Rea` ou reya`
Rea` ou reya`:
1) ami, compagnon, camarade, une autre personne
1a) ami, un intime
1b) compagnon, l'autre
1c) autre, un autre (réciprocité)
Rea` ou reya`:
Ils se dirent l’un à l’autre (Rea` ou reya`) : Allons ! faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de ciment.
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Allons ! descendons, et là confondons leur langage, afin qu ’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres (Rea` ou reya`).
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Abram prit tous ces animaux, les coupa par le milieu, et mit chaque morceau l’un vis-à-vis de l’autre (Rea` ou reya`) ; mais il ne partagea point les oiseaux.
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On l’appelle aussi Mitspa, parce que Laban dit : Que l’Éternel veille sur toi et sur moi, quand nous nous serons l’un et l’autre (Rea` ou reya`) perdus de vue.
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Les jours s’écoulèrent, et la fille de Schua, femme de Juda, mourut. Lorsque Juda fut consolé, il monta à Thimna, vers ceux qui tondaient ses brebis, lui et son ami (Rea` ou reya`) Hira, l’Adullamite.
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Juda envoya le chevreau par son ami (Rea` ou reya`) l’Adullamite, pour retirer le gage des mains de la femme. Mais il ne la trouva point.
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Les frères de Joseph s’assirent en sa présence, le premier-né selon son droit d’aînesse, et le plus jeune selon son âge ; et ils se regardaient les uns les autres (Rea` ou reya`) avec étonnement.
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Il sortit le jour suivant ; et voici, deux Hébreux se querellaient . Il dit à celui qui avait tort : Pourquoi frappes-tu ton prochain (Rea` ou reya`) ?
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Parle au peuple, pour que chacun demande à son voisin (Rea` ou reya`) et chacune à sa voisine des vases d’argent et des vases d’or.
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Moïse sortit au-devant de son beau-père, il se prosterna, et il le baisa. Ils s’informèrent réciproquement (Rea` ou reya`) de leur santé, et ils entrèrent dans la tente de Moïse.
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Quand ils ont quelque affaire, ils viennent à moi ; je prononce entre eux (Rea` ou reya`) , et je fais connaître les ordonnances de Dieu et ses lois.
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Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain (Rea` ou reya`).
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Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain (Rea` ou reya`) ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain (Rea` ou reya`), ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain (Rea` ou reya`).
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Mais si quelqu’un agit méchamment contre son prochain (Rea` ou reya`), en employant la ruse pour le tuer, tu l’arracheras même de mon autel, pour le faire mourir.
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Si des hommes se querellent, et que l’un d’eux frappe l’autre (Rea` ou reya`) avec une pierre ou avec le poing, sans causer sa mort, mais en l’obligeant à garder le lit,
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Si le bœuf d’un homme frappe de ses cornes le bœuf d’un autre (Rea` ou reya`) homme, et que la mort en soit la suite, ils vendront le bœuf vivant et en partageront le prix ; ils partageront aussi le bœuf mort.
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Si un homme donne à un autre (Rea` ou reya`) de l’argent ou des objets à garder, et qu’on les vole dans la maison de ce dernier, le voleur fera une restitution au double, dans le cas où il serait trouvé.
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Si le voleur ne se trouve pas, le maître de la maison se présentera devant Dieu, pour déclarer qu’il n’a pas mis la main sur le bien de son prochain (Rea` ou reya`).
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Dans toute affaire frauduleuse concernant un bœuf, un âne, un agneau, un vêtement, ou un objet perdu, au sujet duquel on dira : C’est cela ! -la cause des deux parties ira jusqu’à Dieu ; celui que Dieu condamnera fera à son prochain (Rea` ou reya`) une restitution au double.
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Si un homme donne à un autre (Rea` ou reya`) un âne, un bœuf, un agneau, ou un animal quelconque à garder, et que l’animal meure, se casse un membre, ou soit enlevé, sans que personne l’ait vu,
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