Gazaz (gaw-zaz')
Strong Hebreu 1494
Code : 1494
Mot :
Hebreu : גָּזַז Phonétique : (gaw-zaz')
Type : Verbe
Origine : Une racine primaire [parente de 01468]
Gazaz
Hebreu : גָּזַז Phonétique : (gaw-zaz')
Type : Verbe
Origine : Une racine primaire [parente de 01468]
Définition de
Gazaz:
1) tondre, faucher
1a) tondeur1b) être coupé, être détruit
Traduction Louis Segond :
tondre, tonte, tondeur, se raser, couper (la chevelure), moissonner; (15 fois)
tondre, tonte, tondeur, se raser, couper (la chevelure), moissonner; (15 fois)
Exemples de versets utilisant le mot
Gazaz:
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Tandis que Laban était allé tondre (Gazaz) ses brebis, Rachel déroba les théraphim de son père ;
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Les jours s’écoulèrent, et la fille de Schua, femme de Juda, mourut. Lorsque Juda fut consolé, il monta à Thimna, vers ceux qui tondaient (Gazaz) ses brebis, lui et son ami Hira, l’Adullamite.
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On en informa Tamar, et on lui dit : Voici ton beau-père qui monte à Thimna, pour tondre (Gazaz) ses brebis.
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Tu consacreras à l’Éternel, ton Dieu, tout premier-né mâle qui naîtra dans ton gros et dans ton menu bétail. Tu ne travailleras point avec le premier-né de ton bœuf, et tu ne tondras (Gazaz) point le premier-né de tes brebis.
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Il y avait à Maon un homme fort riche, possédant des biens à Carmel ; il avait trois mille brebis et mille chèvres, Et il se trouvait à Carmel pour la tonte (Gazaz) de ses brebis.
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David apprit au désert que Nabal tondait (Gazaz) ses brebis.
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Et maintenant, j’ai appris que tu as les tondeurs (Gazaz). Or tes bergers ont été avec nous ; nous ne leur avons fait aucun outrage, et rien ne leur a été enlevé pendant tout le temps qu’ils ont été à Carmel.
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Et je prendrais mon pain, mon eau, et mon bétail que j’ai tué pour mes tondeurs (Gazaz), et je les donnerais à des gens qui sont je ne sais d’où ?
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Deux ans après, comme Absalom avait les tondeurs (Gazaz) à Baal-Hatsor, près d’Ephraïm, il invita tous les fils du roi.
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Absalom alla vers le roi, et dit : Voici, ton serviteur a les tondeurs (Gazaz) ; que le roi et ses serviteurs viennent chez ton serviteur.
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Alors Job se leva, déchira son manteau, et se rasa (Gazaz) la tête ; puis, se jetant par terre, il se prosterna,
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Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent (Gazaz) ; Il n’a point ouvert la bouche.
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Coupe (Gazaz) ta chevelure, et jette-la au loin ; Monte sur les hauteurs, et prononce une complainte ! Car l’Éternel rejette Et repousse la génération qui a provoqué sa fureur.
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Rase-toi, coupe ta chevelure (Gazaz), A cause de tes enfants chéris ! Rends-toi chauve comme l’aigle, Car ils s’en vont en captivité loin de toi !
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Ainsi parle l’Éternel : Quoique intacts et nombreux, Ils seront moissonnés (Gazaz) et disparaîtront. Je veux t’humilier, Pour ne plus avoir à t’humilier...
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