1 |
Or donc, bien-aimez, puis que nous avons de telles promesses, nettoyons-nous de toute soüilleure de chair et d’esprit, achevans la sanctification en la crainte de Dieu. |
Louis Segond :
Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l`esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
Martin :
Or donc mes bien-aimés, puisque nous avons de telles promesses, nettoyons-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit perfectionnant la sanctification en la crainte de Dieu.
Ostervald :
Ayant donc, bien-aimés, de telles promesses, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
Darby :
Ayant donc ces promesses, bien-aimés, Purifions-nous nous-mêmes de toute souillure de chair et d'esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu.
Crampon :
Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, et achevons l’œuvre de notre sainteté dans la crainte de Dieu.
Lausanne :
Ayant donc ces promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, achevant [notre] sainteté dans la crainte de Dieu.
2 |
Recevez-nous: nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons pillé personne. |
Louis Segond :
Donnez-nous une place dans vos coeurs! Nous n`avons fait tort à personne, nous n`avons ruiné personne, nous n`avons tiré du profit de personne.
Martin :
Recevez-nous, nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons corrompu personne, nous n'avons pillé personne.
Ostervald :
Recevez-nous, nous n'avons fait tort à personne; nous n'avons nui à personne; nous n'avons trompé personne.
Darby :
Recevez-nous: nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous ne nous sommes enrichis aux dépens de personne.
Crampon :
Recevez-nous. Nous n’avons fait de tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne.
Lausanne :
Comprenez-nous : nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons fait notre profit de personne.
3 |
Je ne dis point ceci à vostre condamnation: car j’ai dit ci-devant que vous estes en nos coeurs à mourir et à vivre ensemble. |
Louis Segond :
Ce n`est pas pour vous condamner que je parle de la sorte; car j`ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la vie et à la mort.
Martin :
Je ne dis point ceci pour vous condamner: car je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à mourir et à vivre ensemble.
Ostervald :
Je ne dis pas cela pour vous condamner; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs, pour mourir ensemble et pour vivre ensemble.
Darby :
Je ne dis pas ceci pour vous condamner, car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à mourir ensemble et à vivre ensemble.
Crampon :
Ce n’est pas pour vous condamner que je dis cela, car je viens de le dire : vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie.
Lausanne :
Je ne parle pas pour [vous] condamner, car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir ensemble et à vivre ensemble.
4 |
J’ai une grande liberté en vostre endroit, j’ai grandement dequoi me glorifier de vous: je suis rempli de consolation, je suis plein de joye tant et plus en toute nostre affliction. |
Louis Segond :
J`ai une grande confiance en vous, j`ai tout sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations.
Martin :
J'ai une grande liberté envers vous, j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis plein de joie dans toute notre affliction.
Ostervald :
J'ai une grande assurance avec vous; j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions.
Darby :
Ma franchise est grande envers vous, je me glorifie grandement de vous; je suis rempli de consolation; ma joie surabonde au milieu de toute notre affliction.
Crampon :
Je vous parle en toute franchise, j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie au milieu de toutes nos tribulations.
Lausanne :
J’ai une grande assurance dans mes rapports avec vous ; j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation ; j’ai surabondance de joie dans toute notre tribulation.
5 |
Car nous estans venus en Macedone, nostre chair n’a eu aucune relasche; au contraire nous avons en toutes façons esté affligez: combats au dehors, craintes au dedans. |
Louis Segond :
Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n`eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière: luttes au dehors, craintes au dedans.
Martin :
Car après être venus en Macédoine, notre chair n'a eu aucun relâche, mais nous avons été affligés en toutes manières; ayant eu des combats au-dehors, et des craintes au-dedans.
Ostervald :
Car, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n'a eu aucun repos, au contraire, nous avons été affligés en toutes manières, par des combats au-dehors, et des craintes au-dedans.
Darby :
Car aussi, lorsque nous arrivâmes en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos, mais nous fûmes affligés en toute manière: au dehors, des combats; au dedans, des craintes.
Crampon :
Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : au dehors des combats, au dedans des craintes.
Lausanne :
Car, après que nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n’a eu aucun soulagement, mais nous avons été de toute manière pressés par la tribulation : au-dehors, des combats ; au-dedans, des craintes.
6 |
Mais Dieu qui console les abbatus, nous a consolez par la venuë de Tite. |
Louis Segond :
Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l`arrivée de Tite,
Martin :
Mais Dieu qui console les abattus, nous a consolés par la venue de Tite.
Ostervald :
Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite;
Darby :
Mais celui qui console ceux qui sont abaissés, Dieu, nous a consolés par la venue de Tite,
Crampon :
Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l’arrivée de Tite ;
Lausanne :
Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l’arrivée de Tite ;
7 |
Et non seulement par sa venuë, mais aussi par la consolation de laquelle il a esté consolé en vous: nous racontant vostre grand desir, vostre pleur, vostre affection ardente envers moi: en sorte que je m’en suis tant et plus éjoüi. |
Louis Segond :
et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet: il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d`autant plus grande.
Martin :
Et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation qu'il a reçue de vous; car il nous a raconté votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi; de sorte que je m'en suis extrêmement réjoui.
Ostervald :
Et non seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation qu'il a reçue de vous, nous ayant raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi; en sorte que ma joie en a été augmentée.
Darby :
et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation dont il a été rempli à votre sujet, en nous racontant votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi, de sorte que je me suis d'autant plus réjoui.
Crampon :
non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même avait éprouvée à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre amour jaloux pour moi, de sorte que ma joie en a été plus grande.
Lausanne :
et non seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation dont il a été consolé à votre sujet, nous apprenant votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que j’ai eu plus de joie ;
8 |
Car encore que je vous aye contristez par mon epistre, je ne m’en repens point: encore que je m’en fusse repenti: car je voi que cette epistre-là, quoi que pour un temps, vous a contristez. |
Louis Segond :
Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m`en repens pas. Et, si je m`en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, -
Martin :
Car bien que je vous aie attristés par mon Epître, je ne m'en repens point, quoique je m'en fusse déjà repenti, parce que je vois que si cette Epître vous a affligés, ce n'a été que pour peu de temps.
Ostervald :
Car, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas, si même je m'en suis repenti, parce que je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour un peu de temps.
Darby :
Car si aussi je vous ai attristés par ma lettre, je n'en ai pas de regret, si même j'en ai eu du regret (car je vois que cette lettre vous a attristés, lors même que ce n'a été que pour un temps).
Crampon :
Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l’aie d’abord regretté, — car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, —
Lausanne :
parce que si je vous ai attristés par ma lettre ; je ne m’en repens pas. Si même je m’en suis repenti (car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour peu de temps){Grec une heure.}
9 |
J’en suis maintenant joyeux, non point parce que vous avez esté contristez, mais parce que vous avez esté contristez à repentance: car vous avez esté contristez selon Dieu, tellement que vous n’avez esté endommagez en rien de par nous. |
Louis Segond :
je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage.
Martin :
Je me réjouis donc maintenant, non de ce que vous avez été affligés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, de sorte que vous n'avez reçu aucun dommage de notre part.
Ostervald :
Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez reçu aucun dommage de notre part.
Darby :
Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez étés attristés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin qu'en rien vous ne receviez de préjudice de notre part.
Crampon :
je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence ; car vous avez été attristés selon Dieu, de manière à n’éprouver aucun préjudice de notre part.
Lausanne :
maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés à conversion{Ou à changement de disposition.} car vous avez été attristés selon Dieu, afin que vous ne reçussiez en rien du dommage de notre part.
10 |
Car la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, dont on ne se repent jamais: mais la tristesse de ce monde produit la mort. |
Louis Segond :
En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.
Martin :
Puisque la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, dont on ne se repent jamais; mais la tristesse de ce monde produit la mort.
Ostervald :
Car la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, et dont on ne se repent jamais; au lieu que la tristesse du monde produit la mort.
Darby :
Car la tristesse qui est selon Dieu opère une repentance à salut dont on n'a pas de regret, mais la tristesse du monde opère la mort.
Crampon :
En effet, la tristesse selon Dieu produit un repentir salutaire, qu’on ne regrette jamais, au lieu que la tristesse du monde produit la mort.
Lausanne :
Car la tristesse selon Dieu produit une conversion{Ou un changement de disposition.} à salut dont on ne se repent point ; mais la tristesse du monde produit la mort.
11 |
Car voici, ceci mesme que vous avez esté contristez selon Dieu, quel soin a-t’il produit en vous? Voire quelle satisfaction? Voire marrissement, voire crainte, voire grand desir, voire zele, voire vengeance? Vous vous estes par tout montrez estre purs en cette affaire. |
Louis Segond :
Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n`a-t-elle pas produit en vous! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire.
Martin :
Car voici, cela même que vous avez été attristés selon Dieu, quel soin n'a-t-il pas produit en vous? quelle satisfaction? quelle indignation? quelle crainte? quel grand désir? quel zèle? quelle vengeance? vous vous êtes montrés de toutes manières purs dans cette affaire.
Ostervald :
Car voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quels désirs, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous êtes purs dans cette affaire.
Darby :
Car voici, ce fait même que vous avez été attristés selon Dieu, quel empressement il a produit en vous, mais quelles excuses, mais quelle indignation, mais quelle crainte, mais quel ardent désir, mais quel zèle, mais quelle vengeance: A tous égards, vous avez montré que vous êtes purs dans l'affaire.
Crampon :
Et quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous, cette tristesse selon Dieu ! Que dis-je ? quelle justification ! quelle indignation ! quelle crainte ! quel désir ardent ! quel zèle ! quelle sévérité ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez innocents dans cette affaire.
Lausanne :
Voyez en effet cette tristesse même selon Dieu que vous avez éprouvée, quel empressement elle a produit en vous ! et même quelle apologie, et même quelle indignation, et même quelle crainte, et même quel ardent désir, et même quel zèle, et même quel châtiment ! En tout, vous avez montré que vous êtes purs dans cette affaire.
12 |
Encore donc que je vous aye escrit, ce n’a point esté à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a esté commise; mais pour manifester entre vous le soin que j’ai de vous devant Dieu. |
Louis Segond :
Si donc je vous ai écrit, ce n`était ni à cause de celui qui a fait l`injure, ni à cause de celui qui l`a reçue; c`était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu.
Martin :
Quoi que je vous aie donc écrit, ce n'a point été à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a été commise, mais pour faire voir parmi vous le soin que j'ai de vous devant Dieu.
Ostervald :
Ainsi, lorsque je vous ai écrit, ce n'a pas été à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui à qui elle a été faite, mais pour vous faire connaître notre zèle pour vous devant Dieu.
Darby :
Ainsi, si même je vous ai écrit, ce n'a point été à cause de celui qui a fait le tort ni à cause de celui à qui on a fait tort, mais afin que le zèle que nous avons pour vous, vous fût manifesté devant Dieu.
Crampon :
Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n’est ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue, mais pour que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous devant Dieu.
Lausanne :
Si donc je vous ai écrit, ce n’a été ni à cause de celui qui a fait tort, ni à cause de celui à qui le tort a été fait ; mais afin que notre empressement pour vous, vous fût manifesté devant Dieu.
13 |
Pour cette cause nous avons esté consolez de vostre consolation: mais encore nous sommes-nous de plus fort éjoüis pour la joye de Tite, de ce que son esprit a esté recreé par vous tous. |
Louis Segond :
C`est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l`esprit a été tranquillisé par vous tous.
Martin :
C'est pourquoi nous avons été consolés de ce que vous avez fait pour notre consolation; mais nous nous sommes encore plus réjouis de la joie qu'a eu Tite, en ce que son esprit a été recréé par vous tous.
Ostervald :
C'est pourquoi votre consolation nous a consolés; mais nous avons été encore plus réjouis par la joie de Tite, car son esprit a été restauré par vous tous;
Darby :
C'est pourquoi nous avons été consolés. Et nous nous sommes réjouis d'autant plus abondamment, dans notre consolation, de la joie de Tite, parce que son esprit a été récréé par vous tous.
Crampon :
Voilà ce qui nous a consolés. Mais à cette consolation, s’est ajoutée une joie beaucoup plus vive, celle que nous a fait éprouver la joie de Tite, dont vous avez tranquillisé l’esprit.
Lausanne :
C’est pourquoi, nous avons été consolés par votre consolation ; mais nous avons été réjouis plus abondamment par la joie de Tite, dont l’esprit a été mis en repos par vous tous.
14 |
Et de ce que si je me suis glorifié de vous envers lui en aucune chose, je n’en ai point receu de confusion: mais comme nous avons dit toutes choses en verité, pareillement ce dequoi je m’estois glorifié envers Tite, a esté trouvé verité. |
Louis Segond :
Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n`en ai point eu de confusion; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s`est trouvé être aussi la vérité.
Martin :
Parce que si en quelque chose je me suis glorifié de vous dans ce que je lui en ai dit, je n'en ai point eu de confusion; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi ce dont je m'étais glorifié de vous dans ce que j'en ai dit à Tite, s'est trouvé être la vérité même.
Ostervald :
Et si je me suis glorifié de vous devant lui en quelque chose, je n'en ai point eu de confusion; mais comme nous avons dit toutes choses avec vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite, s'est trouvé la vérité.
Darby :
Parce que, si en quelque chose je me suis glorifié de vous auprès de lui, je n'en ai pas été confus; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi aussi ce dont nous nous étions glorifiés auprès de Tite s'est trouvé vrai,
Crampon :
Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais de même que nous vous avons toujours parlé selon la vérité, de même l’éloge que j’ai fait de vous à Tite s’est trouvé être la vérité.
Lausanne :
Parce que, si je me suis quelque peu glorifié devant lui à votre sujet, je n’ai pas été confus ; mais comme c’est avec vérité que nous vous avons dit toutes choses, de même aussi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé la vérité.
15 |
C’est pourquoi quand il lui souvient de l’obeïssance de vous tous, et comment vous l’avez receu avec crainte et tremblement, son affection est d’autant plus grande envers vous. |
Louis Segond :
Il éprouve pour vous un redoublement d`affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l`accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement.
Martin :
C'est pourquoi quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement; son affection pour vous en est beaucoup plus grande.
Ostervald :
Aussi quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement, son affection pour vous en devient plus grande.
Darby :
et son affection se porte plus abondamment sur vous, quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement.
Crampon :
Son cœur ressent pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, de la crainte, du tremblement avec lequel vous l’avez accueilli.
Lausanne :
Et ses entrailles sont encore plus [émues] envers vous, quand il se souvient de votre obéissance à tous, et avec quelle crainte et quel tremblement vous l’avez reçu.
16 |
Je m’éjouïs donc qu’en toutes choses je me puis asseurer de vous. |
Louis Segond :
Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous.
Martin :
Je me réjouis donc de ce qu'en toutes choses je me puis assurer de vous.
Ostervald :
Je me réjouis donc de ce qu'en toutes choses j'ai confiance en vous.
Darby :
Je me réjouis de ce qu'en toutes choses j'ai de la confiance à votre égard.
Crampon :
Je suis heureux de pouvoir en toutes choses compter sur vous.
Lausanne :
Je me réjouis donc, parce qu’en toute chose j’ai confiance en vous.