`ayeph
`ayeph:
1) faible, épuisé, las
`ayeph:
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Comme Jacob faisait cuire un potage, Esaü revint des champs, accablé de fatigue (`ayeph).
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Et Esaü dit à Jacob : Laisse-moi, je te prie, manger de ce roux, de ce roux-là, car je suis fatigué (`ayeph). C’est pour cela qu’on a donné à Esaü le nom d’Edom.
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comment il te rencontra dans le chemin, et, sans aucune crainte de Dieu, tomba sur toi par derrière , sur tous ceux qui se traînaient les derniers, pendant que tu étais las (`ayeph) et épuisé toi-même.
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Gédéon arriva au Jourdain, et il le passa, lui et les trois cents hommes qui étaient avec lui, fatigués (`ayeph), mais poursuivant toujours.
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Il dit aux gens de Succoth : Donnez, je vous prie, quelques pains au peuple qui m’accompagne, car ils sont fatigués (`ayeph), et je suis à la poursuite de Zébach et de Tsalmunna, rois de Madian.
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Le roi et tout le peuple qui était avec lui arrivèrent à Ajephim (`ayeph), et là ils se reposèrent.
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du miel, de la crème, des brebis, et des fromages de vache. Ils apportèrent ces choses à David et au peuple qui était avec lui, afin qu’ils mangeassent ; car ils disaient : Ce peuple a dû souffrir de la faim, de la fatigue (`ayeph) et de la soif, dans le désert.
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Tu ne donnais point d’eau à l’homme altéré (`ayeph), Tu refusais du pain à l’homme affamé.
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Psaume de David. Lorsqu’il était dans le désert de Juda. O Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche ; Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans (`ayeph) eau.
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J’étends mes mains vers toi ; Mon âme soupire après toi, comme une terre desséchée (`ayeph). Pause.
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Comme de l’eau fraîche pour une personne fatiguée (`ayeph), Ainsi est une bonne nouvelle venant d’une terre lointaine.
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Nul n’est fatigué (`ayeph), nul ne chancelle de lassitude, Personne ne sommeille, ni ne dort ; Aucun n’a la ceinture de ses reins détachée, Ni la courroie de ses souliers rompue .
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Il lui disait : Voici le repos, Laissez reposer celui qui est fatigué (`ayeph) ; Voici le lieu du repos ! Mais ils n’ont point voulu écouter.
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Comme celui qui a faim rêve qu’il mange, Puis s’éveille, l’estomac vide, Et comme celui qui a soif rêve qu’il boit, Puis s’éveille, épuisé (`ayeph) et languissant ; Ainsi en sera-t-il de la multitude des nations Qui viendront attaquer la montagne de Sion.
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Chacun sera comme un abri contre le vent, Et un refuge contre la tempête, Comme des courants d’eau dans un lieu desséché, Comme l’ombre d’un grand rocher dans une terre altérée (`ayeph).
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Bel s’écroule, Nebo tombe ; On met leurs idoles sur des animaux, sur des bêtes ; Vous les portiez, et les voilà chargées, Devenues un fardeau pour l’animal fatigué (`ayeph) !
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Car je rafraîchirai l’âme altérée (`ayeph), Et je rassasierai toute âme languissante.
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