`anah (an-aw')

Strong Hebreu 6032

Code : 6032     Mot : `anah
Hebreu : עֲנָה     Phonétique : (an-aw')

Type : Verbe
Origine : (Araméen) Correspondant à 06030


Définition de `anah :

1) répondre, donner une réponse
1a) (P'al)
1a1) répondre, faire une réplique



Traduction Louis Segond :
prendre, reprendre, adresser la parole, répondre, répliquer, commencer; (30 fois)


Exemples de versets utilisant le mot `anah :
Le roi reprit (`anah) la parole et dit aux Chaldéens : La chose m’a échappé ; si vous ne me faites connaître le songe et son explication, vous serez mis en pièces, Et vos maisons seront réduites en un tas d’immondices.
Ils répondirent (`anah) pour la seconde fois : Que le roi dise le songe à ses serviteurs, et nous en donnerons l’explication.
Le roi reprit la parole (`anah) et dit : Je  m’aperçois , en vérité, que vous voulez gagner du temps, parce que vous voyez que la chose m’a échappé.
Les Chaldéens répondirent (`anah) au roi : Il n’est personne sur la terre qui puisse dire ce que demande le roi ; aussi jamais roi, quelque grand et puissant qu’il ait été, n’a exigé une pareille chose d’aucun magicien, astrologue ou Chaldéen.
Il prit la parole (`anah) et dit à Arjoc, commandant du roi : Pourquoi la sentence du roi est-elle si sévère ? Arjoc exposa la chose à Daniel.
Daniel prit la parole (`anah) et dit : Béni soit le nom de Dieu, d’éternité en éternité ! A lui appartiennent la sagesse et la force.
Le roi prit la parole (`anah) et dit à Daniel, qu’on nommait Beltschatsar : Es-tu capable de me faire connaître le songe que j’ai eu et son explication ?
Daniel répondit (`anah) en présence du roi et dit : Ce que le roi demande est un secret que les sages, les astrologues, les magiciens et les devins, ne sont pas capables de découvrir au roi.
Le roi adressa la parole (`anah) à Daniel et dit : En vérité, votre Dieu est le Dieu des dieux et le Seigneur des rois, et il révèle les secrets , puisque tu as pu découvrir ce secret.
Ils prirent la parole (`anah) et dirent au roi Nebucadnetsar : O roi, vis éternellement !
Nebucadnetsar prit la parole (`anah) et leur dit : Est-ce de propos délibéré, Schadrac, Méschac et Abed-Nego, que vous ne servez pas mes dieux, et que vous n’adorez pas la statue d’or que j’ai élevée ?
Schadrac, Méschac et Abed-Nego répliquèrent (`anah) au roi Nebucadnetsar : Nous n’avons pas besoin de te répondre là-dessus.
Sur quoi Nebucadnetsar fut rempli de fureur, et il changea de visage en tournant ses regards contre schadrac, Méschac et Abed-Nego. Il reprit la parole (`anah) et ordonna de chauffer la fournaise sept fois plus qu’il ne convenait de la chauffer.
Alors le roi Nebucadnetsar fut effrayé, et se leva précipitamment. Il prit la parole (`anah), et dit à ses conseillers : N’avons-nous pas jeté au milieu du feu trois hommes liés ? Ils répondirent (`anah) au roi : Certainement, ô roi !
Il reprit (`anah) et dit : Eh bien, je vois quatre hommes sans liens, qui marchent au milieu du feu, et qui n’ont Point de mal ; et la figure du quatrième ressemble à celle d’un fils des dieux.
Ensuite Nebucadnetsar s’approcha de l’entrée de la fournaise ardente, et prenant la parole (`anah), il dit : Schadrac, Méschac et Abed-Nego, serviteurs du Dieu suprême, sortez et venez ! Et Schadrac, Méschac et Abed-Nego sortirent du milieu du feu.
Nebucadnetsar prit la parole (`anah) et dit : Béni soit le Dieu de Schadrac, de Méschac et d’Abed-Nego, lequel a envoyé son ange et délivré ses serviteurs qui ont eu confiance en lui, et qui ont violé l’ordre du roi et livré leurs corps plutôt que de servir et d’adorer aucun autre dieu que leur Dieu !
Alors Daniel, nommé Beltschatsar, fut un moment stupéfait, et ses pensées le troublaient. Le roi reprit (`anah) et dit : Beltschatsar, que le songe et l’explication ne te troublent pas ! Et Beltschatsar répondit (`anah) : Mon seigneur, que le songe soit pour tes ennemis, et son explication pour tes adversaires !
le roi prit la parole (`anah) et dit : N’est-ce pas ici Babylone la grande, que j’ai bâtie, comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ?
Le roi cria avec force qu’on fît venir les astrologues, les Chaldéens et les devins ; et le roi Prit la parole (`anah) et dit aux sages de Babylone  : Quiconque lira cette écriture et m’en donnera l’explication sera revêtu de pourpre, portera un collier d’or à son cou, et aura la troisième place dans le gouvernement du royaume.




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