Mediynah (med-ee-naw')

Strong Hebreu 4082

Code : 4082     Mot : Mediynah
Hebreu : מְדִינָה     Phonétique : (med-ee-naw')

Type : Nom féminin
Origine : Vient de 01777


Définition de Mediynah :

1) province, district
1a) état



Traduction Louis Segond :
province (43 fois), état (1 fois); (44 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Mediynah :
Achab dit : Par qui ? Et il répondit : Ainsi parle l’Éternel : Par les serviteurs des chefs des provinces (Mediynah). Achab dit : Qui engagera le combat ? Et il répondit : Toi.
Alors Achab passa en revue les serviteurs des chefs des provinces (Mediynah), et il s’en trouva deux cent trente-deux ; et après eux, il passa en revue tout le peuple, tous les enfants d’Israël, et ils étaient sept mille.
Les serviteurs des chefs des provinces (Mediynah) sortirent les premiers. Ben-Hadad s’informa, et on lui fit ce rapport : Des hommes sont sortis de Samarie.
Lorsque les serviteurs des chefs des provinces (Mediynah) et l’armée qui les suivait furent sortis de la ville,
Voici ceux de la province (Mediynah) qui revinrent de l’exil, ceux que Nebucadnetsar, roi de Babylone, avait emmenés captifs à Babylone, et qui retournèrent à Jérusalem et en Juda, chacun dans sa ville.
Ils me répondirent : Ceux qui sont restés de la captivité sont là dans la province (Mediynah), au comble du malheur et de l’opprobre ; les murailles de Jérusalem sont en ruines, Et ses portes sont consumées par le feu.
Voici ceux de la province (Mediynah) qui revinrent de l’exil, ceux que Nebucadnetsar, roi de Babylone, avait emmenés captifs, et qui retournèrent à Jérusalem et en Juda, chacun dans sa ville.
Voici les chefs de la province (Mediynah) qui s’établirent à Jérusalem. Dans les villes de Juda , chacun s’établit dans sa propriété, dans sa ville, Israël, les sacrificateurs et les Lévites , les Néthiniens, et les fils des serviteurs de Salomon.
C’était du temps d’Assuérus, de cet Assuérus qui régnait depuis l’Inde jusqu’en Ethiopie  sur cent vingt-sept provinces (Mediynah) ;
La troisième année de son règne, il fit un festin à tous ses princes  et à ses serviteurs ; les commandants de l’armée des Perses et des Mèdes, les grands et les chefs des provinces (Mediynah) furent réunis en sa présence.
Memucan répondit devant le roi et les princes : Ce n’est pas seulement à l’égard du roi  que la reine Vasthi a mal agi ; c’est aussi envers tous les princes et tous les peuples qui sont dans toutes les provinces (Mediynah) du roi Assuérus.
Il envoya des lettres à toutes les provinces (Mediynah) du royaume, à chaque province (Mediynah) selon son écriture et à chaque peuple selon sa langue ; elles portaient que tout homme devait être le maître dans sa maison, et qu’il parlerait la langue de son peuple.
que le roi établisse dans toutes les provinces (Mediynah) de son royaume des commissaires chargés de rassembler toutes les jeunes filles, vierges et belles de figure, à Suse, la capitale, dans la maison des femmes, sous la surveillance d’Hégué, Eunuque du roi et gardien des femmes, qui leur donnera les choses nécessaires pour leur toilette ;
Le roi donna un grand festin à tous ses princes et à ses serviteurs, un festin en l’honneur d’Esther ; il accorda du repos aux provinces (Mediynah), et fit des présents  avec une libéralité royale.
Alors Haman dit au roi Assuérus : Il y a dans toutes les provinces (Mediynah) de ton royaume un peuple dispersé et à part parmi les peuples, ayant des lois différentes de celles de tous les peuples et n’observant point les lois du roi. Il n’est pas dans l’intérêt  du roi de le laisser en repos.
Les secrétaires du roi furent appelés le treizième jour du premier mois, Et l’on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Haman, aux satrapes du roi, aux gouverneurs de chaque province (Mediynah) et aux chefs de chaque peuple, à chaque province (Mediynah) selon son écriture et à chaque peuple selon sa langue. Ce fut au nom du roi Assuérus que l’on écrivit, et on scella  avec l’anneau du roi.
Les lettres furent envoyées par les courriers dans toutes les provinces (Mediynah) du roi, pour qu’on détruisît, qu’on tuât et qu’on fît périr tous les Juifs, jeunes et vieux, petits enfants et femmes, en un seul jour, le treizième du douzième mois, qui est le mois d’Adar, et pour que leurs biens fussent livrés au pillage.
Ces lettres renfermaient une copie de l’édit qui devait être publié dans chaque province (Mediynah), et invitaient tous les peuples à se tenir prêts pour ce jour-là.
Dans chaque province (Mediynah), partout où arrivaient l’ordre du roi et son édit, il y eut une grande désolation parmi les Juifs ; ils jeûnaient, pleuraient et se lamentaient, et beaucoup se couchaient sur le sac et la cendre.
Tous les serviteurs du roi et le peuple des provinces (Mediynah) du roi savent qu’il existe une loi portant peine de mort contre quiconque, homme ou femme, entre chez le roi , dans la cour intérieure, sans avoir été appelé ; celui-là seul a la vie sauve, à qui le roi tend le sceptre d’or. Et moi, je n’ai point été appelée auprès du roi depuis trente jours.




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