Hown:
1) richesse, substance
1a) fortune
1b) prix, grande valeurinterj
2) assez!, cela suffit
Hown:
Tu vends ton peuple pour rien (Hown), Tu ne l’estimes pas à une grande valeur.
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Il a dans sa maison bien-être (Hown) et richesse, Et sa justice subsiste à jamais.
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Je me réjouis en suivant tes préceptes, Comme si je possédais tous les trésors (Hown).
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Nous trouverons toute sorte de biens (Hown) précieux, Nous remplirons de butin nos maisons ;
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Honore l’Éternel avec tes biens (Hown), Et avec les prémices de tout ton revenu :
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Si on le trouve, il fera une restitution au septuple, Il donnera tout ce qu’il a (Hown) dans sa maison.
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Avec moi sont la richesse et la gloire, Les biens (Hown) durables et la justice.
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La fortune (Hown) est pour le riche une ville forte ; La ruine des misérables, c’est leur pauvreté.
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Au jour de la colère, la richesse (Hown) ne sert à rien ; mais la justice délivre de la mort.
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Le paresseux ne rôtit pas son gibier ; Mais le précieux trésor (Hown) d’un homme, c’est l’activité.
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Tel fait le riche et n’a rien du tout, Tel fait le pauvre et a de grands biens (Hown).
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La richesse (Hown) mal acquise diminue, Mais celui qui amasse peu à peu l’augmente.
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La fortune (Hown) est pour le riche une ville forte ; Dans son imagination, c’est une haute muraille.
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La richesse (Hown) procure un grand nombre d’amis, Mais le pauvre est séparé de son ami.
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On peut hériter de ses pères une maison et des richesses (Hown), Mais une femme intelligente est un don de l’Éternel.
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C’est par la science que les chambres se remplissent De tous les biens (Hown) précieux et agréables.
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Celui qui augmente ses biens (Hown) par l’intérêt et l’usure Les amasse pour celui qui a pitié des pauvres.
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Un homme envieux a hâte de s’enrichir (Hown), Et il ne sait pas que la disette viendra sur lui.
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Un homme qui aime la sagesse réjouit son père, Mais celui qui fréquente des prostituées dissipe son bien (Hown).
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La sangsue a deux filles : Donne ! donne ! Trois choses sont insatiables, Quatre ne disent jamais : Assez (Hown) !
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