1 |
Oh ! Terre ou résonne le bruissement des ailes, au delà des fleuves de Cusch ! |
Louis Segond :
Terre, où retentit le cliquetis des armes, Au delà des fleuves de l`Éthiopie!
Martin :
Malheur au pays qui fait ombre avec des ailes, qui est au-delà des fleuves de Chus;
Ostervald :
O toi, terre dont les ailes retentissent, qui es au-delà des fleuves de Cush;
Darby :
Ha! pays qui fais ombre avec tes ailes, toi qui es au delà des fleuves de Cush,
Lausanne :
Malheur à toi, terre dont les ailes retentissent, qui es au-delà des fleuves de Cusch ;
2 |
Toi qui envoies des messagers sur la mer, dans des nacelles de jonc, sur la face des eaux ! Allez, messagers rapides, vers la nation à la haute stature, à la peau rasée, vers le peuple redouté au loin ; nation impérieuse et qui écrase, et dont la terre est sillonnée de fleuves. |
Louis Segond :
Toi qui envoies sur mer des messagers, Dans des navires de jonc voguant à la surface des eaux! Allez, messagers rapides, vers la nation forte et vigoureuse, Vers ce peuple redoutable depuis qu`il existe, Nation puissante et qui écrase tout, Et dont le pays est coupé par des fleuves.
Martin :
Qui envoie par mer des ambassadeurs, et dans des vaisseaux de jonc sur les eaux. Allez, messagers légers, vers la nation de grand attirail et brillante, vers le peuple terrible, depuis là où il est et par delà; nation allant à la file, et qui foule tout, dont les fleuves ravagent sa terre.
Ostervald :
Qui envoies sur la mer des messagers, dans des navires de jonc, voguant sur les eaux! Allez, émissaires légers, vers la nation robuste et agile, vers le peuple redoutable au près et au loin, vers la nation puissante et qui foule aux pieds, dont le pays est coupé de fleuves.
Darby :
qui envoies des ambassadeurs sur la mer et dans des vaisseaux de papyrus, sur la face des eaux, disant: Allez, messagers rapides, vers une nation répandue loin et ravagée, vers le peuple merveilleux dès ce temps et au delà, vers une nation qui attend, attend, et qui est foulée aux pieds, de laquelle les rivières ont ravagé le pays.
Lausanne :
toi qui envoies des ambassadeurs, par mer et dans des vaisseaux de joncs, sur la face des eaux ! Allez, messagers légers, vers la nation vigoureuse et brillante, vers le peuple dès son origine et toujours terrible, nation qui nivelle tout, et qui foule, dont les fleuves déchirent la terre !
3 |
Vous tous, habitants du monde, habitants de la terre, quand l’étendard sera levé sur les montagnes, regardez ; quand la trompette sonnera, écoutez. |
Louis Segond :
Vous tous, habitants du monde, habitants de la terre, Voyez la bannière qui se dresse sur les montagnes, Écoutez la trompette qui sonne!
Martin :
Vous tous les habitants du monde habitable, et vous qui demeurez dans le pays, sitôt que l'enseigne sera élevée sur les montagnes, regardez, et sitôt que le cor aura sonné écoutez.
Ostervald :
Vous, tous les habitants du monde, et vous qui habitez dans le pays, regardez l'étendard dressé sur les montagnes, écoutez la trompette qui sonne!
Darby :
Vous tous, habitants du monde, et vous qui demeurez sur la terre, quand l'étendard sera élevé sur les montagnes, voyez; et quand la trompette sonnera, écoutez!
Lausanne :
Vous tous qui habitez dans le monde et qui demeurez sur la terre, quand on élèvera un étendard sur les montagnes, vous le verrez, et quand on sonnera de la trompette, vous l’entendrez.
4 |
Car ainsi m’a parlé Yahweh : " Je me tiendrai en repos et je regarderai, assis dans ma demeure, comme une chaleur sereine par un brillant soleil, comme un nuage de rosée dans la chaleur de la moisson. " |
Louis Segond :
Car ainsi m`a parlé l`Éternel: Je regarde tranquillement de ma demeure, Par la chaleur brillante de la lumière, Et par la vapeur de la rosée, au temps de la chaude moisson.
Martin :
Car ainsi m'a dit l'Eternel; je me tiendrai tranquille; mais je regarderai sur mon domicile arrêté, et je lui serai comme une chaleur brillante de splendeur, et comme une nuée de rosée dans la chaleur de la moisson.
Ostervald :
Car ainsi m'a dit l'Éternel: Je me tiens tranquille et je regarde, dans ma demeure, à l'heure de la chaleur brillante du jour, et du nuage qui donne la rosée, dans la chaleur de la moisson.
Darby :
Car ainsi m'a dit l'Éternel: Je resterai tranquille, et je regarderai de ma demeure, comme une chaleur sereine sur la verdure, comme une nuée de rosée dans la chaleur de la moisson.
Lausanne :
Car ainsi m’a dit l’Éternel : Je veux me tenir tranquille dans ma demeure, et regarder, comme une chaleur sereine à la lumière [du soleil], comme un nuage [qui donne] la rosée dans la chaleur de la moisson.
5 |
Car avant la moisson, quand la floraison sera passée, et que la fleur sera devenue une grappe bientôt mûre, alors il coupera les pampres à coups de serpe, il enlèvera les sarments, il les détachera. |
Louis Segond :
Mais avant la moisson, quand la pousse est achevée, Quand la fleur devient un raisin qui mûrit, Il coupe les sarments avec des serpes, Il enlève, il tranche les ceps...
Martin :
Car avant la moisson, sitôt que le bouton sera venu en sa perfection, et que la fleur sera devenue un raisin se mûrissant, il coupera les rameaux avec des serpes, et il ôtera les sarments, les ayant retranchés.
Ostervald :
Car, avant la moisson, quand la floraison sera finie, et que la fleur sera une grappe prête à mûrir, il coupera les sarments avec des serpes, il enlèvera les pampres et les retranchera.
Darby :
Car avant la moisson, lorsque la floraison est finie et que la fleur devient un raisin vert qui mûrit, il coupera les pousses avec des serpes, et il ôtera et retranchera les sarments.
Lausanne :
Car avant la moisson, lorsque la floraison sera finie et que la fleur sera devenue le verjus tout formé, il coupera avec des serpes les sarments, il ôtera et tranchera les pampres.
6 |
Ils seront livrés tous ensemble aux vautours des montagnes et aux bêtes de la terre ; les vautours en feront leur proie pendant l’été, et les bêtes de la terre pendant l’hiver. |
Louis Segond :
Ils seront tous abandonnés aux oiseaux de proie des montagnes Et aux bêtes de la terre; Les oiseaux de proie passeront l`été sur leurs cadavres, Et les bêtes de la terre y passeront l`hiver.
Martin :
Ils seront tous ensemble abandonnés aux oiseaux de proie qui demeurent dans les montagnes, et aux bêtes du pays; les oiseaux de proie seront sur eux tout le long de l'Eté, et toutes les bêtes du pays y passeront leur hiver.
Ostervald :
Ils seront tous abandonnés aux oiseaux de proie des montagnes, et aux bêtes de la terre; les oiseaux de proie passeront l'été auprès d'eux, et toutes les bêtes de la terre y passeront l'hiver.
Darby :
Ils seront abandonnés ensemble aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes de la terre; et les oiseaux de proie passeront l'été sur eux, et toutes les bêtes de la terre passeront l'hiver sur eux.
Lausanne :
Ils seront abandonnés ensemble aux oiseaux de proie des montagnes et aux bêtes de la terre ; sur eux les oiseaux de proie passeront l’été, et toutes les bêtes de la terre passeront sur eux l’hiver.
7 |
En ce temps-là, une offrande sera apportée à Yahweh des armées, de la part du peuple à la haute stature, à la peau rasée, de la part du peuple redouté au loin, nation impérieuse et qui écrase, et dont la terre est sillonnée de fleuves, au séjour du nom de Yahweh des armées, à la montagne de Sion. |
Louis Segond :
En ce temps-là, des offrandes seront apportées à l`Éternel des armées, Par le peuple fort et vigoureux, Par le peuple redoutable depuis qu`il existe, Nation puissante et qui écrase tout, Et dont le pays est coupé par des fleuves; Elles seront apportées là où réside le nom de l`Éternel des armées, Sur la montagne de Sion.
Martin :
En ce temps-là sera apporté à l'Eternel des armées un présent du peuple de long attirail et brillant, de la part, dis-je, du peuple terrible, depuis là où il est, et par delà; de la nation allant à la file, et qui foule tout; les fleuves de laquelle ont ravagé son pays, dans la demeure du Nom de l'Eternel des armées, en la montagne de Sion.
Ostervald :
En ce temps-là, seront apportées des offrandes à l'Éternel des armées, par le peuple robuste et agile, par le peuple redoutable au près et au loin, par la nation puissante et qui foule aux pieds, dont la terre est coupée de fleuves, au lieu où réside le nom de l'Éternel des armées, sur la montagne de Sion.
Darby :
En ce temps-là, un présent sera apporté à l'Éternel des armées, le présent d'un peuple répandu loin et ravagé, -et de la part d'un peuple merveilleux dès ce temps et au delà, de la part d'un nation qui attend, attend, et qui est foulée aux pieds, de laquelle les rivières ont ravagé le pays,... au lieu où est le nom de l'Éternel des armées, à la montagne de Sion.
Lausanne :
En ce temps-là seront amenés en offrande à l’Éternel des armées, au lieu où est le nom de l’Éternel des armées, à la montagne de Sion, un peuple vigoureux et brillant, et, [du milieu] d’un peuple dès son origine et toujours terrible, une nation qui nivelle tout, et qui foule, dont les fleuves déchirent la terre !