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Par conséquent, les langues sont un signe, non pour les croyants, mais pour les non-croyants; la prophétie, au contraire, est un signe, non pour les non-croyants, mais pour les croyants.
Martin :
C'est pourquoi les Langues sont pour un signe, non point aux croyants, mais aux infidèles; la prophétie, au contraire, est un signe non point aux infidèles, mais aux croyants.
Ostervald :
Ainsi donc les langues sont un signe, non pour les croyants, mais pour les incrédules; au lieu que la prophétie est un signe, non pour les incrédules, mais pour les croyants.
Darby :
De sorte que les langues sont pour signe, non à ceux qui croient, mais aux incrédules; mais la prophétie est un signe, non aux incrédules, mais à ceux qui croient.
Crampon :
C’est donc que les langues sont un signe, non pour les croyants, mais pour les infidèles ; la prophétie, au contraire, est un signe, non pour les infidèles, mais pour les croyants.
Lausanne :
En sorte que les langues servent de signe, non pour les croyants, mais pour les incrédules ; et la prophétie, non pour les incrédules, mais pour les croyants.
Bible de Genève (N.T.) [Ancien Français] :
C’est pourquoi les langages sont pour signe, non point aux croyans, mais aux infideles: au contraire, la prophetie non point aux infideles, mais aux croyans.