1 |
Au maître de chant… Idithun. Psaume de David.
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Louis Segond :
Au chef des chantres. D`après Jeduthun. Psaume de David.
Martin :
Psaume de David, donné au maître chantre, d'entre les enfants de Jéduthun. Quoiqu'il en soit, mon âme se repose en Dieu; c'est de lui que vient ma délivrance.
Ostervald :
Au maître-chantre. Selon Jéduthun. Psaume de David.
Darby :
Dieu seul mon âme se repose paisiblement; de lui vient mon salut.
Lausanne :
Au chef de musique. Selon Jedouthoun. Psaume de David.
2 |
Oui, à Dieu mon âme en paix s’abandonne, de lui vient mon secours.
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Louis Segond :
Oui, c`est en Dieu que mon âme se confie; De lui vient mon salut.
Martin :
Quoiqu'il en soit, il est mon rocher, et ma délivrance, et ma haute retraite; je ne serai pas entièrement ébranlé.
Ostervald :
Mon âme se repose en Dieu seul; c'est de lui que vient mon salut.
Darby :
Lui seul est mon rocher et mon salut, ma haute retraite; je ne serai pas beaucoup ébranlé.
Lausanne :
C’est auprès de Dieu seul qu’il y a repos, ô mon âme ! de lui vient mon salut.
3 |
Oui, il est mon rocher et mon salut ; il est ma forteresse : je ne serai pas tout à fait ébranlé.
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Louis Segond :
Oui, c`est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai guère.
Martin :
Jusques à quand machinerez-vous des maux contre un homme? Vous serez tous mis à mort, et vous serez comme le mur qui penche, et comme une cloison qui a été ébranlée.
Ostervald :
Lui seul est mon rocher, ma délivrance, ma haute retraite; je ne serai pas beaucoup ébranlé.
Darby :
Jusques à quand vous jetterez-vous sur un homme, et chercherez -vous tous à le renverser comme une muraille qui penche, comme un mur qui va crouler?
Lausanne :
Lui seul est mon rocher et mon salut ; c’est ma haute retraite ; je ne serai pas beaucoup ébranlé.
4 |
Jusques à quand vous jetterez-vous sur un homme, pour l’abattre tous ensemble, comme une clôture qui penche, comme une muraille qui s’écroule ? |
Louis Segond :
Jusqu`à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l`abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu`on renverse?
Martin :
Ils ne font que consulter pour le faire déchoir de son élévation; ils prennent plaisir au mensonge; ils bénissent de leur bouche, mais au-dedans ils maudissent; Sélah.
Ostervald :
Jusques à quand vous jetterez-vous sur un homme, pour le détruire tous ensemble, comme un mur qui penche, comme une clôture ébranlée?
Darby :
Ils ne consultent que pour le précipiter de son élévation; ils prennent plaisir au mensonge; ils bénissent de leur bouche, et intérieurement ils maudissent. Sélah.
Lausanne :
Jusques à quand vous jetterez-vous sur un homme, tous unis pour le briser, comme une muraille qui penche, comme une clôture qu’on fait tomber ?
5 |
Oui, ils complotent pour le précipiter de sa hauteur ; ils se plaisent au mensonge ; ils bénissent de leur bouche, et ils maudissent dans leur cœur. — Séla.
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Louis Segond :
Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé; Ils prennent plaisir au mensonge; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur coeur. — Pause.
Martin :
Mais toi mon âme, demeure tranquille, regardant à Dieu; car mon attente est en lui.
Ostervald :
Ils ne font que consulter pour le faire tomber de son élévation; ils se plaisent au mensonge; de leur bouche ils bénissent, mais dans leur cœur ils maudissent. (Sélah.)
Darby :
Mais toi, mon âme, repose-toi paisiblement sur Dieu; car mon attente est en lui.
Lausanne :
Ils consultent pour le faire tomber de son poste élevé ; ils se plaisent au mensonge : de leur bouche ils bénissent, et intérieurement ils maudissent. (Sélah.)
6 |
Oui, ô mon âme, à Dieu abandonne-toi en paix, car de lui vient mon espérance.
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Louis Segond :
Oui, mon âme, confie-toi en Dieu! Car de lui vient mon espérance.
Martin :
Quoiqu'il en soit, il est mon rocher, et ma délivrance, et ma haute retraite; je ne serai point ébranlé.
Ostervald :
Mon âme, repose-toi sur Dieu seul, car mon attente est en lui.
Darby :
Lui seul est mon rocher et mon salut, ma haute retraite: je ne serai pas ébranlé.
Lausanne :
Regarde en silence à Dieu seul, ô mon âme ! car de lui vient mon espoir.
7 |
Oui, il est mon rocher et mon salut ; il est ma forteresse : je ne chancellerai point.
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Louis Segond :
Oui, c`est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai pas.
Martin :
En Dieu est ma délivrance et ma gloire; en Dieu est le rocher de ma force et ma retraite.
Ostervald :
Lui seul est mon rocher, ma délivrance et ma haute retraite; je ne serai point ébranlé.
Darby :
Dieu reposent mon salut et ma gloire; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
Lausanne :
Lui seul est mon rocher et mon salut, c’est ma haute retraite ; je ne serai pas ébranlé.
8 |
Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
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Louis Segond :
Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire; Le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
Martin :
Peuples, confiez-vous en lui en tout temps, déchargez votre coeur devant lui; Dieu est notre retraite; Sélah.
Ostervald :
En Dieu est mon salut et ma gloire; mon fort rocher, mon refuge est en Dieu.
Darby :
Peuple, -confiez-vous en lui en tout temps, répandez votre coeur devant lui: Dieu est notre refuge. Sélah.
Lausanne :
Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
9 |
En tout temps, ô peuple, confie-toi en lui ; épanchez devant lui vos cœurs : Dieu est notre refuge. — Séla.
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Louis Segond :
En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Répandez vos coeurs en sa présence! Dieu est notre refuge, — Pause.
Martin :
Ceux du bas état ne sont que vanité: les nobles ne sont que mensonge; si on les mettait tous ensemble en une balance, ils se trouveraient plus légers que la vanité même.
Ostervald :
Peuples, confiez-vous en lui en tout temps; répandez votre cœur devant lui; Dieu est notre retraite. (Sélah.)
Darby :
Les fils des gens du commun ne sont que vanité, les fils des grands ne sont que mensonge: placés dans la balance, ils montent ensemble plus légers que la vanité.
Lausanne :
Peuples, confiez-vous en lui en tout temps, répandez vos cœurs devant sa face ; Dieu nous est un refuge. (Sélah.)
10 |
Oui les mortels sont vanité, les fils de l’homme sont mensonge ; dans la balance ils monteraient, tous ensemble plus légers qu’un souffle.
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Louis Segond :
Oui, vanité, les fils de l`homme! Mensonge, les fils de l`homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu`un souffle.
Martin :
Ne mettez point votre confiance dans la tromperie, ni dans la rapine; ne devenez point vains; et quand les richesses abonderont, n'y mettez point votre cœur.
Ostervald :
Les petits ne sont que néant; les grands ne sont que mensonge; placés dans la balance, ils seraient tous ensemble plus légers que le néant même.
Darby :
N'ayez pas confiance dans l'oppression, et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine; si les biens augmentent, n'y mettez pas votre coeur.
Lausanne :
Les fils des gens du commun ne sont que vanité, les fils des grands ne sont que mensonge ; dans la balance, ils ne peuvent que monter ; tous ensemble ils ne sont que vanité.
11 |
Ne vous confiez pas dans la violence, et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine ; Si vos richesses s’accroissent, n’y attachez pas votre cœur.
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Louis Segond :
Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine; Quand les richesses s`accroissent, N`y attachez pas votre coeur.
Martin :
Dieu a une fois parlé, et j'ai ouï cela deux fois, savoir, que la force est à Dieu.
Ostervald :
Ne vous confiez pas dans la violence, et ne soyez pas séduits par la rapine; si les richesses abondent, n'y mettez pas votre cœur.
Darby :
Dieu a parlé une fois;... deux fois j'ai entendu ceci, que la force est à Dieu.
Lausanne :
Ne vous confiez pas en l’extorsion et ne soyez pas vains de la rapine ; si les richesses affluent, n’y mettez pas votre cœur.
12 |
Dieu a dit une parole, ou deux, que j’ai entendues : " La puissance est à Dieu ;
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Louis Segond :
Dieu a parlé une fois; Deux fois j`ai entendu ceci: C`est que la force est à Dieu.
Martin :
Et c'est à toi, Seigneur, qu'appartient la gratuité; certainement tu rendras à chacun selon son oeuvre.
Ostervald :
Dieu a parlé une fois, et je l'ai entendu deux fois: c'est que la force appartient à Dieu.
Darby :
à toi, Seigneur, est la bonté; car toi tu rends à chacun selon son oeuvre.
Lausanne :
Dieu a parlé une fois ; deux fois j’ai entendu ceci : c’est que la force appartient à Dieu.
13 |
à toi aussi, Seigneur, la bonté. " Car tu rends à chacun selon ses œuvres. |
Louis Segond :
A toi aussi, Seigneur! la bonté; Car tu rends à chacun selon ses oeuvres.
Ostervald :
A toi aussi, Seigneur, la miséricorde! Oui, tu rendras à chacun selon son œuvre.
Lausanne :
À toi aussi, Seigneur, est la grâce ; car c’est toi qui rends à chacun selon son ouvrage.