Bekiy
Bekiy:
1) pleurer, ses pleurs, écoulement de larmes
Bekiy:
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Il éleva la voix, en pleurant (Bekiy). Les Egyptiens l’entendirent, et la maison de Pharaon l’entendit.
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Les enfants d’Israël pleurèrent Moïse pendant trente jours, dans les plaines de Moab ; et ces jours de pleurs (Bekiy) et de deuil sur Moïse arrivèrent à leur terme.
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Le peuple vint à Béthel, et il y resta devant Dieu jusqu’au soir. Ils élevèrent la voix, ils versèrent d’abondantes larmes (Bekiy),
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Comme il achevait de parler, voici, les fils du roi arrivèrent . Ils élevèrent la voix, et pleurèrent ; le roi aussi et tous ses serviteurs versèrent d’abondantes larmes (Bekiy).
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O Éternel ! souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cœur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux ! Et Ezéchias répandit d’abondantes larmes (Bekiy).
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en sorte qu’on ne pouvait distinguer le bruit des cris de joie d’avec le bruit des pleurs (Bekiy) parmi le peuple, car le peuple poussait de grands cris dont le son s’entendait au loin.
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Dans chaque province, partout où arrivaient l’ordre du roi et son édit, il y eut une grande désolation parmi les Juifs ; ils jeûnaient, pleuraient (Bekiy) et se lamentaient, et beaucoup se couchaient sur le sac et la cendre.
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Les pleurs (Bekiy) ont altéré mon visage ; L’ombre de la mort est sur mes paupières.
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Il arrête l’écoulement (Bekiy) des eaux, Et il produit à la lumière ce qui est caché.
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Eloignez-vous de moi, vous tous qui faites le mal ! Car l’Éternel entend la voix de mes larmes (Bekiy) ;
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Car sa colère dure un instant, Mais sa grâce toute la vie ; le soir arrivent les pleurs (Bekiy), Et le matin l’allégresse.
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Je mange la poussière au lieu de pain, Et je mêle des larmes (Bekiy) à ma boisson,
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On monte au temple et à Dibon, Sur les hauts lieux, pour pleurer (Bekiy) ; Moab est en lamentations, sur Nebo et sur Médeba : Toutes les têtes sont rasées, Toutes les barbes sont coupées.
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Dans les rues, ils sont couverts de sacs ; Sur les toits et dans les places, Tout gémit et fond en larmes (Bekiy).
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Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu’à Tsoar, Jusqu’à Eglath -Schelischija ; Car ils font, en pleurant (Bekiy), la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm ;
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Aussi je pleure sur la vigne de Sibma, comme (Bekiy) sur Jaezer ; Je vous arrose de mes larmes, Hesbon, Elealé ! Car sur votre récolte et sur votre moisson Est venu fondre un cri de guerre.
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C’est pourquoi je dis : Détournez de moi les regards, Laissez-moi pleurer (Bekiy) amèrement ; N’insistez pas pour me consoler Du désastre de la fille de mon peuple.
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Le Seigneur, l’Éternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer (Bekiy) et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac.
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O Éternel ! souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cœur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux ! Et Ezéchias répandit d’abondantes larmes (Bekiy).
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Je ferai de Jérusalem mon allégresse, Et de mon peuple ma joie ; On n’y entendra plus Le bruit des pleurs (Bekiy) et le bruit des cris.
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