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Car si aussi je vous ai attristés par ma lettre, je n'en ai pas de regret, si même j'en ai eu du regret (car je vois que cette lettre vous a attristés, lors même que ce n'a été que pour un temps).
Louis Segond :
Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m`en repens pas. Et, si je m`en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, -
Martin :
Car bien que je vous aie attristés par mon Epître, je ne m'en repens point, quoique je m'en fusse déjà repenti, parce que je vois que si cette Epître vous a affligés, ce n'a été que pour peu de temps.
Ostervald :
Car, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas, si même je m'en suis repenti, parce que je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour un peu de temps.
Crampon :
Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l’aie d’abord regretté, — car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, —
Lausanne :
parce que si je vous ai attristés par ma lettre ; je ne m’en repens pas. Si même je m’en suis repenti (car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour peu de temps){Grec une heure.}
Bible de Genève (N.T.) [Ancien Français] :
Car encore que je vous aye contristez par mon epistre, je ne m’en repens point: encore que je m’en fusse repenti: car je voi que cette epistre-là, quoi que pour un temps, vous a contristez.