Cantiques 2 Traduction Crampon


1 Je suis le narcisse de Saron,
le lis des vallées.



Louis Segond :

Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. -

Martin :

Je suis la rose de Saron, et le muguet des vallées.

Ostervald :

Je suis la rose de Saron et le lis des vallées.

Darby :

Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.

Lausanne :

Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.

2 Comme un lis au milieu des épines,
telle est mon amie parmi les jeunes filles.



Louis Segond :

Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. -

Martin :

Tel qu'est le muguet entre les épines, telle est ma grande amie entre les filles.

Ostervald :

Comme le lis au milieu des épines, telle est ma bien-aimée parmi les jeunes filles.

Darby :

Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles.

Lausanne :

Tel le lis entre les épines, telle est mon amie entre les [jeunes] filles.

3 Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt,
tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes.
J’ai désiré m’asseoir à son ombre,
et son fruit est doux à mon palais.


Louis Segond :

Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J`ai désiré m`asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.

Martin :

Tel qu'est le pommier entre les arbres d'une forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes; j'ai désiré son ombre, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais.

Ostervald :

Comme le pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes; j'ai désiré son ombrage, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais.

Darby :

Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils; j'ai pris plaisir à son ombre, et je m'y suis assise; et son fruit est doux à mon palais.

Lausanne :

Tel le cédrat{Ou le cognassier.} au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes{Héb. les fils.} J’ai désiré son ombre et je [m’y] suis assise, et son fruit est doux à mon palais.

4 Il m’a fait entrer dans son cellier,
et la bannière qu’il lève sur moi, c’est l’amour.


Louis Segond :

Il m`a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu`il déploie sur moi, c`est l`amour.

Martin :

Il m'a menée dans la salle du festin; et sa livrée, laquelle je porte, c'est AMOUR.

Ostervald :

Il m'a mené dans la salle du festin, et l'étendard qu'il lève sur moi, porte: AMOUR.

Darby :

Il m'a fait entrer dans la maison du vin; et sa bannière sur moi, c'est l'amour.

Lausanne :

Il m’a fait entrer dans la maison [l’on boit] le vin, et sa bannière, [déployée] sur moi, est amour.

5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin,
fortifiez-moi avec des pommes,
car je suis malade d’amour.


Louis Segond :

Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d`amour.

Martin :

Faites-moi revenir les forces avec les liqueurs; faites-moi un lit de pommes; car je me pâme d'amour.

Ostervald :

Ranimez-moi avec du raisin; fortifiez-moi avec des pommes, car je me pâme d'amour.

Darby :

avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes; car je suis malade d'amour.

Lausanne :

Soutenez-moi avec des gâteaux [de raisins], ranimez-moi avec des cédrats, car je suis malade d’amour.

6 Que sa main gauche soutienne ma tête,
et que sa droite me tienne embrassée.



Louis Segond :

Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m`embrasse! -

Martin :

Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse.

Ostervald :

Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse!

Darby :

Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite m'embrasse.

Lausanne :

Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse !

7 Je vous en conjure, filles de Jérusalem,
par les gazelles et les biches des champs,
n’éveillez pas, ne réveillez pas la bien-aimée,
avant qu’elle le veuille.


Louis Segond :

Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l`amour, Avant qu`elle le veuille. -

Martin :

Filles de Jérusalem, je vous adjure par les chevreuils et par les biches des champs, que vous ne réveilliez point celle que j'aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu'à ce qu'elle le veuille.

Ostervald :

Filles de Jérusalem, je vous adjure par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas celle que j'aime, avant qu'elle le veuille.

Darby :

Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n'éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, jusqu'à ce qu'elle le veuille.

Lausanne :

Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour jusqu’à ce qu’elle le veuille !

8 La voix de mon bien-aimé ! Voici qu’il vient,
bondissant sur les montagnes,
sautant sur les collines.


Louis Segond :

C`est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.

Martin :

C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautelant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux.

Ostervald :

C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux.

Darby :

La voix de mon bien-aimé! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.

Lausanne :

C’est la voix de mon bien-aimé ! Voici, c’est lui qui vient, franchissant les montagnes, sautant sur les collines.

9 Mon bien-aimé est semblable à la gazelle,
ou au faon des biches.
Le voici, il est derrière notre mur,
regardant par la fenêtre,
épiant par le treillis.


Louis Segond :

Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.

Martin :

Mon bien-aimé est semblable au chevreuil, ou au faon des biches; le voilà qui se tient derrière notre muraille; il regarde par les fenêtres, il se fait voir par les treillis.

Ostervald :

Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches; le voilà qui se tient derrière notre muraille; il regarde par les fenêtres, il s'avance par les treillis.

Darby :

Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regarde à travers les treillis.

Lausanne :

Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Voici, c’est lui qui se tient derrière notre paroi, contemplant par les fenêtres, lançant ses regards au travers des treillis.

10 Mon bien-aimé a pris la parole, il m’a dit :
" Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !


Louis Segond :

Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

Martin :

Mon bien-aimé a pris la parole, et m'a dit: Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t'en viens.

Ostervald :

Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens!

Darby :

Mon bien-aimé m'a parlé, et m'a dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

Lausanne :

Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens-t’en !

11 Car voici que l’hiver est fini ;
la pluie a cessé, elle a disparu.


Louis Segond :

Car voici, l`hiver est passé; La pluie a cessé, elle s`en est allée.

Martin :

Car voici, l'hiver est passé, la pluie est passée, elle s'en est allée.

Ostervald :

Car voici, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée;

Darby :

Car voici, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée;

Lausanne :

Car voici, l’hiver est passé ; la pluie a cessé, elle s’en est allée.

12 Les fleurs ont paru sur la terre,
le temps des chants est arrivé ;
la voix de la tourterelle s’est fait entendre dans nos campagnes ;


Louis Segond :

Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.

Martin :

Les fleurs paraissent en la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle a déjà été ouïe dans notre contrée.

Ostervald :

Les fleurs paraissent sur la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.

Darby :

les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s'entend dans notre pays;

Lausanne :

Les fleurs se montrent sur la terre ; la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre contrée{Héb. notre terre.}

13 le figuier pousse ses fruits naissants,
la vigne en fleur donne son parfum.
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !


Louis Segond :

Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

Martin :

Le figuier a poussé ses figons, et les vignes leurs grappes, et elles rendent de l'odeur. Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t'en viens.

Ostervald :

Le figuier a poussé ses premières figues, et les vignes ont des grappes et exhalent leur odeur. Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens!

Darby :

le figuier embaume ses figues d'hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

Lausanne :

Le figuier mûrit ses fruits d’hiver et les vignes en fleur exhalent leur odeur. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens-t’en !

14 Ma colombe, qui te tiens dans la fente du rocher,
dans l’abri des parois escarpées.
montre-moi ton visage,
fais-moi entendre ta voix ;
car ta voix est douce,
et ton visage charmant.


Louis Segond :

Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.

Martin :

Ma colombe, qui te tiens dans les fentes de la roche, dans les enfoncements des lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, fais-moi ouïr ta voix; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux.

Ostervald :

Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, et fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux.

Darby :

Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton visage est agréable.

Lausanne :

Ô ma colombe, [qui te tiens] dans les retraites du rocher, dans tes cachettes des lieux escarpées, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage est attrayant.

15 Prenez-nous les renards,
les petits renards,
qui ravagent les vignes,
car nos vignes sont en fleur. "


Louis Segond :

Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.

Martin :

Prenez-nous les renards, et les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont poussé des grappes.

Ostervald :

Prenez-nous les renards, les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont des grappes.

Darby :

-Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur.

Lausanne :

Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur.

16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ;
il fait paître son troupeau parmi les lis.


Louis Segond :

Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.

Martin :

Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; il paît son troupeau parmi les muguets.

Ostervald :

Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; il paît son troupeau parmi les lis.

Darby :

-Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui paît parmi les lis,

Lausanne :

Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il paît [son troupeau] parmi les lis.

17 Avant que vienne la fraîcheur du jour,
et que les ombres fuient,
reviens !... Sois semblable, mon bien-aimé,
à la gazelle ou au faon des biches,
sur les montagnes ravinées.



Louis Segond :

Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.

Martin :

Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres s'enfuient, retourne mon bien-aimé, et sois comme le chevreuil, ou le faon des biches, sur les montagnes entrecoupées.

Ostervald :

Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres fuient, reviens, mon bien-aimé, comme la gazelle, ou le faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent.

Darby :

jusqu'à ce que l'aube se lève et que les ombres fuient. -Tourne-toi; sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béther.

Lausanne :

Jusqu’à ce que le [vent du] jour souffle, et que les ombres fuient, reviens !... Sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes qui nous séparent{Ou coupées [de ravins].}


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