1 |
Lorsqu’il fut connu de Sanaballat, de Tobie, de Gosem l’Arabe et du reste de nos ennemis que j’avais rebâti la muraille et qu’il n’y restait plus de brèche — jusqu’à cette date toutefois je n’avais pas mis les battants aux portes, — |
Louis Segond :
Je n`avais pas encore posé les battants des portes, lorsque Sanballat, Tobija, Guéschem, l`Arabe, et nos autres ennemis apprirent que j`avais rebâti la muraille et qu`il n`y restait plus de brèche.
Martin :
Or il arriva que quand Samballat, Tobija, et Guésem Arabe, et le reste de nos ennemis eurent appris que j'avais rebâti la muraille, et qu'il n'y était demeuré aucune brèche, bien que jusqu'à ce temps-là, je n'eusse pas encore mis les battants aux portes;
Ostervald :
Quand Samballat, Tobija et Guéshem, l'Arabe, et le reste de nos ennemis, eurent appris que j'avais rebâti la muraille, et qu'il n'y était demeuré aucune brèche, bien que, jusqu'à ce temps-là, je n'eusse pas encore mis les battants aux portes,
Darby :
Et il arriva que, lorsque Sanballat, et Tobija, et Guéshem, l'Arabe, et le reste de nos ennemis, apprirent que j'avais bâti la muraille et qu'il n'y restait aucune brèche, quoique jusqu'à ce temps-là je n'eusse pas posé les battants aux portes,
Lausanne :
Et quand Sanballat, et Tobija, et Guéschem, l’Arabe, et le reste de nos ennemis, apprirent que j’avais rebâti la muraille et qu’il n’y restait plus de brèche, bien que jusqu’à ce moment-là je n’eusse pas posé les battants aux portes,
2 |
Sanaballat et Gosem m’envoyèrent dire : " Viens, et ayons ensemble une entrevue dans les villages, dans la vallée d’Ono. " Ils avaient le dessein de me faire du mal. |
Louis Segond :
Alors Sanballat et Guéschem m`envoyèrent dire: Viens, et ayons ensemble une entrevue dans les villages de la vallée d`Ono. Ils avaient médité de me faire du mal.
Martin :
Samballat et Guésem envoyèrent vers moi, pour me dire: Viens, et que nous nous trouvions ensemble aux villages qui sont à la campagne d'Ono. Or ils avaient comploté de me faire du mal.
Ostervald :
Samballat et Guéshem envoyèrent vers moi, pour me dire: Viens, et que nous nous trouvions ensemble, dans les villages de la vallée d'Ono. Or ils avaient comploté de me faire du mal.
Darby :
Sanballat et Guéshem m'envoyèrent dire: Viens et rencontrons-nous ensemble dans les villages de la vallée d'Ono. Mais ils pensaient à me faire du mal.
Lausanne :
Sanballat et Guéschem envoyèrent vers moi, en disant : Viens, et réunissons-nous dans les villages de la vallée d’Ono. Or ils pensaient à me faire du mal.
3 |
Je leur envoyai des messagers pour leur dire : " J’exécute un grand travail, et je ne puis descendre. Pourquoi le travail serait-il interrompu, parce que je le quitterais pour descendre vers vous ? " |
Louis Segond :
Je leur envoyai des messagers avec cette réponse: J`ai un grand ouvrage à exécuter, et je ne puis descendre; le travail serait interrompu pendant que je le quitterais pour aller vers vous.
Martin :
Mais j'envoyai des messagers vers eux, pour leur dire: Je fais un grand ouvrage, et je ne saurais descendre. Pourquoi cesserait l'ouvrage, comme cela arriverait lorsque je l'aurais laissé, et que je serais descendu vers vous?
Ostervald :
Mais j'envoyai des messagers vers eux, pour leur dire: Je fais un grand ouvrage, et je ne puis descendre. Pourquoi cet ouvrage serait-il interrompu, pendant que je le laisserais pour aller vers vous?
Darby :
Et je leur envoyai des messagers, disant: Je fais un grand travail et je ne puis descendre. Pourquoi le travail cesserait-il pendant que je le quitterais et que je descendrais vers vous?
Lausanne :
Et je leur envoyai des messagers, en disant : Je fais une grande œuvre et je ne puis descendre : pourquoi ferais-je cesser l’œuvre en la laissant et en descendant à vous ?
4 |
Ils m’adressèrent quatre fois la même proposition, et je leur fis la même réponse. |
Louis Segond :
Ils m`adressèrent quatre fois la même demande, et je leur fis la même réponse.
Martin :
Et ils me mandèrent la même chose quatre fois; et je leur répondis de même.
Ostervald :
Ils me mandèrent la même chose quatre fois; et je leur répondis de même.
Darby :
Et ils m'envoyèrent dire la même chose quatre fois, et je leur répondis de la même manière.
Lausanne :
Et ils m’envoyèrent dire la même chose quatre fois, et je leur renvoyai la même réponse.
5 |
Sanaballat m’envoya de la même manière une cinquième fois son serviteur, qui tenait à la main une lettre ouverte. |
Louis Segond :
Sanballat m`envoya ce message une cinquième fois par son serviteur, qui tenait à la main une lettre ouverte.
Martin :
Alors Samballat envoya vers moi son serviteur, pour me tenir le même discours une cinquième fois; et il avait en sa main une Lettre ouverte;
Ostervald :
Alors Samballat envoya vers moi son serviteur, pour me tenir le même discours pour la cinquième fois; et il avait en sa main une lettre ouverte,
Darby :
Et Sanballat m'envoya son serviteur, une cinquième fois, de la même manière, une lettre ouverte à la main.
Lausanne :
Et Sanballat m’envoya, pour me dire la même chose une cinquième fois, son serviteur avec une lettre ouverte en sa main, dans laquelle il était écrit :
6 |
Il y était écrit : " Le bruit se répand parmi les nations et Gosem affirme que toi et les Juifs, vous avez dessein de vous révolter, et que c’est pour cela que tu rebâtis la muraille ; et, d’après ces rapports, tu veux devenir leur roi. |
Louis Segond :
Il y était écrit: Le bruit se répand parmi les nations et Gaschmu affirme que toi et les Juifs vous pensez à vous révolter, et que c`est dans ce but que tu rebâtis la muraille. Tu vas, dit-on, devenir leur roi,
Martin :
Dans laquelle il était écrit: On entend dire parmi les nations, et Gasmu le dit, que vous pensez, toi et les Juifs, à vous rebeller, et que c'est pour cela que tu rebâtis la muraille, et que tu t'en vas être le Roi, selon ce qu'on en dit;
Ostervald :
Dans laquelle il était écrit: On entend dire parmi les nations, et Gashmu le dit, que vous pensez, toi et les Juifs, à vous révolter; que c'est pour cela que tu rebâtis la muraille, et que tu vas être leur roi, d'après ce qu'on dit;
Darby :
Il y était écrit: On entend dire parmi les nations, et Gashmu le dit, que toi et les Juifs vous pensez à vous révolter; c'est pour cela que tu bâtis la muraille; et, d'après ces dires, c'est toi qui deviendras leur roi.
Lausanne :
« On entend dire parmi les nations, et Gaschmou (Guéschem) dit, que toi et les Juifs, vous pensez à vous rebeller ; c’est pour cela que tu rebâtis la muraille, et d’après ces discours tu vas être leur roi.
7 |
Et même tu as établis des prophètes pour faire à ton propos cette proclamation dans Jérusalem : Il y a un roi en Juda. Maintenant, on va informer le roi de cette affaire. Viens donc, et consultons-nous ensemble. " |
Louis Segond :
tu as même établi des prophètes pour te proclamer à Jérusalem roi de Juda. Et maintenant ces choses arriveront à la connaissance du roi. Viens donc, et consultons-nous ensemble.
Martin :
Et même que tu as ordonné des Prophètes pour te louer dans Jérusalem, et pour dire: Il est Roi en Judée. Or, maintenant, on fera entendre au Roi ces mêmes choses; viens donc maintenant afin que nous consultions ensemble.
Ostervald :
Et que tu as même établi des prophètes, pour te proclamer à Jérusalem et pour dire: Il est roi en Juda. Et maintenant on fera entendre au roi ces mêmes choses; viens donc maintenant, afin que nous consultions ensemble.
Darby :
Et même tu as établi des prophètes pour proclamer et dire de toi dans Jérusalem: Il y a un roi en Juda! Et maintenant, on fera entendre au roi ces mêmes choses; viens donc maintenant, et tenons conseil ensemble.
Lausanne :
Et même tu as établi des prophètes pour te proclamer dans Jérusalem, en disant : [Il y a] un roi en Juda. Et maintenant on fera entendre au roi ces mêmes discours ; maintenant, viens donc et tenons conseil ensemble. »
8 |
Et je lui envoyai dire : " Rien n’est arrivé de pareil à ces choses que tu dis ; c’est de ton cœur que tu les inventes. " |
Louis Segond :
Je fis répondre à Sanballat: Ce que tu dis là n`est pas; c`est toi qui l`inventes!
Martin :
Et je renvoyai vers lui, pour lui dire: Ce que tu dis n'est point, mais tu l'inventes de toi-même.
Ostervald :
Je renvoyai alors vers lui, pour lui dire: Ce que tu dis n'est point; mais tu l'inventes toi-même.
Darby :
Et je lui envoyai dire: Aucune des choses dont tu parles n'a eu lieu; mais tu les inventes dans ton propre coeur.
Lausanne :
Et je lui envoyai dire : Il n’est rien de semblable aux choses que tu dis, car c’est de ton cœur que tu les inventes.
9 |
Car tous voulaient nous effrayer, se disant : " Leurs mains affaiblies se détacheront de l’œuvre, et elle ne s’accomplira pas. "
Maintenant, ô mon Dieu, donne force à mes mains ! |
Louis Segond :
Tous ces gens voulaient nous effrayer, et ils se disaient: Ils perdront courage, et l`oeuvre ne se fera pas. Maintenant, ô Dieu, fortifie-moi!
Martin :
Car eux tous nous épouvantaient, en disant: Leurs mains quitteront le travail, de sorte qu'il ne se fera point. Maintenant donc, ô Dieu! renforce mes mains.
Ostervald :
En effet tous cherchaient à nous épouvanter, et se disaient: Leurs mains se fatigueront du travail, de sorte qu'il ne se fera point. Maintenant donc, ô Dieu! fortifie mes mains.
Darby :
Car ils voulaient tous nous effrayer, disant: Leurs mains se lasseront du travail, et il ne se fera pas. Maintenant donc, fortifie mes mains!
Lausanne :
Car eux tous, ils cherchaient à nous effrayer, et disaient{Héb. en disant.} Leurs mains se relâcheront de l’œuvre, et elle ne se fera pas. Et maintenant, [ô mon Dieu,] fortifie mes mains !
10 |
Je me rendis chez Sémaïas, fils de Dalaïas, fils de Métabéel. Il s’était enfermé, et il dit : " Allons ensemble dans la maison de Dieu, dans l’intérieur du temple et fermons les portes du temple ; car on vient pour te tuer ; c’est pendant la nuit qu’on viendra pour te tuer. " |
Louis Segond :
Je me rendis chez Schemaeja, fils de Delaja, fils de Mehétabeel. Il s`était enfermé, et il dit: Allons ensemble dans la maison de Dieu, au milieu du temple, et fermons les portes du temple; car ils viennent pour te tuer, et c`est pendant la nuit qu`ils viendront pour te tuer.
Martin :
Outre cela, je vins en la maison de Sémahia, fils de Délaja, fils de Méhétabéel, lequel était retenu. Et il me dit: Assemblons-nous en la maison de Dieu, dans le Temple, et fermons les portes du Temple; car ils doivent venir pour te tuer, et ils viendront de nuit pour te tuer.
Ostervald :
Après cela, j'allai dans la maison de Shémaja, fils de Délaja, fils de Méhétabéel, qui s'était enfermé. Et il me dit: Assemblons-nous dans la maison de Dieu, dans le temple, et fermons les portes du temple; car ils doivent venir pour te tuer, et c'est de nuit qu'ils viendront pour te tuer.
Darby :
Et moi, je vins à la maison de Shemahia, fils de Delaïa, fils de Mehétabeël (et il s'était enfermé); et il dit: Rencontrons-nous dans la maison de Dieu, à l'intérieur du temple, et fermons les portes du temple, car ils vont venir pour te tuer, et c'est de nuit qu'ils vont venir pour te tuer.
Lausanne :
Et moi, j’entrai dans la maison de Schémaïa, fils de Délaïa, fils de Méhétabéel (et il s’était enfermé). Et il dit : Réunissons-nous dans la Maison de Dieu, à l’intérieur{Héb. au milieu.} du palais, et fermons les portes du palais, car ils viennent pour te tuer ; cette nuit même ils viennent pour te tuer.
11 |
Je répondis : " Un homme comme moi prendre la fuite... ! Et comment un homme comme moi pénétrerait-il dans le temple et demeurerait-il en vie ? Je n’entrerai point. " |
Louis Segond :
Je répondis: Un homme comme moi prendre la fuite! Et quel homme tel que moi pourrait entrer dans le temple et vivre? Je n`entrerai point.
Martin :
Mais je répondis: Un homme tel que moi s'enfuirait-il? Et qui sera l'homme tel que je suis, qui entre au Temple, pour sauver sa vie? Je n'y entrerai point.
Ostervald :
Mais je répondis: Un homme tel que moi fuirait-il? Et quel homme tel que moi pourrait entrer dans le temple, et vivre? Je n'y entrerai point.
Darby :
Et je dis: Un homme comme moi fuirait-il? Et quel homme comme moi entrerait dans le temple et vivrait?
Lausanne :
Et je dis : Un homme comme moi fuirait-il ? Et quel est l’homme comme moi qui pourrait entrer dans le palais [de l’Éternel] et vivre ? Je n’y entrerai point.
12 |
Et je fis attention, et voici que ce n’était pas Dieu qui l’envoyait ; il avait prononcé sur moi une prophétie parce que Tobie et Sanaballat l’avaient acheté. |
Louis Segond :
Et je reconnus que ce n`était pas Dieu qui l`envoyait. Mais il prophétisa ainsi sur moi parce que Sanballat et Tobija lui avaient donné de l`argent.
Martin :
Et voilà, je connus bien que Dieu ne l'avait point envoyé; mais qu'il avait prononcé cette Prophétie contre moi, et que Samballat et Tobija lui donnaient pension,
Ostervald :
Et je connus bien que Dieu ne l'avait pas envoyé, mais qu'il avait prononcé cette prophétie contre moi, parce que Tobija et Samballat l'avaient soudoyé.
Darby :
Je n'entrerai pas. Et je reconnus que, voici, ce n'était pas Dieu qui l'avait envoyé, car il prononçait cette prophétie contre moi, et Tobija et Sanballat le soudoyaient.
Lausanne :
Et je reconnus que, voici, ce n’était point Dieu qui l’avait envoyé, mais il prononçait cette prophétie contre moi parce que Tobija et Sanballat le payaient.
13 |
On l’avait acheté pour que j’aie peur, que j’agisse selon ses avis et que je pèche ; et cela leur eut été un prétexte pour me faire un mauvais renom et me couvrir d’opprobre. |
Louis Segond :
En le gagnant ainsi, ils espéraient que j`aurais peur, et que je suivrais ses avis et commettrais un péché; et ils auraient profité de cette atteinte à ma réputation pour me couvrir d`opprobre.
Martin :
Car il était leur pensionnaire pour m'épouvanter, et pour m'obliger à agir de la sorte, et à commettre cette faute, afin qu'ils eussent quelque mauvaise chose à me reprocher.
Ostervald :
Ils l'avaient soudoyé afin que, par crainte et en péchant, j'en agisse ainsi, et que, m'étant fait un mauvais renom, ils pussent me couvrir d'opprobre.
Darby :
C'est pour cela qu'il était payé, pour que j'eusse peur et que je fisse ainsi et péchasse, et qu'ils eussent de quoi me faire un mauvais renom, afin de me couvrir d'opprobre.
Lausanne :
Et le but pour lequel il était payé, c’était que je craignisse, et que je fisse ainsi, en péchant, et qu’ils eussent de quoi me faire un mauvais renom, afin de me calomnier.
14 |
Souvenez-vous, ô mon Dieu, de Tobie et de Sanaballat selon ces méfaits ! Et aussi de Noadias le prophète, et des autres prophètes qui cherchaient à m’effrayer. |
Louis Segond :
Souviens-toi, ô mon Dieu, de Tobija et de Sanballat, et de leurs oeuvres! Souviens-toi aussi de Noadia, la prophétesse, et des autres prophètes qui cherchaient à m`effrayer!
Martin :
Ô mon Dieu! souviens-toi de Tobija et de Samballat, selon leurs actions; et aussi de Nohadia prophétesse, et du reste des prophètes qui tâchaient de m'épouvanter.
Ostervald :
O mon Dieu! souviens-toi de Tobija et de Samballat, selon leurs actions; ainsi que de Noadia, la prophétesse, et des autres prophètes qui tâchaient de m'effrayer!
Darby :
Souviens-toi, ô Dieu, de Tobija et de Sanballat selon ces oeuvres qu'ils ont faites; et aussi de Noadia, la prophétesse, et du reste des prophètes qui voulaient m'effrayer!
Lausanne :
Souviens-toi, ô mon Dieu, de Tobija et de Sanballat selon leurs actions{Héb. selon ces ouvrages de lui.} et aussi de Noadia, la prophétesse, et du reste des prophètes qui cherchaient à m’effrayer !
15 |
La muraille fut achevée le vingt-cinquième jour du mois d’Elul, en cinquante-deux jours. |
Louis Segond :
La muraille fut achevée le vingt-cinquième jour du mois d`Élul, en cinquante-deux jours.
Martin :
Néanmoins la muraille fut achevée le vingt-cinquième jour du mois d'Elul, en cinquante-deux jours.
Ostervald :
La muraille fut achevée le vingt-cinq du mois d'Élul, en cinquante-deux jours.
Darby :
Et la muraille fut achevée le vingt-cinquième jour du mois d'Élul, en cinquante-deux jours.
Lausanne :
Et la muraille fut complètement achevée le vingt-cinq [du mois] d’Eloul, en cinquante-deux jours.
16 |
Lorsque tous nos ennemis l’apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte ; elles éprouvèrent un grand découragement et reconnurent que c’était par le secours de notre Dieu que cette œuvre s’était accomplie. |
Louis Segond :
Lorsque tous nos ennemis l`apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte; elles éprouvèrent une grande humiliation, et reconnurent que l`oeuvre s`était accomplie par la volonté de notre Dieu.
Martin :
Quand donc tous nos ennemis l'eurent appris, et que toutes les nations qui étaient autour de nous l'eurent vu, ils en furent tout consternés en eux-mêmes, et ils connurent que cet ouvrage avait été fait par le secours de notre Dieu.
Ostervald :
Et quand tous nos ennemis l'eurent appris, et que toutes les nations qui étaient autour de nous, l'eurent vu, ils furent tout découragés; et ils connurent que cet ouvrage s'était fait de par notre Dieu.
Darby :
Et il arriva que, lorsque tous nos ennemis l'apprirent, toutes les nations qui nous environnaient craignirent et furent fort abaissées à leurs propres yeux, et elles reconnurent que cette oeuvre avait été faite de par notre Dieu.
Lausanne :
Et quand tous nos ennemis l’apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous craignirent, et ils furent fort abaissés{Héb. ils tombèrent fort.} à leurs propres yeux, et ils connurent que cette œuvre avait été faite de par notre Dieu.
17 |
Dans ce temps-là aussi, des grands de Juda multipliaient leurs lettres à l’adresse de Tobie, et celles de Tobie leur parvenaient. |
Louis Segond :
Dans ce temps-là, il y avait aussi des grands de Juda qui adressaient fréquemment des lettres à Tobija et qui en recevaient de lui.
Martin :
Mais aussi en ces jours-là les principaux de Juda envoyaient Lettres sur Lettres qui allaient à Tobija; et celles de Tobija venaient à eux.
Ostervald :
En ce même temps, des principaux de Juda envoyaient de nombreuses lettres à Tobija; et celles de Tobija leur parvenaient.
Darby :
En ces jours-là aussi, des nobles de Juda envoyèrent lettres sur lettres à Tobija, et celles de Tobija leur arrivaient;
Lausanne :
En ces jours-là aussi des notables de Juda faisaient parvenir lettres sur lettres à Tobija, et des lettres de Tobija leur arrivaient.
18 |
Car beaucoup de grands en Juda lui étaient liés par serment, parce qu’il était gendre de Séchénias, fils d’Aréa, et que son fils Johanan avait pris pour femme la fille de Mosollam, fils de Barachie. |
Louis Segond :
Car plusieurs en Juda étaient liés à lui par serment, parce qu`il était gendre de Schecania, fils d`Arach, et que son fils Jochanan avait pris la fille de Meschullam, fils de Bérékia.
Martin :
Car il y en avait plusieurs en Judée qui s'étaient liés à lui par serment, à cause qu'il était gendre de Séchania, fils d'Arah, et que Johanan, son fils avait pris la fille de Mésullam fils de Bérecia.
Ostervald :
Car un grand nombre de personnes en Juda s'étaient liées à lui par serment, parce qu'il était gendre de Shécania, fils d'Arach, et Jochanan, son fils, avait épousé la fille de Méshullam, fils de Bérékia.
Darby :
car plusieurs en Juda lui avaient prêté serment, car il était gendre de Shecania, fils d'Arakh, et Jokhanan, son fils, avait pris la fille de Meshullam, fils de Bérékia.
Lausanne :
Car un grand nombre en Juda lui étaient liés par serment ; car il était allié par mariage avec Schécania, fils d’Arak, et Johanan, son fils, avait pris la fille de Meschoullam, fils de Bérékia.
19 |
Ils disaient même ses bonnes qualités devant moi, et ils lui rapportaient mes paroles. Tobie envoyait des lettres pour m’effrayer. |
Louis Segond :
Ils disaient même du bien de lui en ma présence, et ils lui rapportaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres pour m`effrayer.
Martin :
Et même ils racontaient ses bienfaits en ma présence, et lui rapportaient mes discours; et Tobija envoyait des Lettres pour m'épouvanter.
Ostervald :
Ils disaient même du bien de lui en ma présence, et lui rapportaient mes paroles; et Tobija envoyait des lettres pour m'effrayer.
Darby :
Ils disaient aussi devant moi ses bonnes actions et ils lui rapportaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres pour m'effrayer.
Lausanne :
Ils disaient aussi du bien de lui devant moi, et ils lui transmettaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres pour m’effrayer.