Zuw:
1) ce, cet, tel
2) (de) qui
Zuw:
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Par ta miséricorde tu as conduit, (Zuw) Tu as délivré ce peuple ; Par ta puissance tu le diriges Vers la demeure de ta sainteté.
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La crainte et la frayeur les surprendront ; Par la grandeur de ton bras Ils deviendront muets comme une pierre, Jusqu’à ce que ton peuple soit passé, ô Éternel ! Jusqu’à ce qu’il soit passé, Le peuple que (Zuw) tu as acquis.
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Les nations tombent dans la fosse qu’elles ont faite, Leur pied se prend au filet qu (Zuw)’elles ont caché.
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Le méchant dans son orgueil poursuit les malheureux, Ils sont victimes des trames qu (Zuw)’il a conçues.
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Toi, Éternel ! tu les garderas, Tu les préserveras de cette (Zuw) race à jamais.
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Contre les méchants qui (Zuw) me persécutent, Contre mes ennemis acharnés qui m’enveloppent.
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Tu me feras sortir du filet qu (Zuw)’ils m’ont tendu ; Car tu es mon protecteur.
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Je t’instruirai et te montrerai la voie que (Zuw) tu dois suivre ; Je te conseillerai, j’aurai le regard sur toi.
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Dieu a parlé une fois ; Deux fois j’ai entendu ceci (Zuw) : C’est que la force est à Dieu.
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Ton Dieu ordonne que tu sois puissant ; Affermis, ô Dieu, ce (Zuw) que tu as fait pour nous !
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Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où (Zuw) je marche Ils m’ont tendu un piège.
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Fais-moi dès le matin entendre ta bonté ! Car je me confie en toi. Fais-moi connaître le chemin où (Zuw) je dois marcher ! Car j’élève à toi mon âme.
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Qui a livré Jacob au pillage, Et Israël aux pillards ? N’est-ce pas l’Éternel ? Nous avons péché contre lui (Zuw). Ils n’ont point voulu marcher dans ses voies, Et ils n’ont point écouté sa loi.
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(Zuw) Le peuple que je me suis formé Publiera mes louanges.
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Alors son ardeur redouble, Il poursuit sa marche, et il se rend coupable. Sa force à lui (Zuw), voilà son dieu !
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