1 |
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes? De quel côté est allé ton bien-aimé, et nous le chercherons avec toi?
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Louis Segond :
Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s`est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi.
Ostervald :
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes? De quel côté est allé ton bien-aimé? Nous le chercherons avec toi.
Darby :
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes? De quel côté ton bien-aimé s'est-il tourné? et nous le chercherons avec toi.
Crampon :
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné, pour que nous le cherchions avec toi ?
Lausanne :
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné ? Nous le chercherons avec toi.
2 |
Mon bien-aimé est descendu dans son verger, aux carreaux des drogues aromatiques, pour paître son troupeau dans les vergers, et cueillir du muguet.
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Louis Segond :
Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d`aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis.
Ostervald :
Mon bien-aimé est descendu dans son verger, au parterre des plantes aromatiques, pour paître son troupeau dans les vergers, et pour cueillir des lis.
Darby :
Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres des aromates, pour paître dans les jardins et pour cueillir des lis.
Crampon :
Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres de baumiers, pour faire paître son troupeau dans les jardins, et pour cueillir des lis.
Lausanne :
Mon bien-aimé est descendu à son jardin, aux couches de baume, pour paître [son troupeau] dans les jardins et pour cueillir des lis.
3 |
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; il paît son troupeau parmi le muguet.
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Louis Segond :
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. -
Ostervald :
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; il paît son troupeau parmi les lis.
Darby :
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; il paît parmi les lis.
Crampon :
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il fait paître son troupeau parmi les lis.
Lausanne :
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il paît [son troupeau] parmi les lis.
4 |
Ma grande amie, tu es belle comme Tirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées.
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Louis Segond :
Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières.
Ostervald :
Ma bien-aimée, tu es belle comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme les armées qui marchent enseignes déployées.
Darby :
Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des troupes sous leurs bannières.
Crampon :
Tu es belle, mon amie, comme Thirsa, charmante comme Jérusalem, mais terrible comme des bataillons.
Lausanne :
Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, attrayante comme Jérusalem, [mais] redoutable comme des troupes sous leurs bannières.
5 |
Détourne tes yeux qu'ils ne me regardent; car ils me forcent; Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres qu'on tond lorsqu'elles sont descendues de Galaad.
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Louis Segond :
Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad.
Ostervald :
Détourne de moi tes yeux; qu'ils ne me regardent point, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres suspendues aux flancs de Galaad.
Darby :
Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres sur les pentes de Galaad;
Crampon :
Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.
Lausanne :
Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent ! Ta chevelure est comme un troupeau de chèvres suspendues aux flancs de Galaad.
6 |
Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, et qui sont toutes deux à deux, et il n'y en a pas une qui manque.
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Louis Segond :
Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l`abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d`elles n`est stérile.
Ostervald :
Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir, qui sont toutes deux à deux: il n'en manque aucune.
Darby :
tes dents, comme un troupeau de brebis qui montent du lavoir, qui toutes ont des jumeaux, et pas une d'elles n'est stérile;
Crampon :
Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui remontent du lavoir ; chacune porte deux jumeaux ; et parmi elles, il n’est pas de stérile.
Lausanne :
Tes dents sont comme un troupeau de brebis, qui montent du lavoir. Elles sont toutes mères de jumeaux, et aucune parmi elles n’est privée [de sa pareille].
7 |
Ta tempe est comme une pièce de pomme de grenade au dedans de tes tresses.
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Louis Segond :
Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile...
Ostervald :
Ta joue est comme une moitié de grenade, sous ton voile.
Darby :
ta joue est comme un quartier de grenade derrière ton voile.
Crampon :
Ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile.
Lausanne :
Ta joue est comme la moitié d’une grenade, derrière ton voile.
8 |
Qu'il y ait soixante Reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre;
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Louis Segond :
Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre.
Ostervald :
Il y a soixante reines, et quatre-vingts concubines, et des vierges sans nombre: ma colombe, ma parfaite, est unique.
Darby :
Il y a soixante reines, et quatre-vingt concubines, et des jeunes filles sans nombre:
Crampon :
Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre :
Lausanne :
Il y a soixante reines et quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre.
9 |
Ma colombe, ma parfaite, est unique; elle est unique à sa mère, à celle qui l'a enfantée; les filles l'ont vue, et l'ont dite bienheureuse; les Reines et les concubines l'ont louée, en disant:
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Louis Segond :
Une seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l`unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. -
Ostervald :
Elle est l'unique de sa mère, l'unique de celle qui l'a enfantée; les jeunes filles l'ont vue, et l'ont dite bienheureuse; les reines et les concubines l'ont louée.
Darby :
ma colombe, ma parfaite, est unique; elle est l'unique de sa mère, la choisie de celle qui l'a enfantée. Les filles l'ont vue, et l'ont dite bienheureuse; les reines aussi et les concubines, et elles l'ont louée.
Crampon :
une seule est ma colombe, mon immaculée ; elle est l’unique de sa mère, la préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles l’ont vue et l’ont proclamée bienheureuse ; les reines et les concubines l’ont vue et l’ont louée :
Lausanne :
Ma colombe, ma parfaite, est unique ! Elle est unique pour sa mère, et préférée de{Ou pure pour.} celle qui lui donna le jour. Les [jeunes] filles la voient, et la disent bienheureuse ; les reines et les concubines aussi, et elles la célèbrent.
10 |
Qui est celle-ci qui paraît comme l'aube du jour, belle comme la lune, brillante comme le soleil, redoutable comme des armées qui marchent à enseignes déployées?
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Louis Segond :
Qui est celle qui apparaît comme l`aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières? -
Ostervald :
Qui est celle qui apparaît comme l'aube du jour, belle comme la lune, pure comme le soleil, redoutable comme les armées qui marchent enseignes déployées?
Darby :
Qui est celle-ci qui apparaît comme l'aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, redoutable comme des troupes sous leurs bannières?
Crampon :
" Quelle est celle-ci qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil, mais terrible comme des bataillons ? "
Lausanne :
Qui est celle-ci, dont le regard est comme celui de l’aurore, belle comme la lune, pure comme la lumière du soleil, redoutable comme des troupes sous leurs bannières ?
11 |
Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits de la vallée qui mûrissent, et pour voir si la vigne s'avance, et si les grenadiers ont poussé leur fleur.
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Louis Segond :
Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent.
Ostervald :
Je suis descendu au verger des noyers, pour voir les fruits qui mûrissent dans la vallée; pour voir si la vigne pousse, et si les grenadiers fleurissent.
Darby :
Je suis descendu au jardin des noisettes, pour voir la verdure de la vallée, pour voir si la vigne bourgeonne, si les grenadiers s'épanouissent.
Crampon :
J’étais descendu au jardin des noyers, pour voir les herbes de la vallée, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers sont en fleurs.
Lausanne :
Je suis descendue{Ou descendu.} au jardin des noyers pour contempler la riche verdure de la vallée, pour voir si la vigne a bourgeonné, si les grenadiers fleurissent.
12 |
Je ne me suis point aperçu que mon affection m'a rendu semblable aux chariots d'Haminadab.
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Louis Segond :
Je ne sais, mais mon désir m`a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. -
Ostervald :
Je ne sais, mais mon affection m'a rendu semblable aux chars d'Aminadab.
Darby :
Sans que je m'en aperçusse, mon âme m'a transporté sur les chars de mon peuple de franche volonté.
Crampon :
Je ne sais, mais mon amour m’a fait monter sur les chars de mon noble peuple.
Lausanne :
Sans que je me reconnusse, mon désir{Héb. mon âme.} m’a portée vers les{Ou m’a rendue [semblable aux] chars.} chars de mon peuple-prince.