Merkabah
Merkabah:
1) char
Merkabah:
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Il le fit monter sur le char (Merkabah) qui suivait le sien ; et l’on criait devant lui : A genoux ! C’est ainsi que Pharaon lui donna le commandement de tout le pays d’Egypte.
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Joseph attela son char (Merkabah) et y monta, pour aller en Gosen, à la rencontre d’Israël, son père. Dès qu’il le vit, il se jeta à son cou, et pleura longtemps sur son cou.
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Il ôta les roues de leurs chars (Merkabah) et en rendit la marche difficile. Les Egyptiens dirent alors : Fuyons devant Israël, car l’Éternel combat pour lui contre les Egyptiens.
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Il a lancé dans la mer les chars (Merkabah) de Pharaon et son armée ; Ses combattants d’élite ont été engloutis dans la mer Rouge.
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L’Éternel dit à Josué : Ne les crains point, car demain, à ce moment-ci, je les livrerai tous frappés devant Israël. Tu couperas les jarrets à leurs chevaux, et tu brûleras au feu leurs chars (Merkabah).
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Josué les traita comme l’Éternel lui avait dit ; il coupa les jarrets à leurs chevaux, et il brûla leurs chars (Merkabah) au feu.
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L’Éternel mit en déroute devant Barak, par le tranchant de l’épée, Sisera, tous ses chars et tout le camp. Sisera descendit de son char (Merkabah), et s’enfuit à pied.
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Par la fenêtre, à travers le treillis, La mère de Sisera regarde, et s’écrie : Pourquoi son char tarde-t-il à venir ? Pourquoi ses chars (Merkabah) vont-ils si lentement ?
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Il dit : Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars (Merkabah) et parmi ses cavaliers, afin qu’ils courent devant son char (Merkabah) ;
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Après cela, Absalom se procura un char (Merkabah) et des chevaux, et cinquante hommes qui couraient devant lui.
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Les roues étaient faites comme celles d’un char (Merkabah). Leurs essieux, leurs jantes, leurs rais et leurs moyeux, tout était de fonte.
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un char (Merkabah) montait et sortait d’Egypte pour six cents sicles d’argent, et un cheval pour cent cinquante sicles. Ils en amenaient de même avec eux pour tous les rois des Héthiens et pour les rois de Syrie.
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Alors le roi Roboam envoya Adoram, qui était préposé aux impôts. Mais Adoram fut lapidé par tout Israël, et il mourut. Et le roi Roboam se hâta de monter sur un char (Merkabah), pour s’enfuir à Jérusalem.
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Ces hommes tirèrent de là un bon augure, et ils se hâtèrent de le prendre au mot et de dire : Ben-Hadad est ton frère ! Et il dit : Allez, amenez-le. Ben-Hadad vint vers lui, et Achab le fit monter sur son char (Merkabah).
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Le combat devint acharné ce jour-là. Le roi fut retenu dans son char (Merkabah) en face des Syriens, et il mourut le soir. Le sang de la blessure coula dans l’intérieur du char.
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Et Guéhazi courut après Naaman. Naaman, le voyant courir après lui, descendit de son char (Merkabah) pour aller à sa rencontre, et dit : Tout va-t-il bien ?
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Mais Elisée lui dit : Mon esprit n’était pas absent, lorsque cet homme a quitté son char (Merkabah) pour venir à ta rencontre. Est-ce le temps de prendre de l’argent et de prendre des vêtements, puis des oliviers, des vignes, des brebis, des bœufs, des serviteurs et des servantes ?
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Achazia, roi de Juda, ayant vu cela, s’enfuit par le chemin de la maison du jardin. Jéhu le poursuivit, Et dit : Lui aussi, frappez-le sur le char (Merkabah) ! Et on le frappa à la montée de Gur, près de Jibleam. Il se réfugia à Meguiddo , et il y mourut.
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Etant parti de là, il rencontra Jonadab, fils de Récab, qui venait au-devant de lui. Il le salua, et lui dit : Ton cœur est-il sincère, comme mon cœur l’est envers le tien ? Et Jonadab répondit : Il l’est. S’il l’est, répliqua Jéhu, donne -moi ta main. Jonadab lui donna la main. Et Jéhu le fit monter auprès de lui dans son char (Merkabah),
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Il fit disparaître de l’entrée de la maison de l’Éternel les chevaux que les rois de Juda avaient consacrés au soleil, près de la chambre de l’eunuque Nethan-Mélec, qui demeurait dans le faubourg ; et il brûla au feu les chars (Merkabah) du soleil.
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