1 |
Comment l’or s’est-il obscurci et le métal précieux{Héb. l’or pur bon.} a-t-il été changé ? Comment les pierres du sanctuaire sont-elles répandues çà et là, à tous les coins des rues ? |
Louis Segond :
Eh quoi! l`or a perdu son éclat! L`or pur est altéré! Les pierres du sanctuaire sont dispersées Aux coins de toutes les rues!
Martin :
Aleph. Comment l'or est-il devenu obscur, et le fin or s'est-il changé? Comment les pierres du Sanctuaire sont-elles semées aux coins de toutes les rues?
Ostervald :
Comment l'or s'est-il obscurci, et l'or fin s'est-il altéré! Comment les pierres du sanctuaire sont-elles semées aux coins de toutes les rues!
Darby :
Comment l'or est-il devenu obscur, et l'or fin a-t-il été changé! Comment les pierres du lieu saint sont-elles répandues au coin de toutes les rues!
Crampon :
Comment l’or s’est-il terni, l’or pur s’est-il altéré, les pierres sacrées ont-elles été dispersées au coin de toutes les rues ?BETH.
2 |
Les fils de Sion, si précieux, qui étaient appréciés à l’égal de l’or fin, comment sont-ils estimés comme des vases de terre, ouvrage des mains du potier ? |
Louis Segond :
Les nobles fils de Sion, Estimés à l`égal de l`or pur, Sont regardés, hélas! comme des vases de terre, Ouvrage des mains du potier!
Martin :
Beth. Comment les chers enfants de Sion, qui étaient estimés comme le meilleur or, sont-ils réputés comme des vases de terre qui ne sont que l'ouvrage de la main d'un potier?
Ostervald :
Comment les enfants chéris de Sion, estimés à l'égal de l'or pur, sont-ils réputés comme des vases de terre, ouvrage de la main d'un potier!
Darby :
Les fils de Sion, si précieux, estimés à l'égal de l'or fin, comment sont-ils réputés des vases de terre, ouvrage des mains d'un potier?
Crampon :
Les plus nobles fils de Sion, estimés au poids de l’or fin, comment ont-ils été comptés pour des vases de terre, ouvrage des mains d’un potier ?GHIMEL.
3 |
Les chacals même présentent la mamelle, allaitent leurs petits : la fille de mon peuple est devenue cruelle comme les autruches du désert. |
Louis Segond :
Les chacals mêmes présentent la mamelle, Et allaitent leurs petits; Mais la fille de mon peuple est devenue cruelle Comme les autruches du désert.
Martin :
Guimel. Il y a même des monstres marins qui présentent leurs mammelles et qui allaitent leurs petits; mais la fille de mon peuple a à faire à des gens cruels, comme les chats-huants qui sont au désert.
Ostervald :
Les chacals mêmes tendent la mamelle, et allaitent leurs petits: mais la fille de mon peuple est devenue cruelle comme les autruches du désert.
Darby :
Les chacals même présentent la mamelle, allaitent leurs petits; la fille de mon peuple est devenue cruelle comme les autruches du désert.
Crampon :
Même les chacals présentent les mamelles, et allaitent leurs petits ; la fille de mon peuple est devenue cruelle, comme les autruches dans le désert.DALETH.
4 |
La langue de l’enfant à la mamelle se colle par la soif à son palais ; les jeunes enfants demandent du pain ; personne ne le rompt pour eux. |
Louis Segond :
La langue du nourrisson s`attache à son palais, Desséchée par la soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne.
Martin :
Daleth. La langue de celui qui têtait s'est attachée à son palais dans sa soif; les petits enfants ont demandé du pain, et personne ne leur en a rompu.
Ostervald :
La langue du nourrisson s'attache à son palais par la soif; les petits enfants demandent du pain, et personne ne leur en distribue.
Darby :
La langue de celui qui tétait se colle par la soif à son palais; les petits enfants demandent du pain, personne ne le rompt pour eux.
Crampon :
La langue du nourrisson s’attache à son palais, à cause de la soif ; les petits enfants demandent du pain, et personne ne leur en donne.HÉ.
5 |
Ceux qui mangeaient les mets délicats sont désolés dans les rues ; ceux qu’on nourrissait sur l’écarlate embrassent le fumier. |
Louis Segond :
Ceux qui se nourrissaient de mets délicats Périssent dans les rues; Ceux qui étaient élevés dans la pourpre Embrassent les fumiers.
Martin :
He. Ceux qui mangeaient des viandes délicates sont demeurés désolés dans les rues; et ceux qui étaient nourris sur l'écarlate ont embrassé l'ordure.
Ostervald :
Ceux qui mangeaient des viandes délicates périssent dans les rues, et ceux qui étaient nourris sur l'écarlate embrassent le fumier.
Darby :
Ceux qui mangeaient des mets délicats sont là, périssant dans les rues; ceux qui étaient élevés sur l'écarlate embrassent le fumier.
Crampon :
Ceux qui se nourrissaient de mets délicats tombent d’inanition dans les rues ; ceux qu’on portait sur la pourpre embrassent le fumier.VAV.
6 |
Et la peine de l’iniquité de la fille de mon peuple a été plus grande que celle du péché de Sodome, qui fut renversée comme en un clin d’œil, sans que des mains [d’homme] aient fondu sur elle. |
Louis Segond :
Le châtiment de la fille de mon peuple est plus grand Que celui de Sodome, Détruite en un instant, Sans que personne ait porté la main sur elle.
Martin :
Vau. Et la peine de l'iniquité de la fille de mon peuple est plus grande, que la peine du péché de Sodome, qui a été renversée comme en un moment, et à laquelle les mains ne sont point lassées.
Ostervald :
Et la peine de l'iniquité de la fille de mon peuple est plus grande que celle du péché de Sodome qui fut renversée, comme en un moment, sans qu'aucune main d'homme fût venue sur elle.
Darby :
Et la peine de l'iniquité de la fille de mon peuple est plus grande que la peine du péché de Sodome qui fut renversée comme en un moment sans qu'on ait porté les mains sur elle.
Crampon :
Et l’iniquité de la fille de mon peuple a été plus grande que le péché de Sodome, qui fut renversée en un instant, sans que des mains se levassent contre elle.ZAÏN.
7 |
Ses nazaréens{Ou ses princes.} brillaient, plus purs que la neige, plus blancs que le lait ; leurs corps étaient plus vermeils que le corail, et taillés comme un saphir. |
Louis Segond :
Ses princes étaient plus éclatants que la neige, Plus blancs que le lait; Ils avaient le teint plus vermeil que le corail; Leur figure était comme le saphir.
Martin :
Zajin. Ses hommes honorables étaient plus nets que la neige, plus blancs que le lait; leur teint était plus vermeil que les pierres précieuses, et ils étaient polis comme un saphir.
Ostervald :
Ses princes étaient plus éclatants que la neige, plus blancs que le lait; leur teint était plus vermeil que le corail, leur beauté était celle du saphir.
Darby :
Ses nazaréens étaient plus purs que la neige, plus blancs que le lait; leur corps était plus vermeil que des rubis, leur taille un saphir.
Crampon :
Ses princes surpassaient la neige en éclat, le lait en blancheur ; leur corps était plus vermeil que le corail, leur figure était un sa phir.HETH.
8 |
Leur figure est plus sombre que la noirceur même ; on ne les reconnaît plus dans les rues. Leur peau tient à leurs os ; elle est sèche, elle est comme du bois. |
Louis Segond :
Leur aspect est plus sombre que le noir; On ne les reconnaît pas dans les rues; Ils ont la peau collée sur les os, Sèche comme du bois.
Martin :
Heth. Leur visage est plus noir que les ténèbres, on ne les connaît point par les rues; leur peau tient à leurs os; elle est devenue sèche comme du bois.
Ostervald :
Leur visage est plus sombre que la noirceur même; on ne les reconnaît plus dans les rues; leur peau est attachée à leurs os; elle est devenue sèche comme le bois.
Darby :
Leur figure est plus sombre que le noir, on ne les connaît pas dans les rues; leur peau s'attache à leurs os, elle est sèche comme du bois.
Crampon :
Leur aspect est plus sombre que le noir même ; on ne les reconnaît plus dans les rues ; leur peau est collée à leurs os, elle est sèche comme du bois.TETH.
9 |
Plus heureux ont été ceux qu’a frappés à mort l’épée que ceux qu’a frappés à mort la famine ; car ceux-ci dépérissent exténués{Héb. transpercés.} par le défaut des produits des champs. |
Louis Segond :
Ceux qui périssent par l`épée sont plus heureux Que ceux qui périssent par la faim, Qui tombent exténués, Privés du fruit des champs.
Martin :
Teth. Ceux qui ont été mis à mort par l'épée, ont été plus heureux que ceux qui sont morts par la famine; à cause que ceux-ci se sont consumés peu à peu, étant transpercés par le défaut du revenu des champs.
Ostervald :
Ceux qui périssent par l'épée sont plus heureux que ceux qui périssent par la famine; car ceux-ci sont consumés peu à peu, exténués par le défaut du produit des champs.
Darby :
Ceux qui ont été tués par l'épée ont été plus heureux que ceux qui sont morts par la famine; parce que ceux-ci ont dépéri, consumés par le manque du produit des champs.
Crampon :
Plus heureuses sont les victimes de l’épée que les victimes de la faim, qui s’épuisent lentement, blessées, faute des produits des champs !JOD.
10 |
De tendres femmes ont, de leurs mains, fait cuire leurs enfants, qui leur ont servi de nourriture dans la ruine de la fille de mon peuple. |
Louis Segond :
Les femmes, malgré leur tendresse, Font cuire leurs enfants; Ils leur servent de nourriture, Au milieu du désastre de la fille de mon peuple.
Martin :
Jod. Les mains des femmes, naturellement tendres, ont cuit leurs enfants, et ils leur ont été pour viande dans le temps de la calamité de la fille de mon peuple.
Ostervald :
De tendres femmes ont, de leurs mains, fait cuire leurs enfants, et ils leur ont servi de nourriture, dans la ruine de la fille de mon peuple.
Darby :
Les mains des femmes tendres ont cuit leurs enfants, ils ont été leur viande dans la ruine de la fille de mon peuple.
Crampon :
Des femmes compatissantes ont de leurs mains fait cuire leurs enfants ; ils leur ont servi de nourriture, dans le désastre de la fille de mon peuple.CAPH.
11 |
L’Éternel a épuisé sa fureur, il a répandu l’ardeur de sa colère ; il a allumé dans Sion un feu qui a dévoré ses fondements. |
Louis Segond :
L`Éternel a épuisé sa fureur, Il a répandu son ardente colère; Il a allumé dans Sion un feu Qui en dévore les fondements.
Martin :
Caph. L'Eternel a accompli sa fureur, il a répandu l'ardeur de sa colère, et a allumé dans Sion le feu qui a dévoré ses fondements.
Ostervald :
L'Éternel a épuisé sa fureur, il a répandu l'ardeur de sa colère, il a allumé dans Sion un feu qui a dévoré ses fondements.
Darby :
L'Éternel a accompli sa fureur, il a versé l'ardeur de sa colère et a allumé dans Sion un feu qui en a dévoré les fondements.
Crampon :
Yahweh a épuisé sa fureur ; il a répandu l’ardeur de sa colère, et a allumé dans Sion un feu qui en a dévoré les fondements.LAMED.
12 |
Ni les rois de la terre ni aucun des habitants du monde ne croyaient que l’adversaire, que l’ennemi, pût entrer dans les portes de Jérusalem. |
Louis Segond :
Les rois de la terre n`auraient pas cru, Aucun des habitants du monde n`aurait cru Que l`adversaire, que l`ennemi entrerait Dans les portes de Jérusalem.
Martin :
Lamed. Les Rois de la terre, et tous les habitants de la terre habitable n'eussent jamais cru que l'adversaire et l'ennemi fût entré dans les portes de Jérusalem.
Ostervald :
Les rois de la terre, ni aucun des habitants du monde, n'auraient cru que l'adversaire, que l'ennemi entrerait dans les portes de Jérusalem.
Darby :
Les rois de la terre et tous les habitants du monde n'eussent pas cru que l'adversaire et l'ennemi entreraient dans les portes de Jérusalem.
Crampon :
Ils ne croyaient pas, les rois de la terre, ni tous les habitants du monde, que l’adversaire, l’ennemi entrerait dans les portes de Jérusalem.MEM.
13 |
C’est à cause des péchés de ses prophètes, des iniquités de ses sacrificateurs, qui versaient au milieu d’elle le sang des justes. |
Louis Segond :
Voilà le fruit des péchés de ses prophètes, Des iniquités de ses sacrificateurs, Qui ont répandu dans son sein Le sang des justes!
Martin :
Mem. Cela est arrivé à cause des péchés de ses prophètes, et des iniquités de ses Sacrificateurs, qui répandaient le sang des justes au milieu d'elle.
Ostervald :
C'est à cause des péchés de ses prophètes, et des iniquités de ses sacrificateurs, qui ont répandu au milieu d'elle le sang des justes.
Darby :
C'est à cause des péchés de ses prophètes, des iniquités de ses sacrificateurs, qui versaient au milieu d'elle le sang des justes.
Crampon :
C’est à cause des péchés de ses prophètes, des iniquités de ses prêtres, qui répandaient dans son enceinte le sang des justes.NUN.
14 |
Ils ont erré dans les rues en aveugles, se souillant de sang, de sorte qu’on ne pouvait toucher leurs habits. |
Louis Segond :
Ils erraient en aveugles dans les rues, Souillés de sang; On ne pouvait Toucher leurs vêtements.
Martin :
Nun. Les aveugles ont erré ça et là par les rues, et on était tellement souillé de sang, qu'ils ne pouvaient trouver à qui ils touchassent la robe.
Ostervald :
Ils erraient comme des aveugles par les rues, souillés de sang, au point qu'on ne pouvait toucher leurs vêtements.
Darby :
Ils erraient aveugles par les rues, ils étaient souillés de sang, de sorte qu'on ne pouvait toucher leurs vêtements.
Crampon :
Ils erraient comme des aveugles dans les rues, souillés de sang, de sorte qu’on ne pouvait toucher leurs vêtements.SAMECH.
15 |
Écartez-vous ! un souillé ! a-t-on crié sur eux ; écartez-vous ! écartez-vous ! ne touchez pas !... Quand ils sont en fuite, oui, quand ils sont errants, on dit parmi les nations : Ils ne prolongeront pas{Ou ne renouvelleront pas.} leur séjour ! |
Louis Segond :
Éloignez-vous, impurs! leur criait-on, Éloignez-vous, éloignez-vous, ne nous touchez pas! Ils sont en fuite, ils errent çà et là; On dit parmi les nations: Ils n`auront plus leur demeure!
Martin :
Samech. On leur criait: retirez-vous, souillé, retirez-vous, retirez-vous, n'y touchez point. Certes ils s'en sont envolés, et ils ont été transportés ça et là; on a dit parmi les nations, ils n'y retourneront plus pour y séjourner.
Ostervald :
On leur criait: Retirez-vous, souillés! Retirez-vous, retirez-vous; ne nous touchez pas! Ils sont en fuite, ils errent çà et là. On dit parmi les nations: Ils n'auront plus leur demeure!
Darby :
Retirez-vous! un impur! leur criait-on; retirez-vous, retirez-vous, ne touchez pas!... Quand ils se sont enfuis, ils ont erré çà et là; on a dit parmi les nations: Ils n'auront plus leur demeure!
Crampon :
" Ecartez-vous ! Un impur ! " leur criait-on. "Ecartez-vous ! Ecartez-vous ! Ne le touchez pas ! " Ils erraient, et l’on disait parmi les nations : " Qu’ils ne séjournent point ici ! "PHÉ.
16 |
La face de l’Éternel les a divisés{Ou dispersés.} il ne continue pas à regarder à eux. On n’a pas considéré les sacrificateurs ; on n’a pas eu pitié des vieillards. |
Louis Segond :
L`Éternel les a dispersés dans sa colère, Il ne tourne plus les regards vers eux; On n`a eu ni respect pour les sacrificateurs, Ni pitié pour les vieillards.
Martin :
Pe. La face de l'Eternel les a écartés, il ne continuera plus de les regarder. Ils n'ont point eu de respect pour la personne des Sacrificateurs, ni pitié des vieillards.
Ostervald :
La face de l'Éternel les a dispersés. Il ne les regarde plus. Ils n'ont pas eu de respect pour les sacrificateurs, ni de pitié pour les vieillards.
Darby :
La face de l'Éternel les a coupés en deux; il ne veut plus les regarder. Ils n'ont pas respecté la face des sacrificateurs, ils n'ont pas usé de grâce envers les vieillards.
Crampon :
La face irritée de Yahweh les a dispersés ; il ne les regarde plus. L’ennemi n’a eu ni respect pour les prêtres, ni pitié pour les vieillards.AÏN.
17 |
Et nous, toujours, nos yeux se consument après le secours... Vanité ! À nos postes de guet, nous guettons [la venue] d’un peuple qui ne délivre pas. |
Louis Segond :
Nos yeux se consumaient encore, Et nous attendions vainement du secours; Nos regards se portaient avec espérance Vers une nation qui ne nous a pas délivrés.
Martin :
Hajin. Jusqu'ici nos yeux se sont consumés après notre aide de néant; nous avons regardé de dessus nos lieux élevés vers une nation qui ne peut pas délivrer.
Ostervald :
Et pour nous, nos yeux se sont consumés jusqu'ici après un vain secours. Du haut de nos tours, nous avons regardé vers une nation qui ne pouvait nous délivrer.
Darby :
Pour nous, nos yeux se consumaient après un secours de vanité; nous avons attendu continuellement une nation qui ne sauvait pas.
Crampon :
Et nous, nos yeux se consumaient encore à attendre un vain secours ; du haut de nos tours, nous regardions vers une nation qui ne peut sauver.TSADÉ.
18 |
Ils pourchassent nos pas et nous empêchent de marcher dans nos places. Notre fin est proche ; nos jours sont accomplis, notre fin est venue ! |
Louis Segond :
On épiait nos pas, Pour nous empêcher d`aller sur nos places; Notre fin s`approchait, nos jours étaient accomplis... Notre fin est arrivée!
Martin :
Tsadi. Ils ont épié nos pas, afin que nous ne marchassions point par nos places; notre fin est approchée, nos jours sont accomplis; notre fin, dis-je, est venue.
Ostervald :
Ils épiaient nos pas, afin de nous empêcher de marcher dans nos places. Notre fin est proche; nos jours sont accomplis; notre fin est venue!
Darby :
Ils ont fait la chasse à nos pas, de manière que nous ne pouvions pas marcher sur nos places: notre fin est proche, nos jours sont accomplis; notre fin est venue!
Crampon :
Ils épiaient nos pas, nous empêchant de marcher dans nos places. Notre fin approche, nos jours sont accomplis ; oui, notre fin est arrivée !QOPH.
19 |
Ceux qui nous poursuivent sont plus légers que les aigles du ciel ; ils nous suivent ardemment sur les montagnes, ils sont en embuscade contre nous dans le désert. |
Louis Segond :
Nos persécuteurs étaient plus légers Que les aigles du ciel; Ils nous ont poursuivis sur les montagnes, Ils nous ont dressé des embûches dans le désert.
Martin :
Koph. Nos persécuteurs ont été plus légers que les aigles des cieux; ils nous ont poursuivis sur les montagnes, ils ont mis des embûches contre nous au désert.
Ostervald :
Nos persécuteurs étaient plus légers que les aigles des cieux; ils nous ont poursuivis sur les montagnes, ils nous ont dressé des embûches dans le désert.
Darby :
Ceux qui nous poursuivaient ont été plus rapides que les aigles des cieux, ils nous ont donné la chasse sur les montagnes, ils nous ont tendu des embûches dans le désert.
Crampon :
Ceux qui nous poursuivaient ont été plus légers que les aigles du ciel ; ils nous ont pourchassés sur les montagnes ; ils nous ont dressé des embûches dans le désert.RESCH.
20 |
Le souffle de nos narines, l’oint de l’Éternel, a été pris dans leurs fosses, lui dont nous disions : C’est à son ombre que nous vivrons entre les nations. |
Louis Segond :
Celui qui nous faisait respirer, l`oint de l`Éternel, A été pris dans leurs fosses, Lui de qui nous disions: Nous vivrons sous son ombre parmi les nations.
Martin :
Resch. Le souffle de nos narines, l'Oint de l'Eternel, a été pris dans leurs fosses, celui duquel nous disions: nous vivrons parmi les nations sous son ombre.
Ostervald :
Celui qui nous faisait respirer, l'oint de l'Éternel, a été pris dans leurs fosses; lui de qui nous disions: Nous vivrons sous son ombre parmi les nations.
Darby :
Le souffle de nos narines, l'oint de l'Éternel, a été pris dans leurs fosses, celui dont nous disions: Nous vivrons sous son ombre parmi les nations.
Crampon :
Le souffle de nos narines, l’oint de Yahweh, a été pris dans leurs fosses, lui dont nous disions : " A son ombre nous vivrons parmi les nations. "SIN.
21 |
Sois dans l’allégresse et réjouis-toi, fille d’Édom, habitante de la terre d’Outs ! La coupe passera aussi jusqu’à toi ; tu t’enivreras et tu te mettras à nu ! |
Louis Segond :
Réjouis-toi, tressaille d`allégresse, fille d`Édom, Habitante du pays d`Uts! Vers toi aussi passera la coupe; Tu t`enivreras, et tu seras mise à nu.
Martin :
Scin. Réjouis-toi, et sois dans l'allégresse, fille d'Edom, qui demeures au pays de Huts; la coupe passera aussi vers toi, tu en seras enivrée, et tu t'en découvriras.
Ostervald :
Réjouis-toi, et sois dans l'allégresse, fille d'Édom, qui demeures dans le pays d'Uts! La coupe passera aussi vers toi, tu en seras enivrée, et tu seras mise à nu.
Darby :
Sois dans l'allégresse et réjouis-toi, fille d'Édom, qui habites dans le pays d'Uts! La coupe passera aussi vers toi; tu en seras enivrée, et tu te mettras à nu!
Crampon :
Réjouis-toi et sois dans l’allégresse, fille d’Edom, qui habite au pays de Hus ! A toi aussi passera la coupe ; tu t’enivreras et tu te mettras à nu.THAV.
22 |
Elle est finie, [la peine] de ton iniquité, fille de Sion ! Il ne continuera plus à t’envoyer en déportation ! Il recherche ton iniquité, fille d’Édom ! Il met à découvert tes péchés. |
Louis Segond :
Fille de Sion, ton iniquité est expiée; Il ne t`enverra plus en captivité. Fille d`Édom, il châtiera ton iniquité, Il mettra tes péchés à découvert.
Martin :
Thau. Fille de Sion, la peine de ton iniquité est accomplie, il ne te transportera plus; mais il visitera ton iniquité, ô fille d'Edom! il découvrira tes péchés.
Ostervald :
Fille de Sion! la peine de ton iniquité est finie; le Seigneur ne t'emmenera plus en captivité. Fille d'Édom! il visitera ton iniquité, il mettra tes péchés à découvert.
Darby :
La peine de ton iniquité a pris fin, fille de Sion; il ne te mènera plus captive. Il visitera ton iniquité, fille d'Édom; il découvrira tes péchés.
Crampon :
Ton iniquité a pris fin, fille de Sion, il ne t’enverra plus en exil. Il visite ton iniquité, fille d’Edom ; il met à découvert tes péchés.