatique ne manque pas; ton ventre, un tas de froment, entouré de lis.
Crampon :
Que tes pieds sont beaux dans tes sandales, fille de prince ! La courbure de tes reins est comme un collier, œuvre d’un artiste.
3 |
Ta taille est comme une urne arrondie, où ne manque pas le vin parfumé. Ton corps est un tas de froment entouré de lis. |
Louis Segond :
Ton sein est une coupe arrondie, Où le vin parfumé ne manque pas; Ton corps est un tas de froment, Entouré de lis.
Martin :
Tes deux mamelles sont comme deux faons jumeaux d'une chevrette.
Ostervald :
Tes deux mamelles sont comme deux faons jumeaux d'une gazelle.
Darby :
Tes deux seins sont comme deux faons jumeaux d'une gazelle.
Crampon :
Ton nombril est une coupe arrondie, où le vin aromatisé ne manque pas. Ton ventre est un monceau de froment, entouré de lis.
4 |
Tes deux seins sont comme deux faons jumeaux de gazelle. |
Louis Segond :
Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d`une gazelle.
Martin :
Ton cou est comme une tour d'ivoire; tes yeux sont comme les viviers qui sont en Hesbon, près de la porte de Bathrabbim; ton visage est comme la tour du Liban qui regarde vers Damas.
Ostervald :
Ton cou est comme une tour d'ivoire, tes yeux sont les viviers en Hesbon, près de la porte de Bath-Rabbim; ton visage est comme la tour du Liban, qui regarde vers Damas.
Darby :
Ton cou est comme une tour d'ivoire; tes yeux sont comme les étangs qui sont à Hesbon, vers la porte de Bath-Rabbim; ton nez est comme la tour du Liban, qui regarde vers Damas;
Crampon :
Tes deux seins sont comme deux faons, jumeaux d’une gazelle.
5 |
Ton cou est comme une tour d’ivoire ; tes yeux sont comme les étangs [qui sont] à Hesçbon, près de la porte de Bath-rabbim ; ton nez, comme la tour du Liban, qui regarde vers Damas. |
Louis Segond :
Ton cou est comme une tour d`ivoire; Tes yeux sont comme les étangs de Hesbon, Près de la porte de Bath Rabbim; Ton nez est comme la tour du Liban, Qui regarde du côté de Damas.
Martin :
Ta tête est sur toi comme du cramoisi, et les cheveux fins de ta tête sont comme de l'écarlate; Le Roi est attaché aux galeries pour te contempler.
Ostervald :
Ta tête est élevée comme le Carmel, et les cheveux de ta tête sont comme de l'écarlate. Un roi serait enchaîné par tes boucles.
Darby :
ta tête, sur toi, comme le Carmel, et les cheveux de ta tête comme la pourpre. Un roi est enchaîné par tes boucles.
Crampon :
Ton cou est comme une tour d’ivoire ; tes yeux sont comme les piscines d’Hésébon, près de la porte de cette ville populeuse. Ton nez est comme la Tour du Liban, qui surveille le côté de Damas.
6 |
Ta tête, sur toi, est comme le Carmel, et la chevelure flottante de ta tête, comme la pourpre. Le roi est enlacé dans ses [boucles] ruisselantes. |
Louis Segond :
Ta tête est élevée comme le Carmel, Et les cheveux de ta tête sont comme la pourpre; Un roi est enchaîné par des boucles!...
Martin :
Que tu es belle, et que tu es agréable, amour délicieuse!
Ostervald :
Que tu es belle, et que tu es agréable, mon amour et mes délices!
Darby :
Que tu es belle, et que tu es agréable, mon amour, dans tes délices!
Crampon :
Ta tête est posée sur toi comme le Carmel, la chevelure de ta tête est comme la pourpre rouge : un roi est enchaîné à ses boucles.
7 |
Que tu es belle, et que tu es agréable, ô [mon] amour, au milieu des délices ! |
Louis Segond :
Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices!
Martin :
Ta taille est semblable à un palmier, et tes mamelles à des grappes.
Ostervald :
Ta taille est semblable à un palmier, et tes mamelles à des grappes de raisins.
Darby :
Ta taille ressemble à un palmier, et tes seins à des grappes.
Crampon :
Que tu es belle, que tu es charmante,mon amour, au milieu des délices !
8 |
Ton port ressemble au palmier, et tes mamelles, à [ses] grappes. |
Louis Segond :
Ta taille ressemble au palmier, Et tes seins à des grappes.
Martin :
J'ai dit: Je monterai sur le palmier, et j'empoignerai ses branches? et tes mamelles me seront maintenant comme des grappes de vigne; et l'odeur de ton visage, comme l'odeur des pommes;
Ostervald :
J'ai dit: Je monterai sur le palmier, et je saisirai ses branches; que les mamelles soient pour moi comme des grappes de vigne, et le parfum de ton souffle comme l'odeur des pommes,
Darby :
J'ai dit: Je monterai sur le palmier, je saisirai ses rameaux; et que tes seins soient comme les grappes de la vigne, et le parfum de ton nez comme des pommes,
Crampon :
Ta taille ressemble au palmier, et tes seins à ses grappes.
9 |
J’ai dit : Je monterai au palmier, j’en saisirai les rameaux pendants. Et que tes mamelles soient donc comme les grappes de la vigne, et l’odeur de ton souffle comme celle des cédrats ; |
Louis Segond :
Je me dis: Je monterai sur le palmier, J`en saisirai les rameaux! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes,
Martin :
Et ton palais comme le bon vin qui coule en faveur de mon bien-aimé, et qui fait parler les lèvres des dormants.
Ostervald :
Et ton palais comme le bon vin qui coule en faveur de mon bien-aimé, et qui fait parler les lèvres de ceux qui dorment.
Darby :
et ton palais comme le bon vin,... Qui coule aisément pour mon bien-aimé, et qui glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment.
Crampon :
J’ai dit : je monterai au palmier, j’en saisirai les régimes. Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, le parfum de ton souffle comme celui des pommes,
10 |
et que ton palais soit comme un vin excellent coulant aisément{Ou comme il est juste.} pour mon bien-aimé, et se glissant entre les lèvres de ceux qui s’endorment. |
Louis Segond :
Et ta bouche comme un vin excellent,... -Qui coule aisément pour mon bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s`endorment!
Martin :
Je suis à mon bien-aimé, et son désir est vers moi.
Ostervald :
Je suis à mon bien-aimé, et son désir tend vers moi.
Darby :
Je suis à mon bien-aimé, et son désir se porte vers moi.
Crampon :
et ton palais comme un vin exquis !... Qui coule aisément pour mon bien-aimé, qui glisse sur les lèvres de ceux qui s’endorment.
11 |
Je suis à mon bien-aimé, et son désir se rapporte à moi. |
Louis Segond :
Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi.
Martin :
Viens, mon bien-aimé, sortons aux champs, passons la nuit aux villages.
Ostervald :
Viens, mon bien-aimé, sortons aux champs, passons la nuit aux villages.
Darby :
-Viens, mon bien-aimé, sortons aux champs, passons la nuit dans les villages.
Crampon :
Je suis à mon bien-aimé, et c’est vers moi qu’il porte ses désirs.
12 |
Viens, mon bien-aimé, sortons aux champs, passons la nuit dans les villages. |
Louis Segond :
Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages!
Martin :
Levons-nous dès le matin pour aller aux vignes, et voyons si la vigne est avancée, et si la grappe est formée, et si les grenadiers sont fleuris; là je te donnerai mes amours.
Ostervald :
Levons-nous le matin pour aller aux vignes; et voyons si la vigne est avancée, et si la grappe est formée, et si les grenadiers sont fleuris; c'est là que je te donnerai mes amours.
Darby :
Nous nous lèverons dès le matin, pour aller aux vignes; nous verrons si la vigne bourgeonne, si la fleur s'ouvre, si les grenadiers s'épanouissent: là je te donnerai mes amours.
Crampon :
Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, passons la nuit dans les villages.
13 |
Dès le matin nous irons aux vergers{Ou vignes.} nous verrons si la vigne a bourgeonné, si la fleur s’ouvre, si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mes amours. |
Louis Segond :
Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s`ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.
Martin :
Les mandragores jettent leur odeur, et à nos portes il y a de toutes sortes de fruits exquis, des fruits nouveaux, et des fruits gardés, que je t'ai conservés, ô mon bien-aimé.
Ostervald :
Les mandragores exhalent leur odeur, et à nos portes il y a de toutes sortes de fruits exquis, des fruits nouveaux et des anciens, que je t'ai gardés, ô mon bien-aimé!
Darby :
Les mandragores donnent leur parfum; et à nos portes il y a tous les fruits exquis, nouveaux et anciens: mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi!
Crampon :
Dès le matin nous irons aux vignes, nous verrons si la vigne bourgeonne, si les bourgeons se sont ouverts, si les grenadiers sont en fleurs ; là je te donnerai mon amour.
14 |
Les mandragores donnent leur odeur, et nous avons à nos portes tous les fruits exquis, de nouveaux et aussi d’anciens. Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi ! |
Louis Segond :
Les mandragores répandent leur parfum, Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens: Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.
Crampon :
Les mandragores font sentir leur parfum, et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, les nouveaux et aussi les vieux : mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.