Nabal
Nabal:
1) sot, imbécile, insensé, bouffon
Nabal:
Est-ce l’Éternel que vous en rendrez responsable, Peuple insensé (Nabal) et dépourvu de sagesse ? N’est-il pas ton père, ton créateur ? N’est-ce pas lui qui t’a formé, et qui t’a affermi ?
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Ils ont excité ma jalousie par ce qui n’est point Dieu, Ils m’ont irrité par leurs vaines idoles ; Et moi, j’exciterai leur jalousie par ce qui n’est point un peuple, Je les irriterai par une nation insensée (Nabal).
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Le roi fit une complainte sur Abner, et dit : Abner devait-il mourir comme meurt un criminel (Nabal) ?
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Où irais-je, moi, avec ma honte ? Et toi, tu serais comme l’un des infâmes (Nabal) en Israël. Maintenant, je te prie, parle au roi, et il ne s’opposera Pas à ce que je sois à toi.
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Mais Job lui répondit : Tu parles comme une femme insensée (Nabal). Quoi ! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! En tout cela Job ne pécha point par ses lèvres.
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Êtres vils (Nabal) et méprisés, On les repousse du pays.
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Au chef des chantres. De David. L’insensé (Nabal) dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! Ils se sont corrompus, ils ont commis des actions abominables ; Il n’en est aucun qui fasse le bien.
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Délivre-moi de toutes mes transgressions ! Ne me rends pas l’opprobre de l’insensé (Nabal) !
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Au chef des chantres. Sur la flûte. Cantique de David. L’insensé (Nabal) dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! Ils se sont corrompus, ils ont commis des iniquités abominables ; Il n’en est aucun qui fasse le bien.
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Souviens-toi que l’ennemi outrage l’Éternel, Et qu’un peuple insensé (Nabal) méprise ton nom !
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Lève-toi, ô Dieu ! défends ta cause ! Souviens-toi des outrages que te fait chaque jour l’insensé (Nabal) !
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Les paroles distinguées ne conviennent pas à un insensé (Nabal) ; Combien moins à un noble les paroles mensongères !
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Celui qui donne naissance à un insensé aura du chagrin ; Le père d’un fou (Nabal) ne peut pas se réjouir.
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Un esclave qui vient à régner, Un insensé (Nabal) qui est rassasié de pain,
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On ne donnera plus à l’insensé (Nabal) le nom de noble, Ni au fourbe celui de magnanime.
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Car l’insensé (Nabal) profère des folies, Et son cœur s’adonne au mal , Pour commettre l’impiété, Et dire des faussetés contre l’Éternel, Pour laisser à vide l’âme de celui qui a faim, Et enlever le breuvage de celui qui a soif.
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Comme une perdrix qui couve des œufs qu’elle n’a point pondus, Tel est celui qui acquiert des richesses injustement ; Au milieu de ses jours il doit les quitter, Et à la fin il n’est qu’un insensé (Nabal).
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Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Malheur aux prophètes insensés (Nabal), Qui suivent leur propre esprit et qui ne voient rien !
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