Rebabah
Rebabah:
1) multitude, myriade, dix mille
Rebabah:
Ils bénirent Rebecca, et lui dirent : O notre sœur, puisses-tu devenir des milliers de myriades (Rebabah), et que ta postérité possède la porte de ses ennemis !
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Cinq d’entre vous en poursuivront cent, et cent d’entre vous en poursuivront dix mille (Rebabah), et vos ennemis tomberont devant vous par l’épée.
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Et quand on la posait, il disait : Reviens, Éternel, aux myriades (Rebabah) des milliers d’Israël !
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Comment un seul en poursuivrait-il mille, Et deux en mettraient-ils dix (Rebabah) mille en fuite, Si leur Rocher ne les avait vendus, Si l’Éternel ne les avait livrés ?
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Il dit : L’Éternel est venu du Sinaï, Il s’est levé sur eux de Séir, Il a resplendi de la montagne de Paran, Et il est sorti du milieu des saintes myriades (Rebabah) : Il leur a de sa droite envoyé le feu de la loi.
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De son taureau premier-né il a la majesté ; Ses cornes sont les cornes du buffle ; Avec elles il frappera tous les peuples, Jusqu’aux extrémités de la terre : Elles sont les myriades (Rebabah) d’Ephraïm, Elles sont les milliers de Manassé.
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Nous prendrons dans toutes les tribus d’Israël dix hommes sur cent, cent sur mille, et mille sur dix mille (Rebabah) ; ils iront chercher des vivres pour le peuple, afin qu’à leur retour on traite Guibea de Benjamin selon toute l’infamie qu’elle a commise en Israël.
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Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres, Et disaient : Saül a frappé ses mille, Et David ses dix mille (Rebabah).
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Saül fut très irrité, et cela lui déplut. Il dit : On en donne dix mille (Rebabah) à David, et c’est à moi que l’on donne les mille ! Il ne lui manque plus que la royauté.
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Les serviteurs d’Akisch lui dirent : N’est-ce pas là David, roi du pays ? n’est-ce pas celui pour qui l’on chantait en dansant : Saül a frappé ses mille, -Et David ses dix mille (Rebabah) ?
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N’est-ce pas ce David pour qui l’on chantait en dansant : Saül a frappé ses mille, Et David ses dix mille (Rebabah) ?
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Je ne crains pas les myriades (Rebabah) de peuples Qui m’assiègent de toutes parts.
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Que mille tombent à ton côté, Et dix mille (Rebabah) à ta droite, Tu ne seras pas atteint ;
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Mon bien-aimé est blanc et vermeil ; Il se distingue entre dix mille (Rebabah).
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Je t’ai multipliée par dix milliers (Rebabah), comme les herbes des champs. Et tu pris de l’accroissement, tu grandis, tu devins d’une beauté parfaite ; tes seins se formèrent, ta chevelure se développa. Mais tu étais nue, entièrement nue.
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L’Éternel agréera-t-il des milliers de béliers, Des myriades (Rebabah) de torrents d’huile ? Donnerai-je pour mes transgressions mon premier-né, Pour le péché de mon âme le fruit de mes entrailles ? -
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