'ebel (ay'-bel)

Strong Hebreu 60

Code : 60     Mot : 'ebel
Hebreu : אֵ֫בֶל     Phonétique : (ay'-bel)

Type : Nom masculin
Origine : Vient de 056


Définition de 'ebel :

1) deuil
1a) pour la mort
1b) à cause de certains rites (métaphorique)
1c) vêtement de deuil
1d) période de deuil



Traduction Louis Segond :
deuil, désolation, gémissement; (24 fois)


Exemples de versets utilisant le mot 'ebel :
Esaü conçut de la haine contre Jacob, à cause de la bénédiction dont son père l’avait béni ; et Esaü disait en son cœur : Les jours du deuil ('ebel) de mon père vont approcher, et je tuerai Jacob, mon frère.
Arrivés à l’aire d’Athad, qui est au delà du Jourdain, ils firent entendre de grandes et profondes lamentations ; et Joseph fit en l’honneur de son père un deuil  ('ebel) de sept jours.
Les habitants du pays, les Cananéens, furent témoins de ce deuil ('ebel) dans l’aire d’Athad, et ils dirent : Voilà un grand deuil ('ebel) parmi les Egyptiens ! C’est pourquoi l’on a donné le nom d’Abel-Mitsraïm à cette aire qui est au delà du Jourdain.
Les enfants d’Israël pleurèrent Moïse pendant trente jours, dans les plaines de Moab ; et ces jours de pleurs et de deuil ('ebel) sur Moïse arrivèrent à leur terme.
Quand le deuil ('ebel) fut passé, David l’envoya chercher et la recueillit dans sa maison. Elle devint sa femme, et lui enfanta un fils. Ce que David avait fait déplut à l’Éternel.
Il envoya chercher à Tekoa une femme habile, et il lui dit : Montre-toi désolée, et revêts des habits de deuil ('ebel) ; ne t’oins pas d’huile, et sois comme une femme qui depuis longtemps pleure un mort.
Et la victoire, ce jour-là, fut changée en deuil ('ebel) pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire : Le roi est affligé à cause de son fils.
Dans chaque province, partout où arrivaient l’ordre du roi et son édit, il y eut une grande désolation ('ebel) parmi les Juifs ; ils jeûnaient, pleuraient et se lamentaient, et beaucoup se couchaient sur le sac et la cendre.
comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et leur désolation ('ebel) en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l’on s’envoie des portions les uns aux autres et où l’on distribue des dons aux indigents.
Ma harpe n’est plus qu’un instrument de deuil ('ebel), Et mon chalumeau ne peut rendre que des sons plaintifs .
Mieux vaut aller dans une maison de deuil ('ebel) que d’aller dans une maison  de festin ; car c’est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à cœur .
Le cœur des sages est dans la maison de deuil ('ebel), et le cœur des insensés dans la maison de joie.
Ton soleil ne se couchera plus, Et ta lune ne s’obscurcira plus ; Car l’Éternel sera ta lumière à toujours, Et les jours de ton deuil ('ebel) seront passés.
Pour accorder aux affligés de Sion, Pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, Une huile de joie au lieu du deuil ('ebel), Un vêtement de louange au lieu d’un esprit abattu, Afin qu’on les appelle des térébinthes de la justice, Une plantation de l’Éternel, pour servir à sa gloire .
Fille de mon peuple, couvre-toi d’un sac et roule-toi dans la cendre, Prends le deuil ('ebel) comme pour un fils unique, Verse des larmes, des larmes amères ! Car le dévastateur vient sur nous à l’improviste.
On ne rompra pas le pain dans le deuil ('ebel) Pour consoler quelqu’un au sujet d’un mort, Et l’on n’offrira pas la coupe de consolation Pour un père ou pour une mère.
Alors les jeunes filles se réjouiront  à la danse, Les jeunes hommes et les vieillards se réjouiront aussi ; Je changerai leur deuil ('ebel) en allégresse, et je les consolerai ; Je leur donnerai de la joie après leurs chagrins.
La joie a disparu de nos cœurs, Le deuil ('ebel) a remplacé nos danses.
Soupire en silence, ne prends pas le deuil ('ebel) des morts, attache ton turban, mets ta chaussure à tes pieds, ne te couvre pas la barbe, et ne mange pas le pain des autres.
C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel, le Dieu des armées, le Seigneur ; Dans toutes les places on se lamentera, Dans toutes les rues on dira : Hélas ! hélas ! On appellera le laboureur au deuil ('ebel), Et aux lamentations ceux qui disent des complaintes.




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