La'ah
La'ah:
1) être las, être impatient, être affligé, être offensé1a) (Qal) être lassé, être impatient
1b) (Niphal) être fatigué de quelque chose, se lasser
1c) (Hiphil) lasser, épuiser
La'ah:
Et ils frappèrent d’aveuglement les gens qui étaient à l’entrée de la maison, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, de sorte qu’ils se donnèrent une peine inutile (La'ah) pour trouver la porte.
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Les poissons qui sont dans le fleuve périront, le fleuve se corrompra, et les Egyptiens s’efforceront (La'ah) en vain de boire l’eau du fleuve.
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Si nous osons ouvrir la bouche, en seras-tu peiné (La'ah) ? Mais qui pourrait garder le silence ?
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Et maintenant qu’il s’agit de toi, tu faiblis (La'ah) ! Maintenant que tu es atteint, tu te troubles !
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Maintenant, hélas ! il m’a épuisé (La'ah)... Tu as ravagé toute ma maison ;
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Tu fis tomber une pluie bienfaisante, ô Dieu ! Tu fortifias ton héritage épuisé (La'ah).
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Le paresseux plonge sa main dans le plat, Et il trouve pénible (La'ah) de la ramener à sa bouche.
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Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes ; Elles me sont à charge ; Je suis las (La'ah) de les supporter.
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Esaïe dit alors : Ecoutez donc, maison de David ! Est-ce trop peu pour vous de lasser (La'ah) la patience des hommes, Que vous lassiez (La'ah) encore celle de mon Dieu ?
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On voit Moab, qui se fatigue (La'ah) sur les hauts lieux ; Il entre dans son sanctuaire pour prier, et il ne peut rien obtenir.
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Tu t’es fatiguée (La'ah) à force de consulter : Qu’ils se lèvent donc et qu’ils te sauvent , Ceux qui connaissent le ciel, Qui observent les astres, Qui annoncent, d’après les nouvelles lunes, Ce qui doit t’arriver !
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Je suis plein de la fureur de l’Éternel, je ne puis la contenir (La'ah). Répands-la sur l’enfant dans la rue, Et sur les assemblées des jeunes gens. Car l’homme et la femme seront pris, Le vieillard et celui qui est chargé de jours.
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Ils se jouent les uns des autres, Et ne disent point la vérité ; Ils exercent leur langue à mentir, Ils s’étudient (La'ah) à faire le mal .
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Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent (La'ah), Comment pourras-tu lutter avec des chevaux ? Et si tu ne te crois en sûreté que dans une contrée paisible, Que feras-tu sur les rives orgueilleuses du Jourdain ?
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Tu m’as abandonné, dit l’Éternel, tu es allée en arrière ; Mais j’étends ma main sur toi, et je te détruis, Je suis las (La'ah) d’avoir compassion.
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Si je dis : Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon cœur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m’efforce (La'ah) de le contenir, et je ne le puis.
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Les efforts sont inutiles (La'ah), la rouille dont elle est pleine ne se détache pas ; la rouille ne s’en ira que par le feu.
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Mon peuple, que t’ai-je fait ? En quoi t’ai-je fatigué (La'ah) ? Réponds-moi !
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