Biy
Biy:
1) s'il vous plaît, excusez-moi, je vous demande pardon
1a) utilisé pour introduire une requête
Biy:
Ils dirent : Pardon (Biy) ! mon seigneur, nous sommes déjà descendus une fois pour acheter des vivres.
|
|
Alors Juda s’approcha de Joseph, et dit : De grâce (Biy), mon seigneur, que ton serviteur puisse faire entendre une parole à mon seigneur, et que sa colère ne s’enflamme point contre ton serviteur ! car tu es comme Pharaon.
|
|
Moïse dit à l’Éternel : Ah (Biy) ! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n’est ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur ; car j’ai la bouche et la langue embarrassées.
|
|
Moïse dit : Ah (Biy) ! Seigneur, envoie qui tu voudras envoyer.
|
|
Alors Aaron dit à Moïse : De grâce (Biy), mon seigneur, ne nous fais pas porter la peine du péché que nous avons commis en insensés, et dont nous nous sommes rendus coupables !
|
|
De grâce (Biy), Seigneur, que dirai-je, après qu’Israël a tourné le dos devant ses ennemis ?
|
|
Gédéon lui dit : Ah (Biy) ! mon seigneur, si l’Éternel est avec nous, pourquoi toutes ces choses nous sont-elles arrivées ? Et où sont tous ces prodiges que nos pères nous racontent, quand ils disent : L’Éternel ne nous a-t-il pas fait monter hors d’Egypte ? Maintenant l’Éternel nous abandonne, et il nous livre entre les mains de Madian !
|
|
Gédéon lui dit : Ah (Biy) ! mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël ? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, Et je suis le plus petit dans la maison de mon père.
|
|
Manoach fit cette prière à l’Éternel : Ah (Biy) ! Seigneur, que l’homme de Dieu que tu as envoyé vienne encore vers nous, et qu’il nous enseigne ce que nous devons faire pour l’enfant qui naîtra !
|
|
Anne dit : Mon seigneur, pardon (Biy) ! aussi vrai que ton âme vit, mon seigneur, je suis cette femme qui me tenais ici près de toi pour prier l’Éternel.
|
|
L’une des femmes dit : Pardon (Biy) ! mon seigneur, moi et cette femme nous demeurions dans la même maison, et je suis accouchée près d’elle dans la maison.
|
|
Alors la femme dont le fils était vivant sentit ses entrailles s’émouvoir pour son fils, et elle dit au roi : Ah (Biy) ! mon seigneur, donnez-lui l’enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l’autre dit : Il ne sera ni à moi ni à toi ; coupez-le !
|