Qiryah
Qiryah:
1) ville, cité
1a) en général
1b) d'une façon spécifique
1c) collective
1d) indéfinie
2) Kirjath (-Arba) : ville d'Arba
Qiryah:
Car il est sorti un feu de Hesbon, Une flamme de la ville (Qiryah) de Sihon ; Elle a dévoré Ar-Moab, Les habitants des hauteurs de l’Arnon.
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Depuis Aroër sur les bords du torrent de l’Arnon, et la ville qui est dans la vallée, jusqu’à Galaad, il n’y eut pas de ville (Qiryah) trop forte pour nous : l’Éternel, notre Dieu, nous livra tout.
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Nous prîmes alors toutes ses villes, et il n’y en eut pas une (Qiryah) qui ne tombât en notre pouvoir : soixante villes, toute la contrée d’Argob, le royaume d’Og en Basan.
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On donna à Caleb, fils de Jephunné, une part au milieu des fils de Juda, comme l’Éternel l’avait ordonné à Josué ; on lui donna Kirjath (Qiryah)-Arba, qui est Hébron : Arba était le père d’Anak.
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Ils leur donnèrent Kirjath (Qiryah)-Arba, qui est Hébron, dans la montagne de Juda, et la banlieue qui l’entoure : Arba était le père d’Anak.
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Ce bruit fut entendu d’Adonija et de tous les conviés qui étaient avec lui, au moment où ils finissaient de manger. Joab, entendant le son de la trompette, dit : Pourquoi ce bruit de la ville (Qiryah) en tumulte ?
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Le sacrificateur Tsadok et Nathan le prophète l’ont oint pour roi à Guihon. De là ils sont remontés en se livrant à la joie, et la ville (Qiryah) a été émue : c’est là le bruit que vous avez entendu.
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Il se rit du tumulte des villes (Qiryah), Il n’entend pas les cris d’un maître.
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Belle est la colline, joie de toute la terre, la montagne de Sion ; Le côté septentrional, c’est la ville (Qiryah) du grand roi.
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La fortune est pour le riche une ville (Qiryah) forte ; La ruine des misérables, c’est leur pauvreté.
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Quand les justes sont heureux, la ville (Qiryah) est dans la joie ; Et quand les méchants périssent , on pousse des cris d’allégresse.
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La fortune est pour le riche une ville (Qiryah) forte ; Dans son imagination, c’est une haute muraille.
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Des frères sont plus intraitables qu’une ville (Qiryah) forte, Et leurs querelles sont comme les verrous d’un palais.
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Les moqueurs soufflent le feu dans la ville (Qiryah), Mais les sages calment la colère.
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Quoi donc ! la cité (Qiryah) fidèle est devenue une prostituée ! Elle était remplie d’équité , la justice y habitait, Et maintenant il y a des assassins !
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Je rétablirai tes juges tels qu’ils étaient autrefois, Et tes conseillers tels qu’ils étaient au commencement. Après cela, on t’appellera ville de la justice, Cité (Qiryah) fidèle.
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Ville bruyante, pleine de tumulte, Cité (Qiryah) joyeuse ! Tes morts ne périront pas par l’épée, Ils ne mourront pas en combattant.
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La ville (Qiryah) déserte est en ruines ; Toutes les maisons sont fermées, on n’y entre plus.
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Car tu as réduit la ville en un monceau de pierres, La cité (Qiryah) forte en un tas de ruines ; La forteresse des barbares est détruite, Jamais elle ne sera rebâtie.
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C’est pourquoi les peuples puissants te glorifient, Les villes (Qiryah) des nations puissantes te craignent.
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